Ironie Voltairienne Candide

Plan de commentaire de l’épisode de Candide, l’autodafé, chapitre 6 A l’oral, pour toute œuvre intégrale, on attend dès l’intro que vous soyez capable de situer l’extrait par rapport à ce qui précède. Ici, après une présentation très rapide de l’auteur et de l’œuvre, situez le passage : Après avoir été expulsé du château de baron de Th, Candide erre de par le monde, découvre les divers aspects du mal, et rencontre des personnes mal intentionnées ou des bienfaiteurs (Jacques)et des amis. Il retrouve

texte comme un apologue ? Appréciation : Ce texte est extrait de Candide ou l’Optimisme, conte philosophique écrit par Voltaire en 1759. Voltaire est le philosophe phare des Lumières, il incarne la raison, c’est le défenseur du genre humain, il veut écraser « l’infâme », la religion, source de fanatisme. Lorsqu’il écrit Candide, il est dans sa métairie à Fernay, à la fin de sa vie. A travers les aventures de son héros Candide, il dénonce les atrocités de son temps et condamne la philosophie de

s’agit". De plus, il souligne que tous se détestent (terme enfantin par excellence). Leur seul but semble être "celui de faire tout le mal possible". Nous pouvons y voir une pointe contre la philosophie de Leibniz illustrée par le docteur Pangloss de Candide : « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ». Ainsi Voltaire dépasse le conte narratif classique en écrivant un conte philosophique. Comme chacun sait, un conte philosophique a une visée argumentative. Ici comme ce texte s’inscrit

Voltaire : Candide chapitre 30 Le chapitre 30 de Candide, écrit par Voltaire en 1759 est le dernier chapitre du récit : c’est l’exipit. Il s’agit de la fin de l’odyssée de Candide pour retrouver sa dulcinée Cunégonde. Candide s’est arrêté en Bulgarie, à traversé l’Amérique du Sud et est revenu en Europe. Fatigué au terme de son voyage des misères humaines, il finit par s’installer en Turquie où il retrouve ses compagnons d’infortune : Cunégonde, la vieille, Papette, le père Girofle, Cacambo, Martin

Voltaire, Candide ou l’Optimisme, Chapitre dix-neuvième « Le nègre de Surinam » est extrait d’un conte philosophique de Voltaire, intitulé Candide ou l’Optimisme et publié en 1759 de façon anonyme. Philosophe des Lumières né en 1694, Voltaire de son vrai nom François-Marie Arouet prône la tolérance, la liberté des personnes et un régime constitutionnel. Très prisé par l’auteur, le genre du conte philosophique lui permet de dénoncer en utilisant l’implicite et d’éviter ainsi la censure. Candide ou l’Optimisme

INTRO : Candide est un conte philosophique, il appartient donc au genre de l’apologue (court récit avec une morale implicite ou explicite), ici la morale est explicite et nous amènera à une réflexion philosophique du bonheur : « cultiver son jardin ». Puisqu’il s’agit d’un apologue, il a une double caractéristique : - C’est une œuvre romanesque, fictive - Et une visée argumentative didactique (il s’agit de tirer une leçon de cette histoire) Le titre réel est « Candide ou l’Optimisme », c’est

Excipit de Candide Voltaire (voir fiche El dorado) Ce texte constitue la fin de Candide. (chapitre 30). Candide achète sa petite métairie. (le métayer Candide locataire loue au propriétaire une terre ; le propriétaire est associé aux gains ou aux pertes liées à cette terre.) Problématique : L’enseignement de Voltaire 1 Le salut est dans le travail a) Le long discours de Pangloss sur la fragilité des grandeurs humaines b) La nécessité du travail pour Martin et Candide 2 La primauté

fanatisme, des superstitions, critique de la guerre, de la justice. C’ est par la découverte et les voyages que les héros voltairiens parviendront à la sagesse. Parmi ses nombreuses œuvres, on trouve : Zadig en 1747 (il s’ agit d’ une réexion sur le mélange du bien et du mal) ; Memnon ou la Sagesse en 1749 (ré exion sur le bonheur de l’ individu) ; Micromégas en 1752 ; Candide en 1759. Les caractéristiques du conte philosophique • La structure du conte est traditionnelle : situation initiale, événement

de la neutralité du dictionnaire, et ce dans la lignée de l’Encyclopédie / ironie perceptible aux formules oxymoriques : « le merveilleux de cette entreprise infernale », « aller exterminer son prochain » et dans les antiphrases : « un chef n’a eu que le bonheur d’égorger deux ou trois mille hommes », « pour comble de grâce une ville a été détruite », ou encore « [marcher] gaiement sous la bannière de son saint » / ironie soutenue par une véritable éloquence portée par des effets de rythme et d’effets

Plan I. Le conte classique détourné a. Le prince du conte b. Les marques de l’indétermination II. Le conte philosophique a. L’absurdité des prétentions du prince b. Un jeu de guerre enfantin III. Un apologue empreint de l’ironie voltairienne a. La guerre est criminelle b. Critique de la religion qui sert la guerre Introduction Le texte étudié est extrait de l’article « Guerre » du Dictionnaire philosophique de Voltaire publié en 1764. Voltaire est un philosophe des Lumières