Inné

ne developpe pas son humanité, comme par exemple pour « l'enfant sauvage » élevé à l'écart de la société et de toute forme de contact humain et qui a réussi à survivre dans cet état pendant plusieurs années. Les facultés de parler, de penser sont innées mais restent virtuelles tant qu'elle ne sont pas développer par la culture. En effet, l'homme est un être biologique à l'origine mais est façonné par la société. Selon Marcel Mauss, le corps lui-même est un objet social. Il est impossible de

l’élaboration d'une théorie de la faculté de langage, une grammaire, vue comme capacité cognitive faisant partie de notre héritage biologique. • L'idée de Chomsky a été de considérer que notre compétence langagière provient pour l'essentiel d'un dispositif inné qui nous prédispose au langage. • Ce dispositif, composant fondamental de la grammaire, est théorisé comme un ensemble de principes universels commun à tout homme. critique de la méthode distributionnelle (Harris, Pyke..) par Chomsky • théorie

fondamentales. Il peut être abordé avec la notion de nature au sens ou sa structure fondamentale s’impose à lui tout comme la forme de l’animal s’impose à l’animal. Phyein : croitre, pousser (verbe essentiellement vivant) La nature est le principe inné de notre développement. Le Conatus, c’est la tendance à persévérer dans son être. Phynosa : Le conatus de l’homme va prendre la forme du désir c.-à-d. pas seulement du besoin qui fait que la nature d’un être se répète (manger), pour l’homme le désir

conventions sociales, des règles humaines, traditions, coutumes, mœurs. Convention : accord commun entre les hommes autour de certaines valeurs ou décisions. distinctions conceptuelles : Conscience morale, jugement moral, raison pratique. Valeurs innées, valeurs acquises, au cours de l’éducation. Valeurs naturelles, religieuses, culturelles. >> réfléchir sur les rapports société/morale/religion comprendre la question : « le bien et le mal » >> des universels absolus ? « Des » valeurs conventionnels :

John Locke est un des grands représentants de l'empirisme anglais. Il est l'héritier de Francis Bacon (1561-1626). Comme Bacon, Locke pense que l'observation joue un rôle majeur dans l'acquisition des connaissances. Il combat la théorie des idées innées de Descartes et affirme que l'esprit est une table rase (tabula rasa, table de cire vierge sur laquelle on écrivait). C'est l'expérience, qui s'appuie sur la sensation et la réflexion, qui inscrit dans l'esprit des connaissances : "Supposons donc

Locke sont familières avec le concept de tabula rasa, ou table rase. Il s'agit de la croyance selon laquelle toutes les connaissances proviennent de l'extérieur de nous-mêmes, par le biais de l'expérience sensorielle, plutôt que des connaissances innées que nous avons à la naissance, pour faire court et simple. Cela s'est naturellement étendu à la théorie du langage, Locke rejetant l'hypothèse selon laquelle le langage possède une logique innée. Évidemment, ces théories ne traitent pas des aspects

refusaient les idées innées voulaient tout simplement dire par là que toutes nos idées sont les copies de nos impressions, bien qu'il faille avouer que les termes qu'ils employaient n'étaient pas choisis avec assez de précaution et n'étaient pas assez exactement définis pour prévenir toutes les mauvaises interprétations de leur doctrine. Mais qu'entend-on par inné? Si inné équivaut à naturel, alors on peut admettre que toutes les perceptions et idées de l'esprit sont innées ou naturelles, quel que

d’elle-même et que l’homme se pose véritablement en tant qu’homme. Pour Hegel , le désir est production / producteur humain. La conscience de soi se construit par autrui , la conscience de soi n’est pas innée. Le propre de l’homme n’est pas ce qui est inné ou naturel , c’est ce qui caractérise l’homme.

danger ; si un animal est pris dans un danger, c’est que celui-ci l’a surpris. Rousseau donne ces mêmes caractéristiques à l’homme, c'est-à-dire qu’il est muni d’un instinct inné et parfois contraignant qui détermine certains comportements spécifiques et communs à tous. Mais, il précise aussi que l’homme est le seul animal à avoir la faculté d’être libre arbitre ; il a le choix de ne pas obéir à son instinct, à ses désirs

et dogmes qui unissent les hommes dans la foi et dans des communautés religieuses. Ainsi, peut-on fonder la morale sur la religion? Se demander si on peut fonder la morale sur la religion, c'est se demander si la morale est un sens social presque «inné» et universel ou bien qu'elle a besoin de fondements religieux, en dépit de sa pluralité et du nombre non-négligeable de non-croyants. Autrement dit, la morale est-elle totalement indépendante de la religion ou a-t-elle besoin de bases religieuses