Instruire En Amusant

 Depuis plusieurs  siècles les écrivains cherchent à instruire leurs lecteurs par le biais de leurs oeuvres. Cette volonté à vouloir instruire son lecteur,s'affirme notamment au siècles des lumières (avec la publication de l'encyclopédie et de plusieurs œuvres didactiques) lors de cette époque la diffusion de savoir est incontournable. Cette transmission s'effectue par deux formes, l'argumentation directe;  à travers laquelle les idées sont rapportées de façons claires et réels. Et la fiction

d’évoluer et La Fontaine renouvelle ce genre. Il explique en effet dans la préface qu’il introduit de la vie et de la gaieté pour mieux faire passer le message dévoilé par ses prédécesseurs grâce au let motive de toutes ses fables : « plaire et instruire ». Nous allons étudier : PB : Comment La Fontaine renouvelle le modèle qui lui a été transmis en introduisant de la gaieté et de la variété et quel message adresse-t-il à ses contemporains ? Pour cela étudions : I- Le renouvellement apporté

entière. Sa problématique repose donc là-dessus : Comment l'auteur réussit-il avec la mode à effectuer une critique de la société de son époque ? Au brouillon Son plan de commentaire au brouillon prévoit 2 parties : I/ Une lettre fictive et amusante sur la mode. II/ Une critique réelle de la société. Méthode L'élève A a appris son cours de français et a des connaissances en histoire. Il exploite donc sa culture générale pour faire une introduction sans surprise mais parfaitement correcte

Fontaine dans le but de faire passer une leçon de morale. -> Apologue (=récit à visée morale) Quelle leçon de morale transmise ? II- Morale de la fable = visée critique et registre didactique = apologue La fable est faite pour plaire et instruire (placere et docere en latin). Ce sont les deux objectifs de l'auteur. Quelle leçon est donnée et comment ? 1- Opposition de deux modes de vie : la soumission au pouvoir et la liberté •les avantages et les privilèges du chien: -mange

en scène des bourgeois dont les préoccupations sont l�rgent, le mariage, la dot, etc. Dans les comédies de Molière, le rire a aussi une fonction morale : docere et placere => plaire et instruire. Extrait du corrigé : Ubu : évoquer son fameux « merdre », ses insultes, sa grossièreté, sa méchanceté amusants mais très grinçants... • Dom Juan est une comédie et pourtant, la pièce soulève de nombreuses questions : le héros (même s'il meurt puni) ne semble pas croire en Dieu, il fait l'éloge de

fonction de réveiller les Hommes. En effet ils nous invoquent une morale, comme au 18éme siècle où des philosophes tels que Voltaire ont employé des fables pour faire "prendre connaissance au peuple" en les éduquant en mettant en scène des situations amusantes. Ces textes qui ont une visée philosophique sont un moyen plaisant de faire réfléchir le lecteur sur la place de l'Homme dans l'univers, ils possèdent aussi des morales philosophiques des Lumières. Ils s'adressent donc à un lectorat plus âgé, plus

conte comme par exemple les contes merveilleux, fantastiques, philosophiques est bien d’autres. On peut se demander en quoi le conte est une forme argumentative efficace ? Pour mieux saisir un conte, on peut le diviser en trois parties, un récit amusant, l’argumentation et le lecteur.  Le conte est un écrit narratif fictif, qui commence par la formule «  il était une fois » qui situe l’action, le lieu dans un temps indéterminé et passé. Il se caractérise par des personnages aux places

retour le père l’accueil à bras ouverts, fête son retour, dénouement, et la morale. Il a donc une argumentation distrayante qui provoque de la curiosité chez le lecteur. L’apologue a une forme d’argumentation plutôt complexe, car celui-ci est amusant, court mais également à visée didactique grâce à sa morale. Dans les deux coqs, Jean de la Fontaine montre que les excès d’orgueil nous conduisent souvent a notre perte et il fait donc appel à l’humilité et à la prudence ainsi que la trop grande impériosité

Colonialisme » de Césaire, nous fait part d’un avis. La lettre ouverte de Zola « J’accuse » dans les formes liées a la presse écrite. Dans le poème « Melancholia » Victor Hugo nous fait adherer a son point de vue parce qu’il nous touche en nous amusant, en nous faisant rire ou pleurer. « Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ;

rêverie est une rêverie sympathique « transportée », « saute ». * L’image de son mari qui la bat lors de la perte de tous ses biens provoque pitié et humour * Univers pittoresque, vêtements simples : « cotillons », « coussinet »…. * Thème amusant de la précaution inutile. II- Une réflexion morale particulière 1- Généralisation de la morale * « Quel », « qui » : généralisation à tous de la morale * Personnages célèbres « Picrochole », « Pyrrhus » ainsi que le pronom indéfini