Iphigenie Quiproquo

travestissement des jeunes gens et décident de laisser ses chances au « jeu de l'amour et du hasard». Acte Il: Dès la fin du premier acte et au cours de l'acte Il, les rencontres entre maîtres et valets déguisés sont autant de surprises de l'amour et de quiproquos. En effet, Silvia et Dorante s'étonnent d'être sensibles aux charmes d'une personne d'un rang social inférieur. Lisette et Arlequin, de leur côté, s'émerveillent et profitent de leur pouvoir de séduction sur celui ou celle qu'ils prennent pour

maître. Mon argent, Ahhhhh ! Mon argent, Ahhhhh ! ⇨ Comique de gestes (Antipholus de Syracuse qui finit par uriner de rire, un geste qui suggère l’homosexualité entre Angelo et Antipholus d’Ephèse…) ⇨ Comique de situation (enchaînement de quiproquos, l’orfèvre aux toilettes…) ⇨ Farce, jeux de mots et calembours de l’époque Nous pouvons donc dire que les comiques des différentes époques se mélangent. IV- Fantaisie ⇨ La musique qui sert a la fois de moyen de séduction et de

et les différents spectacles de foire utilisent des procédés comiques simples, grossiers, destinés à faire rire le public. La farce est construite sur un rythme soutenu qui favorise les situations imprévues (multiplication des coups de théâtre et quiproquos), et adopte une gestuelle bouffonne célèbre pour ses scènes de coups de bâton. Les noms des personnages sont ridicules, et les situations souvent absurdes (La Farce de Maître Pathelin, XV siècle, Molière). * L’héritage de la commedia dell’arte

prétendue soubrette, dévoilant ainsi son mépris des préjugés de classe. Une fois les masques tombés, chacun retrouve son rôle et sa condition d'origine. Analyse Subtil jeu de masques construit sur un système de duperie, où le comique naît des quiproquos et des malentendus, le Jeu de l'amour et du hasard explore l'univers du faux-semblant, les contradictions du cœur et de la classe sociale, et révèle le rêve tacite d'élévation de la condition domestique. La virtuosité, subtile et gracieuse, de ces

"châtie les mœurs en riant", tournant en ridicule des caractères ou des vices à la mode. Formes dominantes : Types de texte : théâtral, narratif. comiques de caractère (personnages pittoresques en proie à une passion), de situation (imbroglio, quiproquos), de mots (calembours), de mœurs (satire sociale). registres : burlesque, héroï-comique, ironique, satirique. le rire est provoqué par la dénonciation caricaturale des ridicules et par l'expression mécanisée d'une passion. Textes théoriques

théâtre, car pratiquement tout doit être dit sur scène. D'où la présence d'autres personnages, souvent les confident(e)s, pour "obliger" les héros à exprimer le fond de leur La tirade : c'est une longue prise de parole d’un des personnages. Le quiproquo : consiste dans une méprise ou un malentendu entre les personnages alors que le public connaît ce que chacun des personnages ignore sur l’autre. Une scène : est une partie d’un acte  Partie du théâtre où jouent les acteurs L’acte est l’unité la

la tragédie, souvent des bourgeois qui ont un métier. L'époque est contemporaine à celle de l'auteur. Le lieu est un interieur bourgeois. Le comique provoque le rire en donnant au spectateur une supériorité sur un personnage comique de situation (quiproquo) de gestes (jeux de scène) de paroles (répetitions) de caractères. (l'excés moral) L'intrige soulève des problèmes sociaux ou culturels et le dénouement est satirique. Souvent, il ya a une intervention en "in extramis" d'un deus ex machina. Ex: LeBourgeois

attribués à chacun. Parmi eux, on retrouve des types : Arlequin (le valet du petit peuple), Scaramouche (son équivalent maléfique), Pantalon (le vieillard amoureux d'une jeune fille), etc. Les procédés utilisés dans la commedia dell'arte sont le quiproquo, le comique gestuel et les blagues grivoises. On retrouve de nombreux procédés parallèles et de nombreux personnages équivalents à ceux de la commedia dell'arte dans la comédie classique. Dans les pièces de Molière, on retrouve Sganarelle,

milieu ou une mode sont la cible de la critique. C’est de la caricature : hypocrite, menteur, avare, jaloux, etc. D) Le comique de situation * Malentendus (quiproquos) * Situations embarrassantes * Le comique naît des circonstances de l’intrigue, par des rebondissements, des renversements de situation, des quiproquos. Diverses situations 1) Le diable à ressort (boîte à surprise) : il s’agit d’une répétition qui réside dans l’affrontement de deux forces qui ne veulent pas

périple d’Afrique. Par la suite, trois quiproquos se succèdent : celui avec le laquais dans la scène 3, qui était destiné à Ruy Blas ; Don César le saoule et l’envoie rendre des comptes d’argent. Le second avec la duègne dans la scène 4, qui apporte un billet doux de la reine. Don César réapparaît ici généreux. Le troisième avec Don Guritan dans la scène 5. Dans ces trois scènes, Don César passe pour Ruy Blas (faux Don César) ce qui engendre des quiproquos. Dans la scène 7, Don César découvre le