Intendant

Acte I, scène 14 (extrait) DUBOIS - Eh ! par quel tour d'adresse est-il connu de Madame ? comment a-t-il fait pour arriver jusqu'ici ? ARAMINTE - C'est Monsieur Remy qui me l'a envoyé pour intendant. DUBOIS - Lui, votre intendant ! Et c'est Monsieur Remy qui vous l'envoie : hélas ! le bon homme, il ne sait pas qui il vous donne ; c'est un démon que ce garçon-là. ARAMINTE - Mais que signifient tes exclamations ? Explique-toi : est-ce que tu le connais ? DUBOIS - Si je le connais, Madame

aux mercantilistes pour qui la richesse n’était que monétaire (fondée sur des métaux précieux). entre 1755 et 1756 il accompagne Gournay alors intendant du commerce à travers la France, et c’est durant cette période qu’il rencontre plusieurs économistes comme Quesnay, Gournay (des physiocrates) ou Dupont de Nemours. En 1761 il est nommé intendant de Limoges où il met en pratique plusieurs des théories qu’il a développées en s’inspirant de Quesnay, considéré comme le 1er physiocrate, et Gournay

mœurs car certains personnages dans les Fausses Confidences sont révolutionnaires : Arlequin qui dénonce le faite qu’on le traite comme un objet, comme si c’était un esclave, se révolte ; et Araminte une bourgeoise riche qui se marie avec un simple intendant ruiné casse les classes sociales, et enfin c’est une comédie de caractère car certaines scènes sont comiques suite au stratagèmes de Dubois comme dans l’Acte 1 scène 14 ou on a une scène presque de farce et également dans l’acte 2 cène 2 ou Monsieur

officier et un commissaire. C)Les intendants. Ses commissaires étaient des intendants qui étaient des auxiliaires du conseil du roi dans une circonscription administrative  : la généralité. Ils étaient choisi parmi les membres du conseil du roi plus particulièrement parmi les maîtres des requêtes. Leur titre exact était intendant de justice, police et finance, commissaire des parties pour l'exécution des ordres du roi. 1- Les services de l'intendance. Les intendants étaient assisté par un personnel

extérieures. Le Conseil d' En Haut se réunit en moyenne un matin sur deux. Le Conseil des dépêches est spécialisé dans les affaires de police (administration) du royaume. Ce conseil centralise les rapports envoyés par les agents provinciaux (les intendants) et il joue le rôle de tribunal administratif suprême : il examine les plaintes formulées par les sujets du roi contre les officiers royaux. Le Conseil des finances s'occupent des impôts. Le Conseil des Parties a un rôle judiciaire, celui d'examiner

importants. Il se met donc en place une très importante bureaucratie et un très grand nombre de scribes qui vont tenir la comptabilité.  L’administration locale Administration divisée en 42 départements. A la tête de chaque département il y a un intendant responsable de la République dans tous les domaines de la vie sociale et politique. Il devait, comme le préfet actuel, recenser la population, administrer les finances, gérer les temples, administrer les terres royales et enfin rendre la justice

tout, et un statut faible et dépendant, comme un esclave, soumis à des tuteurs et intendants. Le verset 3 fait le lien avec le croyant : « nous aussi, quand nous étions des « tout petits » soumis aux éléments du monde, nous étions assujettis. » La réconciliation avec Dieu est décrite comme un processus, comparable à la croissance d’un enfant, dans lequel interviennent différents acteurs, tuteurs et intendants. Le point de départ du croyant est donc une situation où il est dépendant, peut-être

Monsieur Remy, faut-il que je vous le dise ? MONSIEUR REMY __ C'est qu'il est mon neveu. MARTON __ Eh bien ! ce neveu-là est bon à montrer ; il ne dépare point la famille. MONSIEUR REMY __ Tout de bon ? C'est de lui dont j'ai parlé à Madame pour intendant, et je suis charmé qu'il vous revienne : il vous a déjà vue plus d'une fois chez moi quand vous y êtes venue ; vous en souvenez-vous ? MARTON __ Non, je n'en ai point d'idée. MONSIEUR REMY __ On ne prend pas garde à tout. Savez-vous ce qu'il

engager chez Harpagon comme intendant. Tandis que Cléante aime, secrètement aussi, Mariane, une jeune fille pauvre. Harpagon a enterré dans son jardin une cassette contenant dix mille écus d’or et il très inquiet à l’idée qu’on puisse lui voler. Il en vient à soupçonner tout le monde, jusqu’à ses propres enfants. Il apprend à ses enfants qu’il veut épouser Mariane , qu’il a l’intention de marier Elise à un vieillard et Cléante à une veuve. Il demande à son intendant, Valère de convaincre Elise

trois actes et l’un de ses plus grands succès. L’acte II scène 13 met en avant deux personnages amoureux l’un de l’autre et qui n’ose pas se l’avouer. Araminte, jeune fille riche sait que Dorante, son intendant est amoureux d’elle. Ainsi elle élabore un stratagème qui consiste à faire écrire son intendant une fausse lettre d’amour à un comte qui avait demandé Araminte en mariage. Cette manipulation a pour but de faire avouer Dorante, ce qu’il ressent envers elle. La lettre est au centre de ce dialogue