Intentionnalité

pour Koltès la possibilité de construire un mythe propre à notre modernité ? Roberto Zucco : « Je suis un tueur » Ce qui caractérise le méchant selon Michaux ou Cioran, ce n’est pas tant un acte accompli, mais c’est le fond qui anime leur intentionnalité, la nature de leur élan par rapport aux autres. Alors que les hommes ordinaires, spectateurs et contempteurs du monde ambiant se sont recouverts des voiles de la convention les amenant à n’être plus que cette apparence studieuse et régulière,

individus sont donc foncièrement différents les un des autres. Ils n’ont pas les mêmes aptitudes, les mêmes compétences, ni les mêmes tendances naturelles face aux fonctions qu’ils ont à remplir en entreprise. Leur comportement, qui résulte d’une intentionnalité et d’une réaction de leur personnalité à des évènements extérieurs, est motivé. De ce comportement dépend la cohésion de l’organisation dont ils font partie. Autrement dit, pour Chester Barnard, le rôle que tient un individu dans une organisation

la forme qui est propre chaque tre. Il y a donc une chose commune entre lintelligence et lobjet. Connatre cest spcifier lobjet. Husserl Toute conscience est conscience de quelque chose. Lactivit de la conscience est forcment lie un objet. Intentionnalit pouvoir de viser dans un objet ce qui est intelligible qui permet de dterminer ce quil est. Mardi 13 Novembre Lidalisme dit que le sujet ne peur sortir du lui-mme donc on ne connat que ce qui est en soi. La perspective kantienne dit que lon ne

peux pas douter que je suis en train de douter, que je  pense : le fait de penser que je  doute prouve mon existence. « je pense donc je suis ».      Toute conscience est « tensions vers » (phénoménologie) conscience intentionnelle «le mot intentionnalité ne signifie rien d'autre que cette particularité foncière générale qu'a la conscience d'être conscience de quelque chose». La pensée ne peut pas se penser sans penser l'objectivité de l'objet. Le «Je pense» doit pouvoir accompagner toutes mes

représenter ou l’exprimer. A la suite notamment de Husserl, la philosophie moderne insiste sur le caractère ouvert de la conscience : « toute conscience est conscience de quelque chose ». Les phénoménologues (Husserl, Merleau-Ponty) nomment « intentionnalité » cette structure d’ouverture de la conscience : nous avons besoin de l’autre pour accéder à nous-mêmes. « L’autre est le médiateur entre moi et moi-même » (Sartre). La psychanalyse confirme ce point de vue. La conscience n’est pas entièrement

correspond à la volonté de se fier à un partenaire d’échange en qui l’on croit. alors que Ganesan la définit comme "une croyance, un sentiment ou une attente concernant un partenaire commercial qui résulte de son expertise, de sa fiabilité et de son intentionnalité" (Ganesan, 1994) , elle est un phénomène complexe bidimensionnel:c'est à dire d'une part, on trouve la crédibilité dans laquelle on reconnaît au partenaire commercial une expertise pour accomplir son travail de façon efficace et fiable, et d'autre

partie à l’éducation, il apprendra à utiliser la raison et la logique plutôt que l’imagination et c’est ainsi qu’il deviendra adulte. Dupré conclura, qu’au-delà de 8 ans (âge auquel l’enfant prend conscience du mensonge en tant que tel, de son intentionnalité), si la mythomanie persiste, alors elle sera pathologique et signe de dégénérescence. Pour ce dernier, la mythomanie représente un état physiologique et résulte de l’exercice normal des fonctions psychiques. En effet, pour lui, « l’enfant est

Psychologie socialeIntroduction : Qu’est-ce que la psychologie sociale ?Nous sommes tous des êtres sociaux. Cela se traduit dans nos pensées, nos émotions, nos comportements. Cette discipline étudie les effets de la présence continuelle d’autrui autour de nous et en nous.Définition (G. Allport, 1954) : La psychologie sociale est la discipline scientifique qui vise à comprendre et à expliquer la façon dont les pensées, les sentiments et les conduites des individus sont influencés

résumer en disant que pour elle, il ne peut y avoir de don que s’il n’y en a pas, que s’il n’existe ni don, ni objet donné, ni récepteur; en bref, il n’y a don que si le don, ainsi réduit à une pure donation, est strictement dépourvu de toute intentionnalité. – La seconde (portée notamment par la Revue du MAUSS) propose au contraire de ne pas se polariser sur la dichotomie de l’intérêt et du désintéressement, du calcul ou du hors-calcul, et d’assumer la thématique maussienne de l’enchevêtrement, au

l’émetteur ou des émetteurs - mode d’identification des émetteurs, - date de production, - type de support et technique, - format, - localisation. Stylistique - nombre de couleurs et estimation des surfaces et de la prédominance, - volume et intentionnalité du volume, - organisation iconique (quelles sont les lignes directrices ?) Thématique - quel titre et quel rapport texte-image, - inventaire des éléments représentés, - quels symboles, - quelles thématiques d’ensemble ? (quel sens premier ?)