Intellectualisme

naissance du mot et de la notion) est un procès de magie : l’intellectuel est traité comme un sorcier pourrait l’être par une peuplade de marchands, d’hommes d’affaires et de légistes : il est celui qui dérange des intérêts idéologiques. L’anti-intellectualisme est un mythe historique lié sans doute à l’ascension de la petite bourgeoisie. Poujade a donné naguère à ce mythe sa forme toute crue (« le poisson pourrit par la tête »). Un tel procès peut exciter périodiquement la galerie comme tout procès

état d’une malhonnêteté intellectuelle : «…Le compte Norbert parut dans la bibliothèque vers les trois heures ; il venait étudier un journal, pour parler politique le soir… » L’auteur nous rend compte de cette imposture hypocrite et un pseudo intellectualisme, qui insulte l’esprit cultivé, car Norbert ne lit le journal pour ne pas porter préjudice à son rang social et affecter une admiration qui à la fin n’est qu’une tromperie, car la valeur culturelle du journal comme celle d’un livre est négligée

agir pour son propre bien. Les théories éthiques de l'Antiquité renvoient toutes à la connaissance de ce qui est parfait, absolument bon, d'où l'idéal du sage pratiquant le bien parce que la raison théorique le lui fait connaître : c’est cet «intellectualisme éthique » qu’affiche la formule de Socrate « nul ne veut le mal », autrement dit le méchant n’est qu’un ignorant. [Transition] Est-il cependant vrai que nous ignorons le bien quand nous négligeons le bien moralement compris? Y at- il défaut de

L’exemple de César que redouble la métaphore du cheval, on juge un homme comme on juge un homme de par ses actions, ses coups d’éclats comme son comportement dans le privé. Métaphore concrète qui clarifie et explicite son propos. Refus de tout intellectualisme tout en effectuant un véritable travail d’érudit en faisant référence à la culture gréco-latine, néanmoins il ne craint pas de quitter régulièrement le domaine de l’abstraction en employant des images qui rendent son propos explicite et clair

des « dénominations » chrétienne qui laisse à penser ou bien qu’il y a plusieurs évangiles ou que l’on peut faire n’importe quoi - le poids de l’histoire dans lequel des églises corrompues sont rendues coupable d’exaction en tout genre - un intellectualisme, scientisme qui prétend pouvoir tout expliquer, et que rien n’existe en dehors de ce qui ne peut se démontrer. On confond la notion de réalité et la notion de vérité. Qui dit nouvelles difficultés dit aussi nouvelles approches, nouvelles opportunités

tout pour ne le pas perdre. La relation devient dévastatrice et mène jusqu’à la mort de l’héroïne. Un autre thème sont les vices de la société. Adolphe rencontre des gens de la haute couche de la société et il critique leur hypocrisie, le faut intellectualisme et la superficialité. Le status de femme est aussi commenté. Quant aux hommes, il est généralement accepté qu’ils ont des maîtresses. Par contre, la femme vivant avec l’homme sans mariage est rejetée par la société. Un autre thème omniprésent

intellectuels, les syndicalistes et les artistes qui font entendre leur mécontentement. On rejette le vieux nationalisme canadien-français (Survie = religion + passé + agriculture) que Duplessis endosse. Plus encore, on dénonce l'anti-modernisme, l'anti-intellectualisme, l'intégrisme, la censure qui règnent dans la «belle province». Avant la Seconde Guerre, la contestation sera isolée et aura peu d'impacts. Elle prendra de l'ampleur dans les années quarante et deviendra la règle dans les années cinquante. Dès

Palestine. Les Années de plomb : l’ultra-gauche en Europe occidentale dans les années 70 Le terrorisme qui éclate entre 1970 et 1980 dans les pays d’Europe occidentale comporte certaines analogies avec le terrorisme russe des années 1880 : anti-intellectualisme, exaltation de la violence, penchant pour le brigandage. Les narodnistes voulaient frapper l’Etat au centre, comme le font les mouvements de l’ultra-gauche européenne. Cependant, ces derniers se différencient par un modèle de terrorisme jeune

L’exemple de César que redouble la métaphore du cheval, on juge un homme comme on juge un homme de par ses actions, ses coups d’éclats comme son comportement dans le privé. Métaphore concrète qui clarifie et explicite son propos. Refus de tout intellectualisme tout en effectuant un véritable travail d’érudit en faisant référence à la culture gréco-latine, néanmoins il ne craint pas de quitter régulièrement le domaine de l’abstraction en employant des images qui rendent son propos explicite et clair

concertatione l. 14 (mots vides de sens, mensonges, manque d’intelligence). Il leur reproche d’abord leur formalisme (les Stoïciens sont réputés pour leur logique implacable), leur phraséologie, leur cuistrerie, leur présomption (gloriantem), leur intellectualisme (réflexion abstraite qui ne tient pas compte de l’expérience sensible) : opposition, deux fois convoquée dans le texte, entre le mot (verbum) et la chose (res), qui désigne la réalité ancrée dans l’expérience. Pour Cicéron, « la position