Intérêt Et Limite De La Libéralisation Des échanges

LA LIBÉRALISATION COMMERCIALE EN CONCURRENCE IMPARFAITE par Elisa PAULIN Maître de conférences en Sciences Economiques, Université des Antilles et de la Guyane La plupart des pays en développement et en transition se sont convertis dans un modèle libéral de politique économique préconisé par les institutions de Bretton Woods. Ce modèle qualifié de « consensus de Washington » fixe parmis ses priorités la libéralisation du commerce extérieur et la poursuite d’une croissance par l’exportation

s’approvisionner en biens qui, soit ne sont pas disponibles sur le territoire national, soit pour lesquels les coûts (ou la qualité) sont différents de ceux que l’on trouve dans le pays. D’après David Ricardo, un pays qui n’a pas d’avantage absolu a intérêt à se spécialiser dans la production pour laquelle il est le moins désavantagé. En effet, la fragmentation de la production consiste en ce qu’un bien donné incorpore des composants de produits venant de différents pays du monde. Ceci étant désormais

L’essentiel du cours La libéralisation du commerce mondial doit permettre à chaque pays participant aux échanges de profiter de l’ouverture des autres pays pour assurer la croissance de son économie et stimuler l’innovation. Le fait que certains pays cherchent malgré tout à protéger leur économie a conduit à l’institution de règles communes pour supprimer les entraves au libre-échange. I. Les effets positifs de la libéralisation du commerce mondial A. La libéralisation des échanges, source de croissance

d’internationalisation des transactions commerciales, financières. Lié à la libéralisation des échanges et leur intensification. Phénomène d’intégration économique, globalisation contribue à rendre les pays interdépendants notamment avec la libre circulation des B&S, des capitaux, des hommes, des idées, de la technologie. La Globalisation se traduit par un effacement progressif des frontières et par un accroissement -des échanges de B&S -des mouvements de capitaux -du rôle des entreprises multinationales

faveur les accords existants ; les Etats-Unis voulaient un nouveau cycle de libéralisation ; l’Europe le voulait aussi mais en l’équilibrant par un enrichissement des règles économiques mondiales sur les « sujets de Singapour ». Cancun a fait éclater ces ambiguïtés et l’échec de la conférence pourrait engendrer une panne durable de l’OMC. Cette dernière doit affronter deux grands défis. Un défi systémique est lié aux limites de la « méthode de fabrication » du consensus international, que l’OMC

Exportations mondiales avec les produits intérieur de la production. (X+M)/ PIB. Sur le LT, on obtient l’équilibre commerciale import=export 3 limites : * Le numérateur (les exportations) quantifie une production alors que le dénominateur (PIB) quantifie une valeur ajoutée. Ceci favorise les petits pays qui ré exportent. * Le numérateur se limite se limite au seul bien alors que le dénominateur intègre des services. * L’indicateur ne prend pas en considération l’évolution des prix relatif

l’égard du système financier. Qu’est-ce que la globalisation ? La globalisation de l’économie, c’est l’émergence d’un grand marché potentiel, constitué par l’ensemble des pays de la planète, sur lequel les firmes transnationales mèneraient sans limites des transactions de tous ordres. Il ne faut pas confondre cet objectif, qui n’est pas encore atteint, et ne le sera sans doute jamais complètement, avec l’internationalisation des grandes entreprises, une réalité plusieurs fois centenaire. Par exemple

considération les intérêts des pays en développement.Nous pouvons citer comme exemple,que les pays en développement bénéficient d’une prolongation de délai pour appliquer les nombreuses dispositions des Accords de l’OMC, ils peuvent également accroître leur pouvoir de négociation en concluant des alliances avec d’autres pays avec lesquels ils ont des intérêts en commun.... Ensuite, il faut savoir qu'il ya toutes une listes de dispositions que l'omc pourrait mettre en place pour limiter la domination

Libéralisation des échanges : Illustration avec le secteur agricole Introduction Le libre-échange, autrement appelé la libéralisation, est un courant économique qui vise à maximiser les échanges commerciaux à l’échelle internationale. A l’inverse de la pensée protectionniste, tout pays suffisamment développé et spécialisé dans un type de production, a un intérêt majeur à échanger avec le reste du monde. Cette libéralisation et la facilité d’échange s’obtient par l'absence de barrières

préconisaient à cette époque des mesures présentées comme la recette de la croissance économique dans les Pays en Voie de Développement (PVD). Connue sous le nom de "consensus de Washington" elle incluait : Privatisation Discipline budgétaire Libéralisation des échanges Déréglementation Puis en 2000,les objectifs du Millénaire, à atteindre en 2015 ,sont définis sous forme de niveaux de réduction de la pauvreté, de la faim, de la maladie, de l’analphabétisme, de la dégradation de l’environnement et