Instruire Le Lecteur

c'est ainsi que Voltaire souhaite à la fois divertir et instruire son Lecteur. Tout comme La Fable avec sa farce et sa morale. Il s'agit d'une double fiction de la réalité. Par conséquent les roman d'apprentissage de Voltaire sont de véritable petite mine d'or. Elles permettent à la fois de s'occuper pendant quelques heure en lisant une fabuleuse histoire écrite avec brillance. Mais elles permettent aussi de faire passer un message au lecteur. Un message censé marqué son esprit, il s'agit en quelque

royaume. C'était un ami personnel d'Henri de Navarre, le futur Henri IV. Les Essais (1580-1592) ont nourri la réflexion des plus grands auteurs en France et en Europe de Pascal2 à Proust et à Heidegger. Le projet de se peindre soi-même pour instruire le lecteur est original : « Je n’ai d’autre objet que de me peindre moi-même. » (cf. introspection). « Ce ne sont pas mes actes que je décris, c’est moi, c’est mon essence3. » Saint Augustin dans les Confessions retraçait l'itinéraire d'une âme passée

lu ! Moraliste, et non pas moralisateur, il pose un regard lucide sur les rapports de pouvoir et la nature humaine, sans oublier de plaire pour instruire. Pour La Fontaine, la littérature doit être utile autant qu'agréable : « Le conte fait passer le précepte avec lui », le Pâtre et le Lion. Il sait d'ailleurs que plaire est le meilleur moyen pour instruire. Et il ne vise pas seulement l'instruction des enfants. Certes, son premier recueil est dédié à l'enfant qui, parmi tous, est l'élève de choix

services que la presse rend au public, est difficile à préciser. Les fonctions sociales de la presse sont multiples : la diversité de ses organes, la variété de leur audience, la confusion de leur contenu (au plan du moins de sa signification pour le lecteur) accroissent la difficulté de les définir. L’analyse des services rendus par la lecture d’une publication est aussi peut-être artificielle, car les différentes fonctions sont naturellement complémentaires : on ne lit pas un journal pour se distraire

Dissertation « L’apologue vous paraît-il une forme d’argumentation particulièrement efficace ? » L’apologue, bref récit imagé illustrant une morale, est pratiqué par de nombreux auteurs soucieux de convaincre leurs lecteurs en recourant à cette forme littéraire plaisante et efficace. La Fontaine y voit par exemple le moyen d’instruire sans lasser : « Une morale nue apporte de l‘ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui », de même que Charles Perrault, qui prétend illustrer une morale

dissimulée derrière une narration, une histoire…c’est le contraire d’un texte argumentatif, un discours) permet d’éviter la censure • le récit peut plaire (situations des personnages = drôles, pittoresques, originales = séduction) et instruire en même temps (contenu moral) =INSTRUIRE ET PLAIRE conte • goût pour le merveilleux (les moutons rouges) • goût pour l’orientalisme (La Turquie) • laisse libre cours à l’imagination • peu de soin et de place au réalisme • structure narrative : situation initiale

le prend comme une critique à son égard) et les dialogues de la mort en 1699 pour instruire le Duc de Bourgogne. Il écrit les maximes des saints en 1697 (condamné par l’église ) I) Le refus des préjugés a) L’argument concessif Habilité de l’auteur : argument concessif pour mieux attaquer b) Les questions de rhétorique Les phrases interrogatives (questions de rhétoriques pour faire réfléchir le lecteur) Jeux sur les mots. c) Le ton ironique « Ridicule l4 » « Savante ridicule » 

En quoi l’évocation d’un monde très éloigné du sien permet-elle de faire réfléchir le lecteur sur la réalité qui l’entoure ? Beaucoup d’auteurs comme Voltaire avec Candide, ou encore Fénelon avec les aventures de Télémaque et encore tant d’autres, ont tenté de nous faire rêver en nous proposant un monde imaginaire et plein de fictions tentant ainsi de nous séduire par la magie, mais au-delà de ce désir de plaire cela ne traduit-il pas leur désir de nous faire réfléchir à la réalité

française) et les anciens veulent s’inspirer des auteurs de l’Antiquité. 2) L’œuvre : * Il s’en tient au principe de la fable toujours tournée vers la moralité : il utilise deux citations dans la préface des Fables « je me sers d’animaux pour instruire les hommes » et « la fable est composée de deux parties : le corps est la fable et l’âme la moralité » 3) Le texte : * Notre fable est le premier texte du septième livre écrit en 1678 qui met en scène un peuple d’animaux, la peste s’est abattue

époque mais d’autre non pas envie. Nous verrons qu’ils veulent instruite et ensuite nous montrerons qu’ils veulent plaire. Et pour conclure, nous étudierons la beauté de l’art. En premier lieu, certains écrivains et artistes veulent instruire. En ce qui concerne, Jean de la Fontaine, et ses célèbres fables qui à travers un récit plaisant, délivrent un enseignement. Elles ont une visée argumentative, elles mettent souvent en scène des animaux chargés de représenter les hommes et les travers