Inné

On la confond souvent avec la volonté d’indépendance. Mais, elle ne peut se développer (si chacun fait ce qu’il veut = guerre de tous contre tous) sans être relayée par la liberté culturelle qui nous donne de nouveaux droits et des devoirs. (Voir inné ╪ acquis). • Indépendance ╪ autonomie : L’indépendance c’est ne dépendre de rien ni de personne. Or, ceci est peut-être une illusion (voir erreur ╪ illusion), comme le montre l’exemple de la pierre, donné par Spinoza dans la Lettre à Schuller

dépassée par la force de nos désirs. L’Homme, dans sa nature, est doté d’une capacité à se reconnaitre à travers la douleur d’autrui par un sentiment inné nommée la pitié. Rousseau place ce sentiment, plus naturel et plus spontané, au-dessus des commandements moraux réfléchis, en le jugeant plus utile et efficace. La pitié serait alors une sorte d’équilibre inné face à l’égoïsme des hommes. La raison nous pousserait-elle à nous conduire convenablement ou bien serait-ce notre sentiment naturel de pitié

Trois grandes parties : I- Les concepts du développement humain Que signifie le concept de « développement » ? Que faut-il étudier pour comprendre le développement ? Quels sont les déterminants de développement ? (nature et/ou culture ? inné ou acquis ?) Quelle est la nature des changements dans le développement ? (évolution quantitative ou qualitative, continue ou en stade ?) II- Les grandes théories du développement humain Sachant que toute théorie est « réfutable » Deux grandes

: pour l'anthropologie ou la philosophie, il désigne l'ensemble des activités humaines qui s'écartent des simples déterminismes naturels et qui sont issues généralement de la réflexion. La culture est ce qui s'oppose à la nature : ce qui n'est pas inné mais acquis. Ainsi on retrouve cette opposition entre nature et culture comme le sous entend Lévi-Strauss : « La nature, c'est tout ce qui est en nous par hérédité biologique ; la culture, c'est au contraire tout ce que nous tenons de la tradition

suivent, subies par les femmes sont-elles alors justifiables? La biologie explique-t-elle les différents comportements des individus dans la société? Pour Simone de Beauvoir, le fait qu'une femme soit une femme et ce comporte comme tel n'es pas inné, biologique ou psychologique, mais le fruit d'une socialisation différente de celle de l'homme. Alors, sommes nous définis dès la naissance en tant qu'individu, par la biologie, ce qui implique une différentiation entre les sexes « normale », ou

pousse des individus d'une même espèce à se rassembler et à adopter un même comportement : instinct d’appartenance à une même communauté. W. Trotter[14] déduit les phénomènes psychiques propres à la foule d'un instinct grégaire (gregariousness) inné à l'homme comme aux autres espèces animales. Du point de vue biologique, cette grégarité n'est qu'une expression et une conséquence de la pluri-cellularité[15]. Le même instinct grégaire qui pousse les moutons dans les champs à entourer la brebis sur

à l’intérieur de moi ne peut pas être ressenti par autrui, il ne parait alors pas plausible qu’il ait une influence au développement de ma conscience de moi-même. Ce processus complexe se déroule alors naturellement chez chaque individu car il est inné malgré que la conscience de soi puisse parfois disparaitre à cause de maladies psychiques, autrui ne pouvant d’ailleurs rien faire contre cette perte de conscience tout comme l’individu. Or, autrui bénéficie également d'une conscience de soi, cette

est réellement à moi, ce n'est donc pas ce que j'ai reçu passivement. Mon hérédité, mon naturel, serait-on tenté de croire, cela est à moi parce que c'est inné, cela m'accompagne de la naissance à la mort. En réalité, est à moi ce qui a fait l'objet d'un effort d'appropriation. De plus, il n'est pas grand chose d'humain qui soit absolument inné et indépendant de la culture. Même ce qui paraît le plus biologique, le plus instinctif, comme la sexualité, relève d'un apprentissage. Ainsi l'érotisme, comme

Virus échappe facilement a lymph. T tueurs Comment l’organisme se défend-il et qu’est ce qu’un vaccin ? : 1ère ligne de défense naturelle = système immunitaire inné (non-spécifique). Cellules détectent envahisseurs et macrophages détruisent cellules infectées  Problème = pas assez car VIH trop rapide De plus, cellules immunitaires innées avec antigène expose protéines virales à acteurs immunitaires plus spécialisés Vaccin normal : Souches du virus inactivé ou atténué. Cellules immunitaires

est coupable, il ne peut se cacher derrière un déterminisme qui le programmerait à l'avance à se comporter de telle ou telle manière. La mauvaise foi des hommes qui consiste à se croire déterminés par une nature humaine, par des caractéristiques innées, permet de gommer toute éventuelle mauvaise conscience (morale) et ainsi d'être plus « tranquilles ». Troisième étape Malgré les reproches, Sartre maintient dans cette troisième partie sa thèse existentialiste : « En l'homme, l'existence précède