Instruire Distraire

entièrement différents d’eux-mêmes, nous savons qu’ils sont comédiens. Or, l’hypocrisie commence lorsqu’on laisse les gens ignorer que l’on joue un rôle. Le théâtre a-t-il pour fonction d’instruire ou de distraire le public ? Le théâtre a une double visée, instruire et plaire, d’un côté il doit distraire le public, le divertir pour en même temps faire passer un message, une réflexion, une critique pour l’éduquer et l’instruire. Comparaison théâtre/cinéma Le théâtre peut change selon les metteurs

Vincensini définit ainsi le conte : « il raconte des événements imaginaires, voire merveilleux ; sa vocation est de distraire, tout en portant souvent une morale ; il exprime une tradition orale multiséculaire et quasi universelle ». Pourtant, si l’aspect merveilleux du conte et sa finalité de distraction sont effectivement reconnus, l’affirmation de sa double vocation – distraire et enseigner –, soutenue par le conteur fondateur de ce genre littéraire, Charles Perrault, ne semble pas faire l’unanimité

notions trop techniques afin de les rendre accessibles à tous. On veut mettre à la portée des masses ce que connaissent les élites ; avec le suffrage universel qui incorpore les masses en tant que force sociale et politique, il est important de les instruire. Cette vocation se renforce avec l’avènement de la IIIe République, et l’Exposition de 1878, la première réalisée par la jeune République, sera de loin la plus sobre et la plus discrète des Expositions Universelles, mais surtout la plus intellectuelle

dramatisation du récit, l'anthropomorphisme et le jeu des masques, ainsi que la mise en abyme, permettent de qualifier ces fables de comédies humaines. La fable a lors pour fonction de mettre en scène des vices et des situations propres à l'humain pour distraire le lecteur et lui plaire, tout en l'éduquant. La Fontaine suit en cela le précepte horatien du "placere et docere". Toutefois, comme chez son ami et dramaturge Molière, la comédie ne se limite pas ici au rire, elle cherche aussi à corriger les hommes

véritable , jolie morale sur ce qu'est une amitié , hymne à l'amitié , «  tout lui fait peur «  , «  il vous epargne la pudeur » Une question est posée au lecteur sur celui qui aime le mieux , celui qui se fait du soucis ou l'autre qui est prêt à le distraire un veut tout lui donner pour l'aider , l'autre s'inquietait car il a fait un cauchemard V 7 8 , on a la csq avant la cause CONCLUSION Apologue car il y a une illustration de la morale avec les deux amis On pourrait se demander

de permettre rencontres et confrontations. L’action a souvent lieu dans un espace propice aux rencontres : le château, l’auberge dans les romans du XVIIe et du XVIII c) les visées du récit : amuser le lecteur, le distraire en lui faisant oublier la réalité qui l’entoure` instruire le lecteur en lui faisant découvrir une réalité qu’il ignore expliquer un événement ou un fait, le fonctionnement d’une société ou d’un système politique faire réfléchir le lecteur, le convaincre, le persuader. Ces

faire rire les vieilles recettes fonctionneront (allusions sexuelles, grimaces) et s’il s’agit de faire réfléchir, il faut opter pour d’autres moyens plus élaborés, et prendre le risque le risque de choquer. Le comique bénin (qui ne cherche qu’à distraire) comme les Bronzé ou Brice de Nice, Camping n’utilise pas les même moyens que le comique qui s’attaque à des modèles tabous (le Père noël est une ordure), ou des problèmes de sociétés (Le ripoux) ou interroge l’histoire (Good Bye Lenin). COMMENT

BANQUE DE SUJETS DE DISSERTATION FRANCAISERESEAU LIBRE SAVOIR : DONNEUR UNIVERSEL / COORDONNATEUR TEL. 77-621-80-97 / 78-108-42-12 BANQUE DE SUJETS DE DISSERTATION LITTERAIRE NIVEAU TERMINALE RESEAU LIBRE SAVOIR : DONNEUR UNIVERSEL COORDONNATEUR TEL. 77-621-80-97 / 78-108-42-12 LITTERATURE SUJET 1 « Une littérature existe dans une société donnée ; elle en reçoit l'empreinte et, en retour, lui imprime une direction ». Donnez une explication plausible à ces propos de Roger CAILLOIS en

intéressant de connaître l’étymologie du mot : en latin, monstrum est un fait prodigieux, et en même temps un avertissement des dieux. Ce mot est dérivé du verbe monere qui signifie « faire songer à, rappeler le souvenir de, avertir, éclairer, instruire ». Or par le monstre Néron, les dieux et/ou Racine nous adressent un avertissement, nous dispensent un enseignement, nous nous demanderons lequel. Comment naît un monstre ? Qu’est-ce qui favorise l’épanouissement des « semences » de la monstruosité

rousseauiste de s’instruire « dans le grand livre de la nature », ni de ne pas encombrer la mémoire de l’élève « avec des connaissances inutiles » : « Émile n’apprendra jamais rien par cœur.", décrète Rousseau. Le rôle de l’éducateur n’est pas de distraire l’enfant, de l’amuser, mais de lui transmettre des connaissances explicites, précises, de lui indiquer, comme le dit Hannah Arendt dans La crise de l’Education : « Voici notre monde. » Faute de connaître le passé, l’enfant se trouvera dans l’impossibilité