Iphigenie Quiproquo

traditionnellement la comédie. Mais comme le dit Labiche, l'homme n'est pas pris au sérieux et "semble n’avoir été créé que pour amuser ceux qui le regardent d’une certaine façon". C'est ainsi que le spectateur, entraîné dans un tourbillon de quiproquos, ne retrouve son souffle que dans le happy end final, lorsque Fadinard aura évité que "tout [soit] rompu".

Cette comédie est composée de cinq actes et en vers (mille sept cent soixante-dix neuf dont mille sept cent trente sept alexandrins), dont l’acte II scène 5 met en évidence l’innocence et la sincérité d’une jeune femme devant un homme aguerri ; les quiproquos et les équivoques donnent un ton comique à la scène. Nous allons donc chercher à savoir comment le dramaturge met une note comique à travers un dialogue spontané entre Arnolphe et Agnès ? Pour cela il faut discerner le caractère de ces deux personnages

nombreux procédés comiques: les différents comiques (de situation, de geste, de mot, de caractère....) EX: L'ile aux esclaves - pièces légères et divertissantes: petites intrigues, gros quiproquos souvent ridiculisant / opposé a la tragédie EX: Le jeu de l'amour et du hasard de Marivaux - pièces avec une fin heureuse > rassurant, tout le monde est satisfait > le bien triomphe

produit par la situation d'un personnage dans l'histoire qui est racontée : rencontres fortuites, quiproquos, surprises, rebondissements, coincidences, retournements.. Comme dans l'Ecole des Femmes de Molière grâce à son habileté et à son écriture. Dans la scène 5 de l'acte II, Arnolphe, obsédé par la crainte d'être cocu, interroge Agnès qui vient de s'ouvrir à l'amour; le dramaturge utilise ici le quiproquo. L'auteur peut aussi jouer avec « le comique de caractére » qui est fondé sur la psychologie

refus de Silvia. Mais Silvia montre de moins en moins de résistance. Elle ne peut s'en sortir que par la fuite. Silvia n'atteint pas son but et perd du terrain. Le comique résulte du fait que Silvia est prise au piège de ses sentiments. Comment le quiproquo rend-t-il compte du jeu amoureux ? I Le jeu de l'énonciation 1) Le jeu des apartés Du début à la fin, on a un double discours : un discours dit "normal " et l'autre à part. Les apartés sont équilibrés. Les deux personnages utilisent chacun des

nous apercevrons dans une seconde partie que le rire peut avoir un second sens et de nous mettre en garde. Le rire vient de la complicité du spectateur, il est le seul à comprendre la situation comme dans Le Malade imaginaire avec le quiproquo entre Argan et sa fille Angélique. Le comique est un registre littéraire qui repose sur différents types de comique. Le comique de mots est produit par les répétions tel que la répétition de « le Pauvre homme » prononcé par Orgon dans Tartuffe. Ici

entre deux batailles, s'entend dire qu'il était avec elle la veille. S'ensuit ensuite une série de quiproquos : Sosie, l'esclave d'Amphitryon se retrouve nez à nez avec Mercure qui a prit son apparence. Dans cet extrait, l'esclave d'Amphitryon est face à Mercure et chacun maintient être Sosie... L’œuvre ici étudié appartient au registre comique. Problématique : Quels effets provoque le quiproquo au sein du texte ? Plan : Pour cela, Nous analyserons le profil des personnages puis le thème du double

S’entraîner à la question sur un corpus 1) Dans ces scènes, le comique repose sur le comique de situation grâce aux quiproquos, le comique de gestes et le comique de mots. Le comique de situation du texte 1 repose essentiellement sur le quiproquo qui règne entre l'abbé qui veut avoir l'avis de la baronne sur son sermon, et cette dernière qui répond à côté, plus préoccupée par la recherche de son fil que par les questions de son interlocuteur. L'abbé, de son coté, a du mal à suivre

ainsi que sur le comique de situation. Nous allons tenter de discuter si « les fabliaux n’ont d’autre but que de faire rire. » Tout d’abord, on observe que l’auteur du premier fabliau, « La vieille qui graissa la patte au chevalier », utilise le quiproquo circulant entre la vieille et sa voisine, Hersant, pour construire une scène comique. En effet, alors que Hersant conseille à la vieille d’aller « graisser la patte » (l. 15) du chevalier, cette dernière ne comprend pas l’intention de sa voisine

fragile, entre rêve et réalité, mensonge et vérité.Mais ce vertige existentiel se révèle aussi un puissant ressort comique. Le passage d'un plan à l'autre est en effet l'occasion de quiproquos et de ruptures de ton.Premier quiproquo, le père est désespéré par la mort de son fils qu'il croit effective.Deuxième quiproquo , aux exclamations pathétiques de Pridamant fait devant le spectacle des comédiens partageant leur gain (v. 1747). L'argent est en effet fort déplacé au royaume des morts ! Il y a