Intermédiation Désintermédiation Quel Rôle Pour

financements publics des investissements (25% en 1970, 13% en 1980 et remonte à 20% en 1984) risque de financement des déficits par la création monétaire d'où pression inflationniste. Rôle des banques majeur depuis le plan Rueff (1958) et les réformes Debré de 1966-67 d'où des coûts de transaction plus élevés (intermédiation bancaire) ; un système potentiellement inflationniste puisque repose sur le crédit donc création monétaire qui peut aboutir à une offre de monnaie>création de richesses d'où inflation

prix : entre raison et illusion ?(prix unique, prix différencié, yield mangement, prix forfaitaire, sensibilité-prix, coûts, taux de marge, prix cible, modèles de gratuité)2Distribution de l'offre : peut-on se passer d'intermédiaires ?(intermédiation, désintermédiation, réintermédiation, canal, distribution directe et indirecte, distribution intensive, sélective, exclusive, unités commerciales physiques et virtuelles, ECR - Efficient Consumer Response, EDI)Le consommateur dicte-t-il les choix de distribution

Quel rôle jouent les banques dans le processus de la globalisation financière ? Introduction La globalisation financière désigne selon le professeur Plihon « le processus d’interconnexion des marchés de capitaux aux niveaux national et international, conduisant à un marché unifié de l’argent sur la planète ». L’interconnexion des marchés de capitaux peut a priori se concevoir sans l’existence des banques, dont les fonctions traditionnelles sont principalement la collecte de dépôts et la distribution

traduirait par un mouvement de désintermédiation des financements ; autrement dit, la finance directe se développerait au détriment de la finance indirecte. L’analyse du taux d’intermédiation au sens strict (crédits / financements totaux) semble en première approche confirmer ce phénomène : égal à 71% en 1978, il a diminué régulièrement au cours des décennies passées pour atteindre 43,2% en 2000 [1]. Toutefois, il faut tenir compte du fait que pour compenser le recul de leur rôle traditionnel, les banques

obligation, action) et les investisseurs qui les souscrivent. On parle de finance directe ou finance de marché [pic] Jusqu’au début des années 80, la frontière entre finance directe et indirecte était claire et les banques avaient un rôle prédominant dans le financement de l’économie. (3/4 de l’économie). Les mutations bancaires et financement (système) des 20 dernières années ont conduit dans un premier temps au développement de la finance de marché au détriment de la finance intermédiaire

traditionnellement, l’Etat se finance grâce aux impôts et taxes, aux droits de douane et parfois par la création monétaire. L’impôt est, effectivement, le moyen classique pour l’Etat de financer son activité. De même, les droits de douane ont longtemps joué un rôle majeur dans le financement des pouvoirs publics : ils constituent près de la moitié de leurs recettes aux Etats-Unis au milieu du 19ème siècle… Enfin, le financement par création monétaire a toujours été pratiqué, jusqu’il y a peu : l’exemple célèbre

Situation du Maroc après le programme d’ajustement structurel LE SECTEUR FINANCIER L’évolution récente de l’ intermédiation financière Le libéralisme a toujours constitue une base et une référence pour toutes les politiques économique que le Maroc a adopté depuis les années 60 néanmoins ; depuis le début des années 80 et suite a l’adoption de la politique du PAS le Maroc est entré dans une nouvelle phase de libéralisme économique caractérisé par un désengagement relativement intense de

LA TITRISATION Résumé du chapitre : Dans cette partie, vous apprendrez ce qu'est la titrisation, ses différentes formes, qui sont les intervenants dans le marché et les avantages qui lui sont associés (les notions de désintermédiation et de ratio Cooke sont supposées connues du lecteur). 1.1. Définition de la titrisation D’un point de vue général, une des caractéristiques les plus importantes des développements récents

2. Caractéristiques de la globalisation financière Depuis les travaux de H. Bourguinat (finance internationale, PUF, 1995) la globalisation financière est analysée à partir de ces trois composantes : décloisonnement, déréglementation et désintermédiation (d’où l’expression 3D). * Le décloisonnement et la déréglementation correspondent à l’abolition des frontières entre des marchés financiers jusque-là séparé et segmentés. Il s’agit en fait d’un double mouvement : - Une ouverture vers

Financement interne ou externe : o Financement interne : à partir de l’épargne des agents → autofinancement o Financement externe : à partir de capitaux provenant d’agents extérieurs - Financement direct ou indirect o Financement indirect ou intermédiation L’avantage de ce type de financement est que la banque rend compatibles les horizons temporels différents des épargnants et des emprunteurs. Les épargnants ont un horizon temporel court. Ils veulent pouvoir disposer de liquidité quand ils