Interjection

En grammaire, les connecteurs logiques sont des morphèmes (adverbes, conjonctions de coordination ou de subordination, parfois même interjections), qui établissent une liaison entre deux énoncés, voire entre un énoncé et une énonciation. Ils regroupent des connecteurs logiques et des connecteurs argumentatifs comme «mais», c'est-à-dire des mots qui, en plus de leur rôle de jonction, insèrent les énoncés reliant dans un cadre argumentatif. L'étude des connecteurs intègre ainsi les perspectives de

Je », « mon » : parle de sa souffrance -> portée autobiographique. rythme – allitérations en liquide « l » + sonorité sourdes « an » ou « on » + ponctuation = virgules + anaphores (répétitions) : « quand reverrai-je ? » = chant de deuil. interjections – hélas -> hémistiche + expression de la plainte. Tonalité élégiaque : exprimée sur le ton de la plainte -> méditation mélancolique du poète. C) Sonnet bâti sur opposition Rome/Liré (2derniers tercets) Oppositions lexicales ex : marbre dur

et monologue déploratif. Noter qu’à l’exception notable du monologue d’Oreste, qui est uniquement déploratif, les trois autres relèvent des deux types. — Caractéristiques de la déploration : marques affectives (interrogations, exclamations), interjections, lexique de l’affectivité, répétitions (souvent anaphoriques), phrases courtes ou inachevées, rythme irrégulier ou haché des vers. — Caractéristiques de la délibération : interrogations faites à soi-même, connecteurs logiques, texte structuré en

affectives : Solitude et détresse de l’enfant rescapé et abandonné. Conditions pitoyable (vaincu « tête humiliée ») Soumission, passivité Champs lexical du chagrin : larmes, pleurent, chagrins Pitié du narrateur : passage du récit au dialogue. Interjection, interrogation : sollicitude, consolation. Attitude protectrice et réconfortante (anaphore « veux-tu ») II. Images de la paix, du bonheur et de l’innocence Contrepoint du malheur Opposition passé/présent et présent/futur : -

idéal à l'évocation de l'amour c) Dramatisation : Ronsard évite la monotomie mièvre en dramatisant son alégorie, il ajoute une trame dramatique La narration se fait en une journée (matin : va à la rosée/ l'invitation/ la promenade le soir) Interjections => tonalité dramatique II- Mise en place de la métaphore. a) Beautés équivalents : Métaphore au V1 « mignonne.. rose », qui se résolue à la fin V17 « comme à ceste fleur la vieillesse.. » b) Finesse et retenue : Ronsard reste dans

enchaine : La France souffre d’être esclave de l’occupation Allemands Nazis. (Les paroles ne cite jamais les allemands tout n’est qu’allusion, symbole sous entendue mais dans le contexte de l’époque tout le monde c’est de qui l’on parle) Ohé : Interjection servant à appeler quelqu’un. Ici les auteurs appellent le peuple français, (Tout le monde). Partisans : Combattants volontaires prêt à défendre leurs libertés (Ils représentent la France secrète) Ouvriers et paysans : les usines sont à la solde

multitude d'expressions et d’interjections : bas-bleu, cordon-bleu, ruban-bleu, sang-bleu, baby-blues, pilule bleue pour certains d’entre vous et bien sur les bleus … etc." Le bleu a même donné naissance à des interjections bizarres :  "ventrebleu, morbleu, sacrebleu, parbleu, etc." Ces interjections ne sont pas innocentes. Ce sont des injures construites au départ sur le nom de Dieu. Elles ont été modifiées pour éviter un sacrilège en remplaçant le mot Dieu par le mot bleu. Je pense Dieu mais je dis

langage pour persuader. I/ Une femme de caractère, au langage vif et libéré a) Une parole vive :  Beaucoup de question qui ne laisse pas le temps à l’abbé de réagir  Phrases nominales qui traduisent son emportement  Exclamations et interjections qui traduisent son indignation  Langage imagé qui révéle l’indignation chez le lecteur - « menton couvert d’un vilain poil rude …qu’il faut tondre de fort près » détail physique caricaturé - Description de la princesse allemande : multiplication

Ø ». Le déplacement : sert à déplacer un syntagme. Ex : « Trois lapins dorment dans la maison » ( « Dans la maison trois lapins dorment » Nature : verbes, noms, déterminants, pronoms, adjectifs, adverbes, prépositions, conjonctions et interjections. Fonctions : sujet, attribut du sujet, épithète, complément du nom, compléments d’objet et compléments circonstanciels.

"inventer" un monologue, d'analyser précisément les caractéristiques particulières de chaque personnage pour se fonder sur elles. Ainsi, Lorenzo exprime ses craintes et ses atermoiements avant l'assassinat d'Alexandre. La multiplication des interjections, des interrogations et la marque de la suspension indiquent sa profonde hésitation et son désarroi face à l'acte qu'il envisage de commettre. La parole, ainsi rapportée, rend compte de la pensée chaotique du personnage. Pour sa part, le jardinier