Insigne

toile. DESCRIPTION DU TABLEAU La scène se déroule dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, on peut voir Napoléon qui couronne l'impératrice Joséphine. Au premier plan on peut voir Napoléon, Joséphine et les patriciens, portant les insignes du pouvoir : le spectre, la main de justice et le globe. Napoléon 1er est debout, en tenue de sacre, toge pourpre avec la couronne de laurier. IL couronne josephine qui est agenouillée et ne reçoit pas la couronne des mains du pape. Second et

1825. Il fut le maître de Gros, Girodet, Gérard,Ingres. Description : Napoléon se trouve au centre du tableau en costume de sacre. Il est vêtu tel un empereur romain, il porte une couronne de laurier Il se représente comme un roi avec tous les insignes autour de lui, La main de justice, le spectre, le globe... C’est la haute administration qui porte les regalias. Il s'apprête a couronner sa femme Josephine De Beauharnais. Il a pris la couronne des mains du pape qui lui n'est qu'un simple spectateur

Le roi finira cependant par conserver ce tableau qui, par son caractère solennel et grandiloquent, est un exemple caractéristique de portrait officiel du Grand Siècle. La richesse des étoffes et des draperies, le manteau royal en hermine et les insignes de la royauté, concourent à la représentation officielle du Roi Soleil. Le traitement du sujet est secondaire par rapport aux attributs royaux : l’estrade, le trône, la colonne classique et les tentures de l’arrière-plan contribuent à la grandiloquence

du regard de Molinié et du jugement des autres dans la cour : « Quand il me regardait c'était au-dessus de ce niveau, et nos yeux semblaient dire : « N'y faites pas attention. » » (l.17-18) , « je sentais que toutes les pensées roulaient sur cet insigne » (l.21-22). Pour terminer, elle avait un sentiment de souffrance après que l'une des amies de Vivi Lafon affirmait qu'elle ne pouvait pas voir les gens avec cette étoile, rappelant l'antisémitisme : « une de ces amies est arrivée […] « Je ne peux

réponse favorable aux espérances de Cléonte. Dorante, qui a accepté de favoriser l'intrigue, est présent. Cérémonie burlesque d'anoblissement du bourgeois (I, II, III, IV et cérémonie turque). ACTE V. Mme Jourdain retrouve son mari affublé des insignes de sa nouvelle dignité, et le croit fou. Arrivée de Dorante avec Dorimène qui lui offre de l'épouser. Cléonte et Covielle, en costume turc, qui viennent pour le contrat, sont présentés à Dorimène et Dorante. M. Jourdain veut imposer le fils du Grand

Faut-il de votre éclat voir triompher Le Comte, Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ? Comte, sois de mon prince à présent gouverneur ; Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur ; Et ton jaloux orgueil par cet affront insigne Malgré le choix du roi, m'en a su rendre indigne. Et toi, de mes exploits glorieux instrument, Mais d'un corps tout de glace inutile ornement, Fer, jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense, M'as servi de parade, et non pas de défense

d'Adolf Hitler montre l'imposant personnage. La technique du photomontage a permis de créer une image satirique en combinant les différentes photos: un portrait d'Hitler, une radiographie d'un corps humain, une colonne vertébrale de pièces d'or, et les insignes du parti nazi, une croix gammée placée sur son cœur. Sujet de l'œuvre (que raconte-t-elle?): Le torse aux rayons X est utilisé comme une métaphore pour exposer l'intérêt caché d'Hitler (sa soif de pouvoir). Cela a été considéré par les communistes

vers le cordon de police. L’inspecteur John Ryan travaille depuis plus de dix ans à la Crim’ de Philadelphie. Il est marié est père de famille d’une fille de 14 ans. Son coéquipier, l’inspecteur « … » lui emboîte le pas. Ils sortent tous deux leur insigne et le policier posté là les laisse passer. Ils pénètrent dans la ruelle où des policiers examinent les lieux tandis que les secours s’affèrent autour d’un corps s’en vie. L’un des policiers est en train d’interroger un homme qui paraît sous le choc

ou les rois pour assurer leur salut. Les abbés et les évêques sont aussi des seigneurs qui perçoivent les revenus de leurs domaines. •  Les abbés et les évêques doivent prêter serment de fidélité aux rois et aux seigneurs qui leur remettent les insignes de leur charge (ce qui fait d'eux leurs vassaux). Les pressions sont nombreuses, les grandes familles cherchant à occuper ces postes prestigieux. Certains souverains vont jusqu'à nommer eux-mêmes les évêques et les abbés : c'est l'investiture laïque

seigneurs ou les rois pour assurer leur salut. Les abbés et les évêques sont aussi des seigneurs qui perçoivent les revenus de leurs domaines. Les abbés et les évêques doivent prêter serment de fidélité aux rois et aux seigneurs qui leur remettent les insignes de leur charge (ce qui fait d'eux leurs vassaux). Les pressions sont nombreuses, les grandes familles cherchant à occuper ces postes prestigieux. Certains souverains vont jusqu'à nommer eux-mêmes les évêques et les abbés : c'est l'investiture laïque