Intelligence

de parler soit parce que l'on manque de discernement ou de finesse. Cependant, l'opinion commune tend à penser que l'intelligence est le contraire de la bêtise. Il faut donc s'interroger sur ce qu'est l'intelligence. Selon le Larousse, le mot intelligence vient du latin intellegere qui veut dire connaître, c'est l'ensemble des fonctions mentales ayant pour objet la connaissance conceptuelle et rationnelle ou encore l'aptitude d'un être humain à s'adapter à une situation, à choisir des moyens d'action

capacité à évoluer seul. Ensuite, il fait ressortir sa capacité à relever les défis (courageux, volontaire, combatif, déterminé), à prendre des initiatives et à s’adapter (capacité d’évaluer une situation et de faire des prévisions en conséquence, intelligence des situations, capacité de relever un défi) quand il dit « je me préparais à essayer de réussir, tout seul, une réparation difficile ». Nous notons également sa capacité d’analyse, le fait qu’il s’adapte à une situation exceptionnelle, son esprit

Mais si la machine procure à l’ouvrier un plus grand nombre d’heure de repos, et si l’ouvrier emploie ce supplément de loisir à autre chose qu’aux prétendus amusements qu’un industrialisme mal dirigé a mis à la portée de tous, il donnera à son intelligence le développement qu’il aura choisi, au lieu de s’en tenir à celui que lui imposerait, dans des limites toujours restreintes, le retour (d’ailleurs impossible) à l’outil, après suppression de la machine. Pour ce qui est de l’uniformité du produit

caractère cause toutefois du tort à la fillette car Mlle Legourdin la considère comme une peste, et même « une jeune vipère ». Elle lui reproche toutes les bêtises qui sont commises au sein de l'école et refuse à Matilda de sauter une classe malgré son intelligence supérieure à la moyenne qui justifierait un passage dans le cours supérieur. Mlle Candy, consciente de la situation et ne souhaitant pas voir les capacités supérieures de Matilda être gâchées, se rend quelquefois chez la famille Verdebois pour

accepter la différence. La vie c'est rencontrer toutes sortes de personnes, cela enrichit. Qu'est-ce que le handicap ? Un plus ou un moins, ou une autre manière d'être. On dit souvent que celui qui a perdu un sens en développe un autre. Il y a des intelligences qui ne se voient pas. Le handicap c'est un moins, mais on essaye de faire avec. Ce sont les personnes qui nous renvoie vers notre handicap. Le handicap gène les autres. Utiliser une canne blanche c'est montrer que l'on est aveugle. Il y a des codes

questions, l’auteur se sert des différentes études dirigées par des psychologues. Il cherche à savoir comment on devient génie. Les premiers tests de créativité réalisés dans les années 1950 montrent clairement qu’il n’existe pas de rapport entre l’ « intelligence » (montrée par le QI) et la créativité. Ainsi on peut être intelligent et ne pas être créatif, et vice-versa. J.P Guilford a donc cherché par la suite sur quoi reposait la créativité. C’est là qu’apparaît la notion de pensée divergente. La créativité

sur lui quand il est petit, mais dans le passage de Sol, on apprend qu’il était très doué à l’école (p. 86). Dans un premier temps on peut penser qu’il n’est pas très intelligent (p. 136), mais plus tard on verra qu’il a quand même une certaine intelligence (p. 178). Il est très curieux vis-à-vis du travail de sa mère, qui devient son centre d’intérêt, surement pour essayer de comprendre pourquoi sa mère n’était pas là, et pourquoi elle ne s’occupe pas de lui. Il pensait que si il étudiait beaucoup

: La foule est sensible à la dimension esthétique du spectacle Le penseur n'est pas dénué de sensibilité. Les femmes sont attachées à la dimension réflexible, intellectuelle du spectacle. Il nous incite à utiliser notre intelligence critique et il a conscience du caractère péremptoire de son analyse. L'auteur prie le lecteur de réagir à ses propos en proposant une analyse personnelle de ce qu'il attend lui même. ( lignes 26 – 27 ). Après l'analyses des attentes du spectateurs

L2 MIASHS Intelligence artificielle 2006-2007 Sujet de dissertation À rendre avant le 27 mars 2007 Vous lirez l’article d’Alan Turing, « Les ordinateurs et l’intelligence », ainsi que celui de John Searle, « L’esprit est-il un programme d’ordinateur ? ». Turing et Searle débutent chacun leur article en posant la question : « les machines peuvent-elles penser ? » Les deux auteurs proposent au lecteur une expérience scientifique pour étayer leur point de vue. Le premier soutient l’idée

penser. L’art s’adresse à l’esprit autant qu’aux sens. Ce n’est pas simplement une couleur qui plaît, une sonorité qui charme, c’est un ensemble qui émeut, d’une émotion nous saisissant tout entier, corps et âme. L’oeuvre d’art satisfait notre intelligence, comme si le plaisir esthétique était d’un autre ordre que les plaisirs strictement sensuels. Mais il ne s’agit pas d’en faire un plaisir réservé aux plus savants et cultivés. Au contraire, la connaissance de l’histoire, du contexte et de l’origine