Insatisfaction

est de savoir d’où il vient, notamment en notant les déclencheurs de celui-ci. Les sources du stress au travail peuvent être : - Surcharge ou manque de travail (trop ou pas assez de choses à faire). - Trop ou pas assez de responsabilités. - Insatisfaction du rôle ou des tâches actuelles. - Environnement de travail (bruit, isolation, danger, etc.) - Longues heures de travail, insécurité de l’emploi, voyages excessifs, absence de pause. - Espoir de promotion limité, salaire minimun. - Problèmes

-2tant donné que nous sommes ds une société de conso. On en veut toujours plus si nous ne sommes pas riches nous ne serons jamais satisfait -Le bonheur est différent d'une joie qui elle est passagère c'est un état durable et permanent. Si une insatisfaction arrive il n'y a pas de vrai bonheur -Etre heureux n'étant pas à la portée de l'individu il va chercher ds l'imaginaire, retour à la réalité encore plus dur, KANT bonheur, idéal de l'imagination III. Accessible quand il est nature et liberté

L'héroïne est souvent en proie à ce sentiment provoqué par une profonde insatisfaction. Sa vie lui semble d'une monotonie écrasante car ses rêves et ses désirs sont en décalage avec la réalité de son existence. La notion de bovarysme de Jules Gaultier cité par Per Buvik dans « Le principe bovaryque »1 procède aussi d'un décalage avec la réalité. Le bovarysme a pour acception première « évasion dans l'imaginaire par insatisfaction ». Jules Gaultier le définit comme « le pouvoir qu'à l'homme de se concevoir

définit l'existence humaine ? Si l'impossible désigne ce qui ne peut pas exister, ce qui n'est pas réel et qui ne le sera jamais, alors quel sens y aurait-il à le désirer ? Il semblerait que désirer l'impossible, ce serait se condamner à une insatisfaction permanente et définitive. Si l'Homme considère que pour atteindre le bonheur, c'est-à-dire atteindre un état de totale satisfaction, il est nécessaire de satisfaire tous ses désirs, il apparaît que désirer l'impossible empêcherait l'Homme d'atteindre

volonté. Mais pour pouvoir désirer ce qu'il nous manque, il faut savoir justement ce qu'il nous manque. Le désir est permanent, car en possession de l'objet, notre désir se porte sur autre chose. Le désir s'il meurt, renaît. De plus il y a une insatisfaction permanente ( des qu'on achète quelque chose dont on désirait, on veut constamment une nouvelle chose ) Le désir représente le philosophe, car c'est celui qui désire savoir : Socrate = Eros Le Banquet est un éloge de celui qui désire savoir

influencé par l’instabilité politique et historique de la France (alternance république-monarchie-empire jusqu’en 1850). Ce sentiments de ne pas être adapté a société dans la quel ils vivent sera appelé a posteriori le « mal du siècle » (mélancolie, insatisfaction) * Le refuge : face à ce mal être, les écrivains vont trouver refuge dans l’écriture, dans le rêve, des visions jusqu’à la littérature fantastique. * Le gout pour la mélancolie : c’est une vision pessimiste. Ils ont le gout des larmes

puis une grue qui les mangea. Heptasyllabe Octosyllabes Alexandrins Il faut se contenter de ce que l'on a pour ne pas avoir pire La jeune veuve Confiance Amour Chagrin Critique de l'inconstance Les grenouilles qui Critique de la société Insatisfaction Pouvoir demandent un roi de l'époque 

l’exaltation du moi ». Surtout l’expression des sentiments personnels: les poètes et romanciers font part de leur expérience personnelle. On va parler d’introspection permet de diagnostiquer les symptômes du mal du siècle : les incertitudes, insatisfactions, sentiments douloureux du présent… - Le temps, la nature et ses mystères: la sensibilité romantique trouve un accord avec la nature sauvage et l’existence d’un monde infini et complexe, que le poète cherche à comprendre. ( ex: Les recueils

désirer des choses impossibles. Les mots « désirer » et « souffrir » peuvent être compatibles dans le sens où, quand l’on désire quelque chose on ressent toujours une insatisfaction, un manque, bien que le désir ait été assouvi. Et la souffrance ressentie moralement peut-être à l’origine elle aussi, d’un manque ou d’une insatisfaction. Le désir peut donc provoquer de la souffrance. On peut clairement différencier deux types de souffrance chez l’Homme ; la souffrance morale et la souffrance physique

désir de s'en délivrer [...] l'âme cependant restera paisible, et que l'homme se trouvera bien ordonné." Jean-Jacques Rousseau, dans cet extrait d’Emile ou de l’éducation, traite de nos désirs ainsi que de nos facultés. D’après lui, notre insatisfaction des désirs résulte de la disproportion entre ceux-ci et le pouvoir de nos facultés. En effet, nous ressentons notre faiblesse chaque fois qu’un besoin ou un désir dépasse la puissance de nos facultés propres : celui qui pourrait se suffire à lui-même