Internaliste Externaliste

complémentarité et les oppositions entre perspectives internaliste et externaliste dans l’étude de l’objet cognition/connaissance. cognition.jpg Quels sont le ou les dénominateur(s) commun(s) de ces deux approches? SOMMAIRE Introductionp.2 Définition de la cognitionp.3 1.1 Définition générale 1.2 Information et cognition Deux approches complémentaires : vision internaliste et externalistep.4 Vision internaliste Vision externaliste Deux approches qui s’opposentp.6 Conclusionp

ont l'information pour objet. Deux approches complémentaires : visions internaliste et externaliste Trouver des auteurs. Sans avoir la prétention d'apporter un recensement exhaustif de l'ensemble des notions et concepts intervenant dans la construction de ces deux écoles de pensées, il convient pour répondre à la problématique soulevée par Bénédicte Facques de distinguer ces deux courrants. La vision internaliste explique que la cognition dépend essentiellement des mécanismes cérébraux

L’externalisme nie simplement cette affirmation. La plupart des théoriciens soutenant une position externaliste sont, de près ou de loin, liés à l’école fiabiliste, alors que l’une des influences majeures des théoriciens internaliste est une forme de conception déontologique de la justification. Nous allons dans cette séance examiner de manière détaillée les diverses options externalistes et internalistes, pour essayer d’évaluer ces positions, en particulier en ce qui concerne le lien entre la justification

débats politiques. Latour évoque la difficulté à donner de la science une explication sociale → critique externaliste des sciences. La théorie inductiviste est une façon de faire de l’épistémologie internaliste : elle pose les questions de « comment se construit le savoir » en cherchant à l’intérieur même de la science ses conditions d’élaboration. En revanche, la critique externaliste va chercher dans le contexte, social, politique, idéologique, ce qui va favoriser l’émergence de telle ou telle

ce conflit, deux groupes s’opposent : Les « internalistes » de la Personnel Management School, et les « Externalistes » de la Institutional Labor Economics School sur les sept solutions possibles retenu par Adamset Sumner : La possibilité de grève et boycott, le syndicalisme, l’intervention d’agences privées ou publiques, les méthodes de partage de profit, la mise en place de coopératives, la formation des travailleurs et enfin, la loi. Les externalistes souhaitent trouver une solution par l’extérieur

| |2.4 L’épistémologie est aussi l’histoire des sciences | |2.4.1 La vision internaliste | |2.4.2 La vision externaliste | |3 Courants épistémologiques | |3.1 Le positivisme

réponse. Ainsi, suite au problème défini par le philosophe d’outre Atlantique dans son article « Is Justified True Belief Knowledge? », deux conceptions de la justification émergent, opposant l’internalisme et l’externalisme notamment. Les internalistes partent du principe que M peut être justifié dans sa croyance que N, même si N est fausse. Selon eux, la justification est interne au sens ou elle dépend d’états internes du sujets (c’est-à-dire ses croyances, expériences conscientes…). La justification

pourquoi elle est vraie. Nous retrouverons plus loin cette idée selon laquelle une croyance n'est justifiée que si le sujet dispose d'un accès épistémique à la base de justification : c'est la thèse fondamentale des théories internalistes de la justification. Les théories externalistes de la justification (dont Nozick nous offre ici un premier exemple) affirment au contraire que la base de justification de nos croyances ne nous est pas nécessairement accessible ; il se peut que nos croyances ne soient

point de vue paradoxal puisqu’il s’appuie sur une théorie internaliste dans sa conception de l’intentionnalité des œuvres d’art, mais s’adosse à une théorie externaliste pour expliquer certains effets de leur agence, comme l’idolâtrie ou l’anthropomorphisme. La théorie internaliste part du principe que les humains attribuent la source des comportements qu’ils observent chez autrui à une intériorité mentale, tandis que la théorie externaliste part du principe que l’on attribue aux autres un esprit sur

conditions de Gettier. Dans un premier temps, il ne gardera que les deux premières conditions à savoir : S sait que P ( (1) P est vrai et (2) S croit que P, P désignant un objet épistémique et S une personne. On devine alors plutôt une approche externaliste chez Nozick. Il ne juge pas nécessaire revenir sur la démonstration de cette implication, en effet il paraît acquis que si S sait que P c’est que nécessairement S croit que P, en ce sens la connaissance implique la croyance. Ce point est facilement