Ionesco Le Comique N Est Comique Que S Il Est Un Peu Effrayant

mai 2014 au théâtre Monte-Charge, nous sommes tous réunit afin de nous préparer et d’attribuer les rôles de chacun. J’ai décidé de mettre en scène la transformation de Jean dans le tableau 2 de l’Acte II de la pièce Rhinocéros écrite par Eugène Ionesco en 1959 que l’on avait déjà lu ensemble. - Hélène : Pourquoi cette scène en particulier ? J’ai choisi cette scène car lors de la transformation de Jean

d’entrée en scène 2. . Le Moyen Age et la Renaissance A/ Le théâtre français médiéval Au Moyen Age, le théâtre se joue sur les places publiques. Les spectateurs sont des « bourgeois » (habitants du bourg) ; donc, peu de décors sont utilisés au Moyen Âge : on se contente parfois d'écriteaux signalant les lieux. On peut répartir les pièces de théâtre en deux « genres » : les mystères, qui reprennent des épisodes bibliques ou des vies de saints souvent joués sur les

mais aussi celui des gestes et des apparences (costumes, acteurs, décors, mouvements, musique,...). La fonction du théâtre n'est pas radicalement différente de celle des autres genres littéraires ; elle tente de provoquer des effets sur le public, comique, pathétique... Même si le théâtre permet de dénoncer cette noirceur, il permet au contraire, dans certains cas, de la faire oublier et ainsi de divertir le public donc le théâtre peut aborder des aspects négatifs des hommes et du monde tout en divertissant

religieuses deviennent des femmes débauchées. -les accusateurs : « ses ennemis » (l.8 et 53) : manque d'objectivité des accusateurs. - l'apothicaire « condamné » (l.15) : rappel de l'injustice dont il est capable, homme peu fiable. - un moine « son propre confesseur » (l.68/69) : duplicité effrayante : celui qui doit se confesser et absoudre Grandier pour sa vie dans l'au-delà est celui qui s'empresse de le faire mourir dans d'afreuses souffrances. → par opposition : -Grandier : « une mouche » (l.3) : métaphore

part de rendre perceptibles au spectateur les différentes étapes de ce processus comme l'« apparition effrayante » de Jean à la p. 164. Eléments sonores : (langage de Jean : déconstruction progressive de son disc : parole + proche du cri que du disc construit, à la fin) Barrissements l’emportent Eléments visuels : [transformation du corps] Les indications scéniques révèlent la volonté de Ionesco de donner une dimension « réaliste » à la métamorphose de Jean : celui-ci devient vert (p. 162) et

les pages « Repères », ils pourront s’interroger sur l’évolution des représentations théâtrales (choix des costumes, décors, accessoires). SÉQUENCE 1 – Le « théâtre dans le théâtre » du XVIIe siècle à nos jours • Pierre Corneille, L’Illusion comique (p.  150 ES/S et Techno / p. 152 L/ES/S) SÉQUENCE 2 – Maîtres et valets dans la comédie du XVIIIe siècle • Alain-René Lesage, Turcaret (p.  170 ES/S et Techno / p. 172 L/ES/S) • Marivaux, Le Jeu de l’amour et du hasard (p. 172 ES/S et Techno

en valeur la souffrance de Ruy Blas ("C'est un monstre. En riant hier il m'étouffait./ Il m'a broyé le cœur à plaisir."). Gradation : "Je priais ! Je pleurais !" B- Une opposition verbale - Ruy Blas fait des tirades alors que Don Salluste parle peu (opposé à l'acte I scène 1) - Ruy Blas donne des ordres ("N'allez point par là", "Allez là dedans prier Dieu !") - Ruy Blas passe du vouvoiement au tutoiement pour s'adresser à Don Salluste => plus de hiérarchie. C- Une opposition physique - Ruy

deux personnages interviendront nécessairement dans la scène théâtrale]. haut de page SÉRIES TECHNOLOGIQUES Objet d'étude : Le théâtre. Textes : Texte A - Molière, Le Bourgeois gentilhomme , 1670 (II,4) Texte B - E. Ionesco : La Leçon, 1951 (extrait) Texte C - G. Feydeau : On purge bébé, 1910 (extrait). Texte A - Molière, Le Bourgeois Gentilhomme, Acte II, scène 4, 1670. Monsieur Jourdain est un bourgeois enrichi qui rêve d'imiter la noblesse de la cour

livre comme divertissement Phrase introductive de la partie : Les livres nous divertissent par la fascination qu'ils exercent sur nous, et cela pour plusieurs raisons. 1. Par le désennui Argument développé : Les livres nous font voyager si peu qu'on se donne les moyens de les lire. En effet, durant une heure ou deux nous avons une histoire différente de la nôtre qui se déroule sous nos yeux. Les pensées malsaines, morbides ou simplement tristes nous quittent pour laisser place à la spontanéité

de personnages agissants). La mise au point des techniques nécessaires à un tel passage a duré un siècle, en gros : le -6ème siècle. Acteurs : Lourds mannequins géants, matelassés sous leur longue robe, à la démarche lente et saccadée, assez effrayants avec leur énorme masque (porte voix d’où sort une voix surhumaine), montés sur leurs cothurnes, ils se déplacent au son d’une flûte ou de percussions. Ils ne chantent pas, mais psalmodient leur texte. Impossible aux spectateurs de se « mettre à