Interprétation Des Rêves

* Procéder à une lecture linéaire scrupuleuse permettra de confirmer (ou d’infirmer) ses impressions, les justifier, les expliciter, les affiner, les reformuler. Vous pourrez utiliser un crayon de couleur différent pour chaque piste, chaque interprétation. La règle sera de ne faire état d’aucune impression qui ne soit appuyée sur des indices textuels : « je ressens, je recense ». * Identifier différents niveaux d’analyse pour varier les remarques, leurs richesses (graphique, lexicale, grammaticale

extraordinaire de cette pièce ? Peut être de l’écart entre une extrême théâtralité et les réflexions philosophiques du héros, de ce jeu entre action et réflexion (Acte III Scène 1) Quelques personnages majeurs. Trois thèmes majeurs. Des interprétations philosophiques. I Structure du texte. La source de Shakespeare, ce sont des histoires danoises de Saxo Germanicus qui raconte l’histoire d’un prince du Ve siècle qui se venge du meurtrier de son père. C’est une pièce en actes qui se divise

puis que cette morale est absente et se situe à la place les pensées du narrateur rejoignant et argumentant l’histoire de Perette permettant de mettre en évidence l’enseignement. La Fontaine, par le biais de l’ironie, va permettre différentes interprétations de ce texte le rendant très intéressant à lire et très complexe à étudier. Cette fable raconte la mésaventure d’une laitière allant vendre un pot de lait et rêvant de ce qu’elle pourra élever comme animaux avec l’argent gagné, mais qui, perdu

intérêt pour Freud parce qu’elle ne s’applique pas seulement aux maladies mais s’appliquent à la vie de tout hommes dit « normal ». 2. Les manifestations quotidiennes de l’inconscient dans la vie de tout homme : *le rêve : l’interprétation des rêves et la voie royale qui mène à la connaissance de l’inconscient. C’est le retour du refoulé comparable aux symptômes de l’hystérie. Or comme le retour du refoulé est déguisé, il faut distinguer le contenu manifeste (patent, conscient : ce qui se passe

machine inconsciente d’elle-même. L’inconscient ou l’étrangeté de l’homme à lui-même La psychanalyse, dont Freud a jeté les fondements au début du XXe siècle, propose quant à elle une interprétation des causes inconscientes de notre conduite. Selon Freud, le sens de conduites, apparemment dépourvus de sens (rêves, lapsus, actes manqués…), s’éclaire à l’idée d’une action de l’inconscient. L’inconscient désigne alors non seulement l’ensemble de ce que Spinoza appelait nos appétits, mais l’ensemble

les hommes aspirent.  C’est dans ce moule que s’ancre le poème « le cancre » tiré de son recueil intitulé paroles. Révolte et engagement se lisent entre ses lignes car il n’aborde pas la question d’une manière directe et apparente, plusieurs interprétations peuvent être attribuées à ce poème qui semble se métamorphoser selon le contexte dans lequel il s’insère pour refléter son image par un enchevêtrement de significations auxquelles il fait référence. On peut lire le conflit entre ouvrier et patrons

xixe siècle, le « super naturalisme » de Gérard de Nerval, le « surnaturalisme » d'Emanuel Swedenborg[réf. nécessaire] et aussi le symbolisme de Charles Baudelaire et de Stéphane Mallarmé et, enfin surtout, le romantisme allemand de Jean Paul (dont les rêves annoncent l'écriture automatique) et d'Hoffmann peuvent être considérés comme des mouvements précurseurs du surréalisme. Plus proches, les œuvres littéraires d'Alfred Jarry, d'Arthur Rimbaud et de Lautréamont, et picturales de Gustave Moreau et Odilon

« démon » qui nous possède. On sort de la science pour entrer dans la métaphysique (au sens kantien de « connaissance » de ce qui n'es pas accessible à partir de l'expérience) et à la limite dans la mythologie. Dire que l'inconscient explique les rêves, les actes manqués est une chose ; en faire un suie un Moi auquel il faut rapporter mes actes et mes pensées, c'est outrepasser les limites de la science. En résumé donc, s'il y a bien une science qui a recours à l'inconscient, il ne s'agit là

voir les symboles . Nous sommes aveugles aux correspondances Le thème de la rêverie dans « l’invitation au voyage » Le poeme est un voyage imaginaire ou Baudelaire peut s’echapper de sa vie et aller quelque part d’autre. Ce voyage est dans ses reves 1) structure du poeme - nous donne l’impression que les vers nous bercent- la longueur des vers, le formation des refrains/ strophes, langage concret dans les strophes et abstrait dans le refrain 2) lien entre le lieu - Amsterdam : pas de bruits

Conclusion la vision de Cocteau sur la mort P. INTRODUCTION 1)Le mythe d' Orphée: Le mythe d’Orphée qui était rapporté par Ovide dans son œuvre intitulé les métamorphoses, a inspiré beaucoup d'artistes et fait l'objet de mul­tiples interprétations. Jean Cocteau nous a ravivé ce mythe grec en 1926 dans sa pièce Orphée tout en donnant un aspect d ' invraisemblance et une modernité absurde. Orphée est un poète qui passe son séjour à prendre des phrases incom­préhensible d'un cheval;en abandonnant