Insurrections fédéralistes

nouvelles élites locales. La goutte d'eau qui fait déborder le vase c'est la conscription militaire, enrôlement militaire des hommes trop brutal. Donc dès mars, la Vendée s'insurge contre la Convention. Insurrection vite récupérée par les mouvements royaliste et catholique qui vont donner à cette insurrection un caractère contre révolutionnaire qui n'existait pas initialement. Il y a donc en plus de la guerre extérieure, un nouveau front qui s'est ouvert à l'intérieur du pays. Devant de telles difficultés

Nouveau monde n'a pas été pour autant suivie de la mise en application du bolivarisme, des antagonismes sont rapidement apparus entre certaines des nouvelles nations souveraines sud-américaines, l'Argentine était au bord de la guerre civile entre fédéralistes et unitaires. Simón Bolívar, José de San Martín et Antonio José de Sucre, qui furent parmi les principaux acteurs de l'indépendance, ont été écartés du pouvoir peu de temps après la fin des guerres (San Martín s'exila dès 1824, Sucre fut assassiné

bougé à l’annonce de l’exécution du roi — et, quoique poussés par les prêtres réfractaires, ils ne se sont pas soulevés en 1792 pour les défendre contre la déportation : ils se révoltent pour ne pas aller combattre loin de leurs villages. Cette insurrection prend très vite de l’importance quand la Vendée se soulève d’un bloc [111]. Pour tenter d’arrêter ces émeutes la Convention vote, le 19 mars 1793, une loi qui met en place une véritable logique de terreur : tous les insurgés pris les armes à

les soldats du commandant Hulot, chargés de défendre la République dans une région fidèle au trône et à l'autel. La colonne se fait attaquer par des partisans royalistes, les Chouans. Le ministre de la police Fouché espère arrêter cette nouvelle insurrection de la Bretagne en capturant son chef. Il s'agit du marquis de Montauran, appelé le Gars, qui doit tomber dans un piège tendu par l'agent secret Corentin et par la belle espionne Marie de Verneuil. A leur première rencontre, le Gars et Marie s'éprennent

têtes de conventionnels qu'il faut à présent»; enfin, le 31 mai, les commissaires de 35 sections de Paris vinrent exiger ces têtes à la barre de la Convention, celles de Brissot et de vingt-et-un autres députés. Le 2 juin, sous la pression d'une insurrection populaire, la Convention les décréta d'arrestation, Le premier mouvement de Brissot fut de se soumettre, mais ses amis le pressèrent de fuir en Suisse. C'est en s'y rendant, qu'il fut arrêté à Moulins, le 11 juin, sous le nom d'Alexandre Ramus

manifeste de Brunswick. Le duc de Brunswick était le commandant en chef des armées de l’Autriche et de la Prusse. Le roi est apparu comme un traître, le complice de ces envahisseurs étrangers. Une foule de sans culottes exaspérés déclencha une insurrection. Un ultimatum fut posé à l’Assemblée, il fallait impérativement qu’elle vote avant le 9 août à minuit la déchéance du roi. Aussi, dans la nuit du 9 au 10 août 1792, une commune insurrectionnelle assiégea l’hôtel de ville et remplace les élus de

jamais appliquer, pourquoi ? à cause du péril tant extérieur avec les révoltes monarchique réalisées contre la france, qu’intérieur avec notamment la révolte des chouans en Vendée qui va être réprimé dans le sang et donc plus largement de la révolte fédéraliste qui menacé dans l’esprit révolutionnaire l’unité nationale. Cette C° est quand même très importante puisqu’on dit souvent que c’est la constitution la plus démocratique qui est jamais était rédigé en France et elle va devenir un véritable mythe

Nouveau monde n'a pas été pour autant suivie de la mise en application du bolivarisme, des antagonismes sont rapidement apparus entre certaines des nouvelles nations souveraines sud-américaines, l'Argentine était au bord de la guerre civile entre fédéralistes et unitaires. Simón Bolívar, José de San Martín et Antonio José de Sucre, qui furent parmi les principaux acteurs de l'indépendance, ont été écartés du pouvoir peu de temps après la fin des guerres (San Martín s'exila dès 1824, Sucre fut assassiné

à la tête de la mairie de Lyon. 9 mars Saccages des journaux girondins à Paris par des patriotes. 9 mars La Convention nomme des représentants chargés d'organiser la levée en masse. 10 mars Échec d'une tentative de "journée révolutionnaire" insurrection des enragés contre la Convention. 10 mars Création du Tribunal Révolutionnaire. 10 mars Début de l'insurrection en Vendée. 13 mars Prise de Jallais par Pedriault et Cathelineau. 13 mars Lettre de reproches de Dumouriez à l'adresse de la Convention

municipale de 90 membres Les plus nombreux sont des patriotes d’inspiration jacobine favorables à une dictature révolutionnaire, les autres sont des socialistes membres de la Première Internationale (=Association Internationale des Travailleurs), fédéralistes et pacifistes. Leur programme: séparation église et Etat, lois scolaires La question des institutions reste posée jusqu’en 1875: Libération progressive de 30 départements occupés par l’armée allemande Les élections partielles de juillet 1871 montrent