Inutilité De La Littérature

Alors, s’il est vrai que le discours critique fait advenir par rapport au discours de l’écrivain l’exigence nouvelle d’une rationalité, il faudra donner à la critique un statut propre, en particulier renoncer à la maintenir dans les limites de la littérature. Ceci suppose que la critique littéraire, ne se contentant plus de décrire le produit achevé, le préparant ainsi à être transmis, c’est-à-dire consommé, déplace son intérêt, et se propose comme objet (à expliquer, et non plus seulement à décrire)

répétition de « qui dort? ». Trois interprétation: -On a une litote: « soleil éternel ». -On a un faux dialogue. On a la réponse à une question par une question en répétant cette question. -Le narrateur va répéter la possibilité qu'à la littérature de faire revivre un absent, quelqu'un qui n'est plus. Le fait que l'écrivain s'adresse à sa plume, est un passage auto-référentiel, méta poétique (quand la poésie parle d'elle même). Cohen dans son incipit commence par ça; par une adresse à la

choisi ce sujet car la littérature et la philosophie sont des domaines qui m’ont toujours intéressé ; j’avais bien lu une pièce de Sartre avant, mais j’étais peu familiarisé avec sa philosophie. Ce qui m’a le plus attiré chez cet auteur, c’est d’abord sa philosophie concrète et facile à comprendre, qui se distingue de celles plus abstraites et difficiles d’accès de beaucoup d’autres penseurs ; c’est aussi la place qu’il semble avoir prise dans la société et la littérature actuelle (aujourd’hui, on

France, un amalgame conceptuel et méthodologique entre la psychologie du sport et la préparation mentale. Cette opacité est surtout française. Le terme de préparation mentale est le plus fréquemment employé, mais il varie selon les pays. Dans la littérature anglo-saxonne, le terme d’entraînement mental, ou entraînement des habiletés mentales, prévaut sur celui de préparation mentale. Les auteurs germaniques parlent eux d’entraînement psychologique. Mais un autre terme vient envahir la presse et les

I. Emile Zola Naturalisme Le naturalisme présente l’issue partielle du réalisme. Il domine la littérature entre 1870 et 1890 et reflète donc l’évolution de la société vers le milieu du XIXe siècle et dans les trois décennies de sa seconde moitié. Comme dans le réalisme, ce sont des documents qui jouent un rôle important. Ce mouvement veut parvenir à une rigueur toute scientifique en littérature. Les naturalistes puisent dans la science positiviste la thèse que les conditions physiologiques

étudier les lettres qu'ils le sont à présent, et il n'existait alors aucun précepteur qui puisse ressembler à ceux que tu as eus. Les temps étaient encore ténébreux, ils sentaient l'infélicité et la calamité des Goths, qui avaient mis toute bonne littérature à destruction. Mais par la bonté divine, la lumière et la dignité ont été à mon époque rendues aux lettres, et j'y vois de tels changements qu'il me serait aujourd'hui difficile d'être reçu dans la première classe des petits gamins, moi qui étais

perçue comme répétition. 1848 ne devrait pas emprunter les mêmes voies que 1789. Pourtant, dans un brouillon de discours daté d'avril 1848, apparaît clairement ce risque d'une histoire qui se parodie : Et puis (nécessité de l'ancienne terreur, inutilité de la terreur actuelle, plagiat hideux et gratuit) - le démontrer par les faits. 13 9 Réunion des auteurs dramatiques, Actes et Paroles, p. 150. 10 Voir par exemple le Discours sur l'encouragement aux Arts, Actes et Paroles, p. 189. 11 Séance des

publication de romans épistolaires et de lettres fictives. Le roman épistolaire est un genre littéraire dans lequel le récit se compose de la correspondance fictive d’un ou de plusieurs personnages. La correspondance étant quelque chose d’intime, cette littérature est riche en informations sur le ou les personnages qui livrent alors des témoignages, expriment des sentiments… Le point de vue de chaque épistolier est livré et les intrigues s’entrecroisent. Le roman par lettres connaît son plein essor au XVIIIème

du Canada, avait rendu sa tête si vigoureuse que, quand on frappait dessus, à peine le sentait-il ; et, quand on gravait dedans, rien ne s’effaçait. Sa conception était d’autant plus vive et plus nette que, son enfance n’ayant point été chargée des inutilités et des sottises qui accablent la nôtre, les choses entraient dans sa cervelle sans nuage » (p. 28). Au chapitre 7, il se réclame de nouveau de la loi naturelle. Bien qu’ancien ami des Anglais, dès que ceux-ci viennent piller la côte bretonne

mauvais anges, Ombragé par un bois de sapins toujours vert, Où sous un ciel chagrin, des fanfares étranges, Passent, comme un soupir étouffé de Weber... » Or, si on tentait l'idée qu'il s'agit de deux activités entièrement autonomes ? La littérature représente la peinture comme un moyen pour arriver à ses fins, ses enjeux propres, et réciproquement. L'Hommage à Delacroix est bien un hommage rendu par Fantin à la peinture. Quand Baudelaire écrit sur Delacroix, qui avait la sympathie de tous