Interaction

cadres » Il sait ou est apte à: • Comprendre: – lui-même (ses réactions dans une situation donnée, ses propres motivations, ses objectifs formels et latents, ses atouts, ses difficultés…) – les autres (les valeurs et les comportements, les interactions, les phénomènes de groupe, les leviers et les blocages dans l’action, les potentiels, la valeur ajoutée, les représentations,…) – les organisations (celle à laquelle il appartient, celle qu’il dirige, celles avec lesquelles il est en relation professionnelle

l’interactionnisme symbolique : Trois principes fondamentaux animent les recherches issues de ce courant : 1. Les hommes agissent à l’égard des choses en fonction du sens que les choses ont pour eux ; 2. Ce sens est dérivé ou provient des interactions de chacun avec autrui ; 3. C’est dans un processus d’interprétation mis en œuvre par chacun dans le traitement des objets rencontrés que ce sens est manipulé et modifié. Dans ces trois principes, on peut retenir les deux propositions de base

Adapter message ne fonction de l’habitus donc message adapté à notre cible. Ils vont comprendre ce qu’on essaye de faire passer. Goffman: -Question 2.1 : L’image que je donne dépend de mon jeu d’acteur. Néanmoins, l’identité se définit par des interactions sociales. Il y a pleins d’itentités possibles selon les situations et les personnes avec qui on est. Selon la règle de la face, c’est ce que je vais donner à voir de moi-même quand je suis en intercation et l’interpretation que les autres vont

donner à quelqu’un ce qu’il à besoin, et en retour cette personne recevra ce qu’elle a besoin elle-même. Cette solidarité repose donc sur l’intérêt commun de toute la population. Cette solidarité est dite « solidarité mécanique », elle favorise les interactions au sein d’une population lors d’une augmentation de la densité de population.

les personnes en interaction - et non en tant qu'individu - comme des acteurs qui mènent une représentation. En 1974, il publie Les cadres de l’expérience, consacré à l'étude de différents registres de la communication interpersonnelle, tant au niveau du langage que des attitudes corporelles. (Source Wikipédia). II-Thème principal Le thème abordé est la « stigmatisation », à travers l’analyse des stigmates l’auteur cherche à développer une analyse générale des interactions humaines. La problématique

but commun, limité par sa taille, où chacun connaît tous les autres et peut établir avec eux des relations personnelles. Il existe trois caractéristiques : - interaction des comportements, - structuration des interactions, - évolution des interactions. 2) CARACTERISTIQUES PSYCHOLOGIQUES D'UN GROUPE (R.Muchielly)  Interactions (ou échanges verbaux et non verbaux) - chaque membre du groupe agit et réagit par rapport à tel membre ou au groupe entier, de façon directe.  Emergence de normes

crèche. En m’appuyant essentiellement sur la perspective interactionniste sociale, l’hypothèse principale que je souhaiterais tester est que les enfants gardés à la maison devraient avoir des capacités de communication plus faibles du fait de leurs interactions sociales moins nombreuses, mais un niveau de langage plus élevé grâce a la richesse de la relation privilégiée avec un adulte. Il s’agirait de faire passer à une population de 40 enfants (20 gardés par la mère et 20 gardés en crèche) sélectionnés

s'adressera toujours à la famille entière. Chacun des membres s'exprime avec les thérapeutes afin d'expliquer sa place au sein de la famille. Dans cette objectif, la psychothérapie systémique insiste donc sur l'importance des règles qui régissent les interactions des membres familiales afin d'agir dessus pour les modifier. MÉTHODE PSYCHANALITIQUE : Psychothérapie d'inspiration analytique : C'est une thérapie qui vise à remanier l'équilibre en général de la personne en mettant l'accent sur le sens

GOFFMAN : identité et interactions Les lignes qui suivent rendent compte de manière non exhaustive d’un ouvrage essentiel de Goffman : « La mise en scène de la vie quotidienne » (éditions de minuit, 1987). Quelques idées font également référence à l’ouvrage « Les rites d’interaction » (éditions de minuit, 1988). Parmi les courants sociologiques, Goffman appartient au courant interactionniste. Il développe ses analyses en posant l’hypothèse qu’une étude des interactions s’intéresse non pas

l’entreprise. 1- Du concept de business model à sa représentation Au cœur du concept de business model (BM dans la suite de cet article) se trouve celui de modèle. Ce concept implique en sciences sociales une identification de différents éléments en interaction qui donnent à voir la cohérence (ou non) d’une réalité et produisent un résultat. Ainsi, lorsque Michel Albert décrit les modèles de capitalisme, et notamment ses formes anglo-saxonne et rhénane, plusieurs traits constituent chacun d’eux de façon