Insuffisance respiratoire

d’obésité morbide selon l’OMS. Face à cela, elle bénéficie d’un régime alimentaire particulier. Elle ne consomme pas de porc. Mme G. se présente aux urgences, après avoir été évacué par les sapeurs-pompiers le 6 février 2015 après-midi pour détresse respiratoire aigu. Lors de l’examen clinique, cette dernière est dyspnéique, présente une toux ainsi qu’un état fébrile. Par la suite, une voie veineuse périphérique est mise en place, un bilan sanguin, une gazométrie artérielle et une radiographie pulmonaire

modifier ses activités en fonction de ses capacités. Les 14 besoins fondamentaux : Besoins Habitudes de vie Dépendance / Indépendance Sources de difficultés Solutions apportées Respirer  Respire seule mais à besoin d’appareil 2H/j Insuffisance respiratoire restrictive Oxygène VNI Boire et manger  Végétarienne Incapacité à s’alimenter seule, besoin de compléments alimentaires hyperprotéinés Tétraplégie, présence d’escarres Aides à domicile pour les repas, stimulation à remanger de

révèlent une cystectomie en 2009 nécessitant la pose d’un bricker, avec une poche collectrice des urines, qu’il faut changer tous les 3 jours. Monsieur S a également une insuffisance respiratoire chronique liée à son asthme et à sa scoliose entraînant une déformation de la cage thoracique et générant des difficultés respiratoires importantes. Il souffre de bronchites chroniques obstructives et l’asthme est traité, matin et soir, par des aérosols de Bricanyl, Atrovent et Pulmicort et de deux comprimés

(PARACETAMOL, antalgique et antipyrétique) 500 mg 3fois par jour. Quelques jours avant son hospitalisation, Mr P. s’est senti de plus en plus fatigué, essoufflé et son appétit a fortement diminué. Le médecin traitant a constaté une dyspnée, des bruits respiratoires, des secrétions bronchiques jaunâtres, une température à 38°2 et a décidé de l’hospitaliser. Mr P mesure 1m 80 et pèse 70 kg. A ce jour, le 24 septembre 2013, Infirmier (ère) dans cette unité de Médecine gériatrique d’horaire 6 h 30- 14 h 20

j’évalue la gravité de la situation. Sur prescription médicale, Mr X est placé sous scope afin d’évaluer et de surveiller son hémodynamisme ( TA, FC, SpO2,T°). Je l’installe le plus confortablement possible en prenant en compte ses difficultés respiratoires. Je mets à sa disposition des haricots et des mouchoirs par rapport à ses vomissements. J’effectue si besoin ou délègue des soins de confort (petite toilette, chemise d’opéré à la place de vêtements souillés par les liquides biologiques, vomissements

la compétence 9, en particulier la fiabilité et la pertinence des informations transmises les connaissances acquises dans l'UE 2.7.S3 processus obstructif contenant les pathologies respiratoires. Cette patiente âgée de 71 ans présente comme antécédents un asthme vieilli, une insuffisance respiratoire et une hypertension artérielle. Je lui demande si elle a un antécédent tabagique,elle me dit que non, qu'elle n'a jamais fumé, il n'y aura pas nécessité de faire une éducation la-dessus.

poussières de ciment Fraiseur . . poussières de bois Boulanger . . farine Maçon . . poussières de métal 2.2 Compléter le schéma de l’appareil respiratoire à l’aide des mots soulignés dans le texte ci-contre 2,5 points CAP delagrave p. 77 Description et fonctionnement de l’appareil respiratoire L’appareil respiratoire comporte les fosses nasales (nez) qui se prolongent par le pharynx où se croisent les voies aériennes et digestives puis par le larynx (pomme d’Adam) puis

affections psychiatriques en France  ¾ des ALD en 2008 III) Quelques exemples de maladies chroniques MCV : HTA, insuffisance cardiaque, artérite des membres inférieurs, AVC Affections psychiatriques ; schizophrénie, maladie bipolaire, dépression Maladies métaboliques : obésité, diabète Rhumatologie : polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite Pneumologie ; asthme insuffisance respiratoire chronique, mucoviscidose, syndrome des apnées du sommeil Maladies infectieuses : hépatites virales chroniques

conditionnement des gaz inspirés améliorent sensiblement le confort des patients en détresse respiratoire aiguë. ■ Plusieurs études observationnelles montrent une amélioration rapide et significative des paramètres cliniques et gazométriques des patients en insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique avec ce dispositif. ■ La persistance d’une fréquence respiratoire élevée et des signes de lutte respiratoire semblent être des marqueurs précoces d’échec de cette technique. ■ La tolérance

pour sa sortie cependant Mr S retournera à son domicile une fois que les médecins l’auront décidés. (Bon entourage petit ami et sa mère qui sont proches et disponibles). Examens pratiqués au CHU de Guéret : → Fibroscopie bronchique : virus respiratoire syncitial, BK, pneumocystis narinii NEGATIFS Candida albicans POSITIF. → Fibroscopie gastrique : mise en évidence d’une candidose œsophagienne. → Scanner thoraco adbomino pelvien : révélation de diverses images notamment d’un liquide épanchement