Intendants Principaux Agents De La Centralisation Monarchique

5eme siècle. La base de l'organisation municipale était la cité (civitas). La cité était une circonscription de la province, elles n'étaient pas toutes de la même dimension mais on peut dire qu'elle a servi de base aux circonscriptions féodales et monarchiques. La cité comprenait plusieurs lieux habité, elle avait pour chef-lieu une vile : urbs, a cause des invasions barbares les cités vont se doter peu à peu de rempart notamment à partir du 4eme siècle. Gardant ainsi cet aspect jusqu’au moyen-âge. On

choisir un nouveau vassal. Mais petit à petit les vassaux vont accentuer leur emprise sur le fief. A : l’hérédité des fiefs o L’enracinement du principe Dès le Xème siècle, les fiefs de reprise ou les concessions carolingiennes faites à des agents publics seront héréditaires. Mais ce n’est pas pareil pour les autres types de fiefs. Tout au plus, on admet au XIème siècle que le vassal présente la candidature de son fils à sa succession. Progressivement, la substitution du fils au père va

gouverne en étant assisté de ministres, en nombre assez limité, qu’il choisit lui-même. Pas de ministre principal car sinon c’est prendre le risque qu’il fasse de l’ombre au monarque. Cette France est, administrativement, divisée en circonscriptions territoriales que l’on appelle des gouvernements. Vient se greffer un second découpage, des généralités, à la tête desquelles on trouve un intendant : l’intendant des généralités, qui joue un rôle important dans la monarchie absolue. Il est nommé et

à l'extérieur du royaume. A la fin du XV ème siècle l'état est né. Au cours des 3 siècles suivant du 15e au 18e, l'état monarchique se développe se solidifie dans ses structures comme dans ses moyens. C'est d'ailleurs peut être ce renforcement considérable de l'état, et a cause de ses tendances absolutistes que l'édifice finit par s'écrouler. Tout dans la France monarchique gravite autour de la personne du roi, véritable pilier de l'état. Si le 17e siècle est une période d'apogée pour le pouvoir

marchés, la circulation des denrées, etc - tout ce qui relève de l’administration aujourd’hui. 3) Ces activités de police sont l’ancien nom de l’administration. II- Les agents du roi sous l’AR A- Les officiers et les commissaires L’officier : Le roi met en place, pour rendre la justice, des agents que l’on qualifie d’officiers. (agent= fonctionnaire sous l’AR). Le roi nomme ses officiers et leur donne une « lettre de provision d’office » et les rémunère avec des gages. Mais les O ont une autre source

griefs contre les intendants…). En aucun cas il n’y a des revendications contre le régime. Si on pousse l’examen, on constate que certaines doléances sont spécifiques à certains cahiers, et d’autres sont communes à tous les cahiers. Les positions communes à tous les cahiers. L’attachement à la forme monarchique de l’Etat français n’est jamais remis en cause. On décèle dans ces cahiers de doléance un attachement profond au roi, à la dynastie et à la forme monarchique de l’Etat. Des critiques

doit s’efforcer d’atteindre. Rôle du pharaon : il devra réaliser sur terre cet idéal. Raison pour laquelle pharaon possède un caractère divin et fait aussi l’objet d’un culte. PARAGRAPHE 2 : ELEMENTS JURIDIQUES ET INSTITUTIONNIELS A) Les principales caractéristiques Dès l’époque ancienne. 1e système juridique est développé des l’Ancien Empires. Aussi B au niveau du droit public que du droit privé. 1. le Droit public Tout pouvoir appartient au pharaon : monarque absolu mais il gouverne

souveraineté absolue gît en un seul prince". La monarchie est l'Etat dans lequel le souverain est un homme. Pour être efficace, sa souveraineté doit être une et indivisible, non déléguée, perpétuelle et suprême. Souveraineté une et indivisible : monarchique Non déléguée : pas d’élection Perpétuelle : héréditaire Suprême : totalement indépendante des pouvoirs intérieurs ou extérieurs au royaume. L’absolutisme n’est rien d’autre que la souveraineté poussée à sa perfection. Un pouvoir qui n’est limité

un territoire bien délimité, il faut une population qui réside sur le territoire de cet état, une bureaucratie hiérarchiser ( personnes chargées de faire fonctionner l’administration) centraliser autour d’un pouvoir, avec des dirigeants et des agents au service de cet état qui exerce une fonction publique de façon impersonnelle ayant pour but le bien public, le bien commun, l’intérêt général, c’est à dire que dans un état au sens moderne du terme, le pouvoir politique ne se résume pas aux personnes

modifier le mouvement révolutionnaire, l'assemblée portera le nom de Convention qui proclamera la 1ère République ( 21 septembre 1792). la rupture est surtout idéologique et philosophique car il y a une rupture dans la conception même du fondement monarchique, changement de type de monarchie, on remet en cause la monarchie de droit divin. C'est une période où on remet en cause la société par ordre, la féodalité, c'est la place de Dieu elle-même et de l’Église dans tout le dispositif institutionnel du