Instruire Le Lecteur

aussi un conte qui instruit. Au XVIIIe siècle, le conte apparait souvent comme une forme de récit excessivement divertissant. En effet le conte merveilleux est composé de personnages merveilleux, souvent des animaux qui parle et qui amuse le lecteur, mais aussi des histoires courtes comme dans les fables de La Fontaine. Le but principal du conte est bien d’amuser, en effet le comique de caractère est excessivement utilisé, par exemple, a de nombreuses reprises Pangloss s'entête dans ses erreurs

de "la dent d'or" est un bon exemple de son propos. Nous verrons qu'il y adopte la technique de l'apologue, c'est à dire d'un récit à visée argumentative. En conteur talentueux, il multiplie les procédés littéraires visant à séduire et à amuser le lecteur, pour mieux le convaincre. Introduction Fontenelle est à la fois un écrivain et un scientifique. Il a publié ses principaux ouvrages à la fin du XVII° siècle mais ses idées annoncent le "Siècle des Lumières". Dans Entretiens sur la pluralité

Sujet : On sait bien que les comédies ne sont faites que pour être jouées, écrit Molière dans l'avis au lecteur de l'Amour médecin (1665). Que pensez-vous de cette déclaration ? Définitions des termes : * bien : Ce qui est avantageux ou utile à une fin donnée. Ce qui possède une valeur morale, ce qui est juste, honnête, louable. Souverain Bien : norme suprême de l'ordre éthique, que l'homme poursuit en vue de lui-même, et non en vue d'obtenir un autre bien. En économie, toute chose qui

Objet d'études n°3 : commentaire linéaire 1 : Avis de l'auteur des mémoires de qualités : En quoi cet avis au lecteur permet-il d'expliquer la dimension avant tout morale de l'oeuvre ? I) Démarche du pseudo auteur II) Présentation du personnage principal et de l'intrigue III) Revendication d'une œuvre aussi plaisante que morale Amorce : Le XVIIIe siècle voit l'apogée du courant libertin qui prône le bonheur et le plaisir des individus, et c'est ce que la critique, scandalisée, va reprocher au roman

Mais il est possible que ce ne soit pas le cas. Pour faire réfléchir le lecteur, les auteurs utilisent généralement des histoires à visée morale évoquant un monde éloigné, car ceux-ci sont généralement des mondes lointain et exotique ayant un certain attrait pour le lecteur. Ils permettent aussi à l’auteur de lui présenter un autre mode de vie, que ce soit sur le plan idéologique ou social. Au final, ce procéder permet au lecteur de réfléchir sur la réalité qui l’entoure. Mais au final, comment l’évocation

utilise le second degrès, c’est-à-dire qu’il décrit la situation avec des termes apparemment valorisant dans le but de de la dévaloriser. Mais les auteurs utilisent également la satire : l’auteur imite les mœurs et son objectif est de convaincre le lecteur à les corriger par lui-même comme par exemple dans Les Femmes Savantes de Molière ou l’auteur vise à corriger les vices de la noblesse. Il ne faut négliger aucun propos, chaque mot a un sens précis qui a pour but de critiquer les mœurs, les vices

pièce écrite par Molière au 17e siècle durant l’époque du classicisme. Dans l’acte 2, la scène 5 répond parfaitement aux finalités du classicisme. Tout d’abord, Molière utilise plusieurs moyens afin de plaire aux lecteurs. À la fin de la scène, Cléante prépare une pièce qui charmera son lecteur par l’intelligence du procédé. Durant la pièce, Angélique et Cléante expriment leur amour envers eux mêmes d’une façon astucieuse. Ensuite, l’utilisation de propos humoristiques qui font rire est une autre particularité

- il a pour but de se railler, de se moquer d’un type de personne ou d’une institution. - vocabulaire réaliste et familier, parfois péjoratif. - la caricature - les formules ironiques ironique Raillerie, critique au second degré qui rend le lecteur complice. - l’antiphrase - elle permet de dénoncer quelque chose en laissant comprendre le contraire de ce qui est effectivement dit tragique Sentiment de la fatalité, du destin. Présence de la mort, absence d’issue. Souffrance et déchirement moral

- Le récit d'un combat «guerre», «querelle», «vaincu», «vainqueur» : champ lexical de la guerre => violence + référence à deux camps opposés « Troie», « Xanthe », « Hélène», «Dieux» : Référence à la guerre de Troie => Combat mythique connu par le lecteur donc donne une ampleur au combat de coq Ecriture épique : périphrases «la gent qui porte crête» référence a l'Illiade d'Homer + enjambements => parodie style épique C - Une tonalité burlesque «sa haine et son courage» : Exagération avec des valeurs

La farce vise à faire rire le lecteur: - comique de gestes crée un effet comique: ex. Molière dans son oeuvre L École des femmes , dans la scène 2 de l acte 1 ou Alain, le valet d Arnoplphe qui est un bourgeois mène une dispute avec Georgette, la servante d Arnolphe et le valet est très fâché envers elle et veut lui mettre une gifle mais par accident cette gifle touche Arnolphe ce qui crée un effet comique - comique de mots vise également faire rire le lecteur: ex. Beaumarchais dans son oeuvre