Instruire Ou Plaire Candide

tirer une morale, de faire une satire sociale, de dénoncer les travers des hommes ou d’avancer des idées et des valeurs nouvelles. Une morale nue apporte de l’ennui ; Le conte fait passer le précepte avec lui. En ces sortes de feintes, il faut instruire et plaire… La Fontaine. 2) Les formes de l’apologue : Tout au long de l’histoire de la littérature, l’apologue a pris des formes diverses en fonction des contextes et des situations. • La Fable : Dès l’antiquité, de courts récits représentent les

sérieux ? » ; « N’y a-t-il pas des limites au rire / des cas où le rire est inefficace ? »… Choisissez les sous-questions qui pourraient être le titre d’une partie de votre devoir. Chercher des idées L’adjectif « plaisant » est de la famille du mot plaire. Ce qui est « plaisant » divertit, amuse. L’humour est la capacité à prendre ses distances par rapport à la réalité, à considérer le monde de façon lucide mais avec un regard souriant, parfois faussement naïf. Constituez-vous une réserve d’exemples

plaisir de la lecture a depuis plusieurs siècles été un des critères des romanciers ou écrivains. En effet certains cherchaient a nous dépayser tandis que d’autre nous racontaient la vérité contemporaine, mais quelque soit la raison des auteurs, nous plaire était très populaire. Ainsi Charles Perrault, un homme de lettres française du XVIIe siècle, reste célèbre pour ses contes de ma mère l’Oye affirme au début de son conte intitule Peau d’Ane que « […] L’esprit le plus parfait Peut aimer sans rougir

bien que son esprit en devient perturbé. Cela est d’ailleurs pour le sauver que l’un de ses amis expédie au feu un certain nombre de romans qui auraient détraqué l’esprit du gentilhomme. L’illusion induit en erreur, trompe le lecteur. Le désir de plaire pour mieux attacher son lecteur est sans conteste la première ambition du romancier. Mentir est nécessaire afin de séduire le lectorat. Il permet d’échapper à un récit qui se rapprocherait trop du quotidien de chacun et rend plus intéressant

Esope à La Fontaine : le travail de la réécriture, à partir de la comparaison de la fable d’Esope « Les deux coqs et l’aigle » et de sa réécriture par La Fontaine. Lectures cursives, documents et textes complémentaires : Voltaire : Candide. • Lecture de l’image : J. Y. Mass, « Le Loup et l’agneau », 1939 • Entraînement au baccalauréat à partir du groupement de textes suivant : Evangile selon Saint-Luc, « La Parabole du riche et de Lazare » ; Phèdre, Fables, « Le Loup et le Chien »

Exposé Les Fables (j’ai eu 20)L’œuvre que j’ai choisi de présenter est « Les Fables » de Jean de La Fontaine. La Fontaine est l’un des poètes français les plus lus du XVIIème siècle et il est l’une des principales figures du classicisme, un mouvement littéraire caractérisé la symétrie, l’ordre et la justesse. Son second recueil de fables allant du livre VII à XI est publié en 1678, soit dix ans après son premier recueil ; et il est dédié à Madame de Montespan. Les fables de ce deuxième recueil se

citation provenant de la « Dédicace à Monseigneur le Dauphin » montre un aspect qui en premier lieu ne nous frappe pas. Effectivement, la fable ne se limite pas à une histoire contée, au contraire, c’est un récit didactique donc qui vise à instruire et plaire. L’apologue a en effet plusieurs fonctions, comme tout d’abord une fonction religieuse avec la parabole dans la Bible qui délivre une vérité et un enseignement. On retrouve aussi une fonction critique avec la fable, l’utopie ou encore avec

dénoncer (Javert dans Les Misérables), ou pour faire rire (comique, ironique). L'auteur peut simplifier et grossir pour rendre sa démonstration plus évidente : l'avarice d'Harpagon dans L'Avare est considérablement grossie par rapport à la réalité ; Candide n'a pas de réelle profondeur psychologique et sa naïveté permet à Voltaire de révéler les ravages de la philosophie optimiste. 3. La reconstitution d'une époque et l'illusion du réel La création de personnages fictifs permet d'élargir le champ

Un monde livré au Mal Candide, propulsé par les “grands coups de pied dans le derrière” du baron de Thunder-ten-tronckh, est brutalement “chassé du paradis terrestre” pour avoir cru au bonheur avec Mlle Cunégonde. Le voilà lancé dans un voyage aventureux, une errance formatrice au cours de laquelle il va découvrir le grand monde. Il va expérimenter le mal sous toutes ses formes. Il s‘agit d’abord du “mal physique” selon les propres termes de Voltaire. * le froid et la faim. * la maladie

Esope à La Fontaine : le travail de la réécriture, à partir de la comparaison de la fable d’Esope « Les deux coqs et l’aigle » et de sa réécriture par La Fontaine. Lectures cursives, documents et textes complémentaires : Voltaire : Candide. Lecture de l’image : J. Y. Mass, « Le Loup et l’agneau », 1939 Entraînement au baccalauréat à partir du groupement de textes suivant : Evangile selon Saint-Luc, « La Parabole du riche et de Lazare » ; Phèdre, Fables, « Le Loup et le Chien » ; More