Injection intra-cytoplasmique de spermatozoïde

l’homme, elle peut être causée par une forte azoospermie (absence de spermatozoïdes dans l'éjaculat), une forte oligospermie (quantité insuffisante de spermatozoïdes dans le sperme), une forte asthénospermie (défaut de mobilité des spermatozoïdes qui éprouvent des difficultés à se déplacer), une forte nécrospermie (pourcentage élevé de spermatozoïdes morts) ou encore une forte tératospermie (quantité trop importante de spermatozoïdes mal formés), une anomalie génétique… Cependant le couple peut avoir

entre l’ovule et les spermatozoïdes. -Pour l'injection intra-cytoplasmique de spermatozoïde, les méthodes sont les mêmes que la classique sauf que la mise en présence des ovules et des spermatozoïdes est remplacée par l’injection d’un seul spermatozoïde dans chaque ovule. Cette injection permet de contourner les problèmes de fécondation, et de stérilité chez l'homme. 2-L’insémination artificielle : Cette technique consiste a implanté des spermatozoides avec un cathéter dans

avoir suffisamment de spermatozoïdes aptes à se déplacer jusqu’à l’ovocyte. Malheureusement de nombreuses choses peuvent perturber ce « chemin ». La FIV est indiquée généralement quand il existe un obstacle au niveau des trompes utérines (censées aider à la progression des spermatozoïdes par des « mouvements »), dans le cas d’endométriose, maladie où l’endomètre se trouve à l’extérieur de l’utérus, d’anomalies de celui-ci, quand le partenaire masculin est stérile (spermatozoïdes insuffisants en quantité)

dans le vagin. Ces quelques millilitres contiennent près de cinq cents millions de spermatozoïdes. Leur survie n'est que de trois jours. 99 % ne passent pas le col de l'utérus et meurent. Seules quelques centaines d'entre eux, se propulsant grâce aux ondulations de leur flagelle, réussiront à traverser l'utérus et à atteindre les trompes : un parcours de 15 à 18 cm pour ces " voyageurs " de 0,05 mm. Les spermatozoïdes se groupent autour de l'ovule ; plus ils sont nombreux, plus il y a de chances que

anatomiques des ovaires, glandes sexuelles féminines productrices d’ovocytes et d’hormones, et de l’utérus, organe où se fait la nidation sont tout a fait normaux. Le col de l’utérus montre une glaire normale susceptible de laisser passer les spermatozoïdes. Les examens hormonaux se montrent également normaux avec des pics d’œstrogène à J12 et de LH à J13, signe d’une maturation normale au sein de l’ovaire et d’une décharge ovulante efficace. Enfin l’examen radiologique est aussi normal puisque le

procréation médicalement assistées La médecine utilise actuellement différentes techniques de procréation médicalement assistées. Nous pouvons citer entre autres les inséminations artificielles, la fécondation in vitro, l’injection intra-cytoplasmique de spermatozoïde et la maternité de substitution. Les inséminations artificielles sont de deux sortes : l’IAC où le sperme du conjoint est introduit dans l’utérus par voie naturelle à l’aide d’un fin cathéter à usage unique ; et l’IAD où

proliférative : 10 jours : croissance de la muqueuse utérine + augmentation de la vascularisation + tubes droits dans l’épithélium. ➢ Ovulation : contractions nombreuses mais peu violentes du myomètre + glaire cervicale lâche : perméable pour les spermatozoïdes. ➢ Phrase sécrétoire : 12 jours : glandes en tubes sinueuses et nombreuses, sécrètent du glycogène ( production d’énergie + mucus cervical : protège contre les micro-organismes. Ovarien ➢ Phase folliculaire : 14 jours : un follicule

fécondation a été mise au point pour palier à certains problèmes de stérilité. Les couples font appel à la fécondation in vitro après avoir tenté sans succès d’autres techniques comme la stimulation de l’ovulation et l’insémination intra-utérine. La rencontre des spermatozoïdes et de l’ovule se fait en laboratoire, d’où le terme « in vitro ». Depuis cette grande avancée scientifique, le nombre de Fécondations In Vitro (FIV) n’a cessé d’augmenter. Au début des années 2000, près de trois cent mille tentatives

II. Les méthodes de procréation médicalement assistée (PMA) 1. Insémination artificielle avec le sperme du conjoint ou d’un donneur (IAC et IAD), par Lola Ryckelynck 2. Fécondation In Vitro (FIV), par Elise Munsch 3. L’Intra Cytoplasmic Sperm Injection (ICSI), par Audrey Sauteur III. Inconvénients 1. Risque physique et psychologique, par Camille Weintz 2. Risque sur le fœtus, par Camille Weintz CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE INTRODUCTION La procréation médicalement assisté, ou PMA

certaines anomalies du fonctionnement ovarien B) Examens concernant l’homme Le spermogramme est généralement prescrit dès le début du bilan. Le recueil de sperme est réalisé par masturbation au laboratoire pour éviter l’altération des spermatozoïdes pendant le transport. Avant le recueil, deux à cinq jours d’abstinence sont préférables. Il doit être réalisé à distance d’épisodes de fièvre ou de prises de médicaments pouvant interférer avec la spermatogenèse. C’est alors qu’intervienne Les