Invertébré

répercussion plus ou moins graves sur la santé des êtres vivants (animaux ou humains) par l’eau, par l’alimentation ou par une pollution secondaire de l’air due aux émanations toxiques entre autres. Evidemment elle a aussi des répercussions sur les invertébrés en contact avec le sol. Voilà un petit tour d’horizon simple sur les différents types de pollution. Maintenant que nous connaissons les différentes pollutions et leurs menaces pour l’écosystème il convient de se demander ce que l’on peut faire

qui permettent de mesurer les effets globaux de modifications physico-chimiques ou morpho-logiques du milieu aquatique. On utilise au minimum un animal et un végétal. Exemples : IBGN : INDICE BIOLOGIQUE GLOBAL NORMALISE, on utilise des macro invertébrés benthiques. On a un indice sur 20 qui dépend de la diversité de peuplement et de la polluosensibilité (pour lecture, cf diapo 42 de « indices biologiques) L’IBD, INDICE BIOLOGIQUE DIATOMEES (algues microscopiques brunes unicellulaires). Indice

de l’UICN (Union mondiale pour la nature). 7000 espèces sont en danger d’extinction soient 23% des espèces de mammifères, 12% des oiseaux, 42% des tortues et 32% des amphibiens. 9000 espèces animales sont également en danger d’extinction. Côté invertébrés, les connaissances sont dérisoires. 200 000 Hectares de forêt tropicale disparaissent en une semaine. La France, y compris l'Outremer, est au 5ème rang mondial en nombre d’espèces animales menacées avec 263 espèces contre 831 aux USA, 499 en

peut-être pas l’apanage de l’homme mais désigne au sens large la capacité d’adapter sa conduite à une situation donnée. La notion même d’outil exige d’être reprise à partie du monde animal. Car l’action technique est présente aussi bien chez les invertébrés que chez l’homme, et on se serait la limiter aux seules productions artificielles dont nous avons le privilège. La seule différence est que chez l’animal, l’outil et le geste se confondent en un seul organe. Mais précisément parce que l’outil

supposés naturels ou originels. Sur les êtres vivants : La pollution de l'air semble avoir des conséquences globales ; en affectant la santé de nombreux êtres vivants évolués, et même d'espèces réputées primitives et résistantes (lichens, algues, invertébrés..). La pollution peut directement tuer des organismes (ex. : lichens sensibles à la pollution acide de l'air). Elle a aussi des impacts indirects (par exemple en dégradant les odeurs, fragrances florales, hormones ou phéromones avant qu'elles atteignent

b) L’impact sur la faune Le sol, qui contamine les arbres, peut aussi contaminer les invertébrés les plus fragiles à la base de la chaîne alimentaire et participants à un recyclage des détritus de plus haut niveau. Dès lors, le sol devient davantage toxique, pouvant ainsi affecter les espèces qui en ont davantage besoin. La chaîne alimentaire est ainsi brisée à ses niveaux de base (les poissons et les invertébrés), entraînant l’affaiblissement progressif de nombreuses espèces au dessus. 2/ À longue

de la silice. Leurs émanations sont aussi plus froides et plus lente. Plusieurs bactéries spécialisées peuvent fixer ces gaz pour en faire des nutriments (chimiosynthèse). On les trouve sur les cheminées, mais aussi dans les tissus de certains invertébrés des lieux. Ces bactéries cassent les molécules de sulfure d’hydrogène rejetées par les sources hydrothermales à l’aide de l’oxygène qu’elles prélèvent dans l’eau de mer. De cette réaction, elles tirent de l’énergie, qu’elles utilisent pour fixer

épinière et formera les ventricules cérébraux C-Developpement du tube neurale Il se fait selon une chronologie précise qui est un raccourci de l'histoire de l'évolution des especes. (sur 9 mois) On part du 21eme jour qui correspond au stade invertebré. Le tube neurale se ferme a ses deux extrémités et représente la moelle epinière. Puis, la partie antérieure de ce tube se developpe (des mytoses ont lieu) et donne plusieurs dilatation ou vesicules. D'abord le stade 3 vésicules, c a d -le prosencephale

caractéristique la plus incroyable de notre planète est la présence de la vie, et la particularité la plus spectaculaire de la vie est sa diversité. La biodiversité est la richesse du monde vivant. Elle désigne la vie dans sa plus petite expression (invertébrés, plancton), dans ses formes invisibles (virus, bactéries) comme dans son immensité (océans, forêts tropicales). Tout à la fois plantes, animaux, hommes et sociétés, elle exprime aussi l’ensemble des relations qui lient les êtres vivants, comme

"races" : celle du sud (6000 rhinos, en Afrique du Sud, au Botswana) et celle du nord (à peine une trentaine, au Congo). Les rhinocéros sont toujours entourés de petits oiseaux : les pique-boeufs. Ces oiseaux se nourrissent des tiques (de petits invertébrés qui sucent le sang) qui se sont enfoncées dans la peau des rhinos. Ceux-ci sont donc débarrassés de leurs parasites et très contents de l'aide des pique-boeufs. Avant, c'étaient surtout les colons qui chassaient les rhincéros en Afrique ou en