Instruments De La Redistribution Des Revenus

il peut aussi jouer sur ses recettes par le biais de la fiscalité. La fiscalité est donc un instrument au service de ces politiques. La fiscalité est l’ensemble des pratiques relatives à la perception des impôts et autres prélèvements obligatoires qui permettent de financer les besoins des Etats et des collectivitéstes par le biais de la fiscalité. * De quelle manière la fiscalité est-elle un instrument des politiques budgétaires ? I/ La fiscalité au service des politiques de demande A/ Une

QUESTIONS DE REVISION SES * Dans quelle mesure le PIB ne reflète-t-il pas réellement la croissance économique ? * Le revenu suffit-il à mesurer la pauvreté ? Expliquez. * Qu’est-ce que la croissance extensive et la croissance intensive ? (Associez à ces notions la productivité et l’économie d’échelle). * Montrez que l’innovation et la croissance forment un cercle vertueux. * Qu’est-ce que l’effet de levier ? * Qu’est-ce que le rendement décroissant ? * Expliquez par un

uns avec les autres : ils exercent une activité principale, perçoivent des revenus, en disposent, accumulent du capital, prêtent ou empruntent. On peut, à chaque agent, associer une fct eco principale ; ainsi pour simplifier : Les entreprises produisent (fct de prod) Les ménagent consomment ( fct de conso) Les administrations redistibuent les revenus et fournissent des conso collectives ( fct de repartition des revenus et de prod des services collectifs) Les banques et autres organismes de credit

d’inflation.  Stagflation : situation dans laquelle coexistent, une forte inflation et une stagnation économique (croissance 0) c'est-à-dire un accroissement du chômage. B- Les moyens : Il existe plusieurs instruments que l’Etat peut utiliser pour agir sur l’activité économique. Le choix des instruments d’action dépend de l’idiologie qui est à la base de la politique économique. EKOGEST.BLOGSPOT.COM 7 FB/IKO.GES BloG d'Economie et Gestion Economie Monetaire A ce niveau deux idiologies s’opposent

Via internet avant de nombreux employés. Comment financer la dépense publique ? Identification des différents revenus dans l'économie. L'impôt doit porter sur le revenu & non le capital => car le K permet la production => se serait un appauvrissement collectif. Débat sur l'ISF => un erreur économique. Taxer sur les revenus du K => + légitime => car flux qui se renouvelle. Revenus se partagent entre Rente, Profit & salaire. Exemple du l'impôt sur les activités liées à la terre 1) Impôt

la société française depuis 1945 réside sans aucun doute dans le rôle grandissant de l'Etat et des prestations sociales. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : en 1990, pour l'ensemble des ménages, les transferts sociaux représentent un tiers de leur revenu disponible, mais également un tiers des prélèvements. L'Etat français s'est fait de plus en plus à la fois gérant et garant. Gérant à travers toute son intervention dans les mécanismes économiques (l'Etat interventionniste) : ce sont les nationalisations

Répartition des revenus La question des inégalités est le fondement de certains débats économiques anciens (marxisme) mais pourtant la théorie économique actuelle n’a pas grand-chose à dire sur ce sujet là. L’outil de contrôle est la déclaration des revenus, qui permet de calculer l’indice de Gini, qui va de 0 à 1 (0 société ultraégalitaire, 1 si une seule personne dispose de toutes les richesses. La progressivité de l’impôt sur le revenu (le taux marginal est croissant avec le revenu) est une politique

généralement à la fin de la préparation du projet de loi de finances, début septembre. La prévision des recettes dépend de la nature de celles-ci. Les recettes non fiscales de l’État sont relativement stables pour certaines (revenus du domaine), extrêmement variables pour d’autres (revenus tirés des cessions d’actifs – terrains et immeubles notamment). Les recettes peuvent également s’imposer à l’État (fonds européens), dépendre de ses choix politiques (politique de privatisations), et sont parfois quasi-discrétionnaires

Introduction : La monnaie exerce trois fonctions dans une économie : moyen d’échange, elle est l’instrument des transactions utilisé entre les vendeurs et les acheteurs ; unité de compte ou étalon de la valeur, la monnaie mesure les prix et les dettes ; et instrument de réserve de la valeur, elle permet de réserver un pouvoir d’achat présent pour un usage futur. Si les économistes s’accordent pour reconnaître ces trois fonctions à la monnaie, ils sont en revanche partagés quant à la question de l’influence

façon dont les instruments sont susceptibles d’agir sur l’économie. Les keynésiens sont partisans de politiques discrétionnaires. Illusion monétaire : Elle représente l'illusion dont sont victimes les agents économiques qui prennent leurs décisions en fonction des variables nominales (exprimées en quantités de monnaie courante) et non en fonctions des variables réelle (mesurées à prix constant ou en pouvoir d’achat) : un individu est victime de l’illusion monétaire lorsque son revenu nominal a augmenté