Inondation

dégradation des sols sont les aménagements routiers et urbains. L’augmentation des surfaces imperméables intensifient les inondations et favorisent le ruissellement, donc l'entraînement du sol. La disparition des forêts bordant des rivières, des détours de cours d’eau et d'espèces telles que le castor qui ralentissaient le cours de l'eau a également attisé les cycles inondations-sécheresses qui sont eux aussi des facteurs d'érosion et de dégradation des sols. La déforestation est le phénomène de régression

surface cultivée. 5000L d'eau pour 1kg de riz. Riz = alimentation principale en Chine. b) le contrôle des fleuves. Éviter les inondations. Entretien des digues. Exemples : le grand Canal (-722; -781). La riziculture demande des quantités d'eau importantes, celle-ci sont fournies par le fleuve. D'autre pars il est important de limiter les inondations par l'entretien des digues. II. Le Yanzi, les colères du fleuve bleu. a) la description du Yangzi. 6300 Km. Source au Tibet

partition (Inde /Pakistan puis Pakistan et naissance du Bangladesh) fait face à de nombreux défis de développement (économique, politique….) entrant pleinement dans le champ de l’action humanitaire internationale. Face aux conséquences des inondations sur la population civile et compte tenu de l’ampleur des dégâts sur les infrastructures publiques, cette catastrophe représentait à mes yeux, et aux yeux de beaucoup de personnes observatrices de cette tragédie humaine, un désastre sans précédent

lien CC/GES, d’autres problèmes plus important Désaccord Alarmistes Convergence : la T° de l’air se réchauffe (0,7°), aug simultanée des T° et de la concentration des GES Climats et risques Aléa : inondation 3 facteurs coefficient de marrée très forte Cas de la tempête Xynthia Dépression surélévation du niveau de la mer Des vents forts (160km/h) vagues déferlantes Bilan : 5 morts + 3 millions € de dégâts

Cela comprend les tempêtes, les vents forts, les orages, la neige, la grêle et le verglas, la canicule. Ils se traduisent par des risques : • • sanitaires de déplacement. Ils entraînent généralement d’autres risques qui leur sont associés (inondations, mouvements de terrains…). Les conséquences Du fait de la pluralité de leurs effets (vents, pluies, vagues) et de zones géographiques touchées souvent étendues, les conséquences des tempêtes sont fréquemment importantes, tant pour l’Homme que pour

précipitations (pluie et neige), à la transpiration des végétaux et à l'évaporation directe de la couche terrestre superficielle. L'hydrologie de surface étudie le ruissellement, les phénomènes d'érosion, les écoulements des cours d'eau et les inondations. L'hydrologie de subsurface ou hydrologie de la zone non-saturée étudie les processus d'infiltration, de flux d'eau et de transport de polluants au travers de la zone non saturée (encore appelée zone vadose). Cette zone a une importance fondamentale

Ces intempéries ont causé des inondations, des glissements de terrains et des destructions de maisons. Dans certains endroits, la pluie était accompagnée de vents forts qui ont détruits les plantations des pauvres paysans haïtiens. Des infrastructures routiers détruits avec des routes coupées et des ponts effondrés. Des dégâts matériels dans l’agriculture sont considérable, 70 % des récoltes du sud du pays sont détruites, le bétail emporté par les eaux. Les inondations ont polluées les réserves d’eau

.............................................................................. 22 6.2. Cartographies du nombre d’événements pour chaque année de 1982 à 2005....... 26 6.3. Cartographies du nombre d’arrêtés dans chaque département pour le risque inondation depuis 1982................................................................................................. 33 6.4. Cartographies du nombre d’arrêtés pour le risque mouvement de terrain, pour chaque année, depuis 1982. ........................

complexe ou imprévisible que dans celui où l’autorité de police a eu tout le loisir d’évaluer les risques et de prendre des mesures de police, dictées par le bon sens, pour en prévenir les effets préjudiciables » Erwan Le Cornec (Le contentieux des inondations : les responsabilités, Bernard Drobenko, décembre 1999, p18). D’après cette illustration l’autorité de police – administrative – apparaît comme la seule pouvant juger et apprécier les mesures de polices applicables pour prévenir un fait. On entend

Moyen-âge, les dangers naturels étaient considérés comme une fatalité. Ce que l'on définit aujourd'hui comme risque n'était pas considéré de la même manière dans les sociétés de l'Ancien Régime : les hommes affrontaient des dangers quotidiens (froid, inondation, sécheresse) qui rendaient leur existence très précaire. Les catastrophes, les épidémies (pestes), les famines étaient perçues, selon Marc Bloch « comme des signes de damnation, ce que les hommes craignaient alors par-dessus tout ». Dans des sociétés