Investissement Traditionnel

la crise de 1929, il affirme que l’économie capitaliste n’est pas forcément stable. Keynes renouvelle la présentation des relations économiques par rapport à la vision libérale : il évite de raisonner par marchés pour raisonner par fonctions (investissement, consommation…) et en terme de circuit. Il dénonce la loi de Say. L’offre ne crée pas sa propre demande : une part du revenu engendré par le processus de production peut ne pas retourner dans le processus, c’est à dire être épargnée. Selon Keynes

amortir nos investissements. De plus cette production est problématique car elle est associée à celle des tissus sportifs dans la même unité de production, alors que ces 2 produits présentes des techniques de production différentes. Le domaine d’activité doublure est le poids mort de la société en l’occurrence il faut arrêter au fur et à mesure les investissements dans ce domaine et réinvestir dans le sport qui est un produit dilemme et de ce fait nécessite de forts investissements. Concernant

assurance fret CI : Consommation intermédiaire CIL : Consommation intermédiaire locale CS : Coût social AG ES C AFD FCFA : Franc de la Communauté Financière d'Afrique FOB : Free on Board Ha : Hectare -B : Investissement L IB INRAN : Institut nationale de recherche agricole du Niger : Produit intérieur brut SA : Société anonyme TES : Tableau entrées et sorties TRE : Taux de rentabilité économique TRI : Taux de rentabilité interne

transforment en relations partenariales basées sur la confiance mutuelle et des relations d’échanges moins inégalitaires. I - Les relations de sous-traitance traditionnelles Une entreprise qui veut rester compétitive peut chercher à recentrer son activité dans les domaines qu’elle maîtrise pour sous-traiter les autres. Cela évitera un investissement matériel qui sera peut-être sous-employé, d’autant qu’il faudra un délai pour apprendre à le maîtriser. Et cela permettra de se concentrer sur le développement

par la prise de risque des entreprises dans un environnement largement incertain. À la traditionnelle notion de formation brute de capital fixe retenue par l'INSEE (qui peut elle-même répondre à des motifs variés), il convient en effet d'ajouter désormais des formes croissantes de dépenses qui contribuent à accroître la capacité productive des entreprises (investissements immatériels ou encore investissements directs à l'étranger). On peut également chercher à comprendre les différentes motivations

ses ressources naturelles (découvertes de nouvelles ressources ou épuisement d’anciennes), dans sa quantité de main d’œuvre (ou plus exactement dans les heures de travail disponibles), du capital et du niveau de ses techniques.  Selon l’approche traditionnelle on peut expliquer la variation de la capacité de production par la variation en productivité du travail. Le montant de la production totale de plein - emploi consiste à multiplier la quantité  de main-d’œuvre par sa productivité moyenne, ce qui

contexte, Ferrero a développé, outre ses gammes traditionnelles, une offre de produits diversifiée en proposant de nouveaux petits formats (étoiles, cubes et petits sachets sur les marques Ferrero Rocher, Mon Chéri, Raffaello, Kinder Schokobons et Kinder Chocolat). Un investissement fort dans les marques et sur les hommes Pour que les consommateurs entrent plus facilement dans l’ambiance festive de Noël, Ferrero a renforcé ses investissements sur le point de vente pour favoriser l’attractivité

2.3.3 Petit et grand équilibres 17 2.3.4 Coût de revient économique 20 2.4 analyse de sensiblité 21 3. LES COMPOSANTES DE L'ANALYSE TECHNICO-ECONOMIQUE 21 3.1 L'étude de la demande 21 3.2 L'étude des coûts 25 3.2.1 La nature des investissements 25 3.2.2 Les coûts d'exploitation 26 3.3.3 Les coûts de commercialisation 26 3.3.4 L'intérêt de l'annualisation des coûts 27 3.3.5 Le renouvellement des équipements 28 3.3.6 Economies d'apprentissage 30 3.3.7 Formule empirique d'évolution

Depuis les années 70 on appelle ces bouleversements : nouvelle économie, économie post-industrielle, économie de la connaissance … Toutes ces appellations font référence à l'émergence des technologies de l'information et de la communication. Ces investissements commencent dans les années 60-70, les TIC ne sont que les derniers outils d'un tout qui émerge dès les années 70 (Cohen & Debonneuil). Ces auteurs parlent également de révolution industrielle : «  à l'image des précédentes, cette révolution vient

PIB/habitant , donné , da ns le doc. 4 comme indicateur de « niveau d e vie » B) La « productivité globale des facteurs » à l’origine de l’in tensification de la croissance On nomme « résidu », par opposition aux facteurs de production traditionnels (travail et capital), la productivité globale des facteurs (PGF). R ésidu souvent assimilé au progrès technique , même s'il représente plus largement toutes les sources de croissance non prises en compte par les deux premiers facteurs