Ironie

comparaisons avec des tyrans historiques qui se sont illustrés par leur cruauté. Rapport ave"c Hugo : l'exil forcé des opposants au pouvoir. - Un combat politique : "ses aces nécessaires" : distanciation de l'auteur avec les citations de NIII = ironie. 3ème paragraphe : Phase totalement ironique et satirique. En fait, sous un aspect argumentatif (certes : concession), il en arrive à la conclusion que Napoléon III est pire qu'un idiot - Caratère dangereux du personnage : il ne respecte aucune

sorte de raillerie. On parfois utiliser comme figure de rhétorique : l’antithèse pour accentuer l’accent sur le côté absurde. Le ton fantastique = côté surnaturel, irrationnel, par rapport à la vie réelle. Le ton satirique = moquerie avec ironie visant à démasquer une hypocrisie en la critiquant. Vocabulaire familier, termes péjoratifs, caricature. Utilisation d’hyperboles, on est parfois dans la provocation. Le ton polémique = il sert à combattre, on est dans un lexique morale. Il y

implicitement il sous entend qu'il n'est pas possible d'être persan donc comment peut on être autre chose que Parisien. Le parisien se prend pour la référence, le modèle. Cette lettre souligne l'importance du thème du regard et présente avec ironie une argumentation indirecte pour faire la satire des Parisiens. Il nous révèle le rôle de la curiosité et nous invite à une comparaison implicite entre le Parisien et le Persan au bénéfice de ce dernier.

guerre sur les populations civiles. La description est crue, les expressions sont dures. Voltaire ne mâche pas ses mots, il veut choquer, écoeurer. Dans un dernier temps, nous parlerons du regard de Voltaire. L'auteur mélange ironie et guerre, tout comme spectacle et guerre,termes qui ne s'unissent pas. La progression de la scène de guerre est calme et ordonnée, ce qui n'est pas à l'image d'une guerre. Les philosophes sont là comparés à des peureux « Candide qui tremblait comme

ou l’Optimisme, un conte philosophique écrit par François Marie Arouet, dit Voltaire et publié en 1759. Dans cet extrait on va savoir que devint Candide au moment de la guerre contre les Bulgares. Ce chapitre se distingue particulièrement par son ironie. Dans l’analyse suivant, on cherchera la réponse à la question: Dans ce texte, quels sont les faits dénoncés et par quels moyens les critiques Voltaire fait t-il ? Dans un premier temps, on va analyser les moyens employés par Voltaire pour dénoncer

Candide Chapitre 3 1) L’enjeu critique En premier lieu, l’écriture de Voltaire se caractérise par une ironie et une critique constantes. Pour cela, il utilise différents procédés; Des champs lexicaux -de la guerre: « tambours, canons »; « mousqueterie »; « baïonnette »; « mort », « boucherie héroïque » -instruments de musique de guerre: « trompettes, fifres, hautbois, tambour » Voltaire utilise ces champs lexicaux pour dénoncer ouvertement l’inutilité de la guerre, qui n’aboutit

but de persuader le lecteur. Fait appel à l’indignation voire à la révolte. - vocabulaire opposant des valeurs morales positives (le bien, la beauté, la liberté) aux valeurs de la dépravation (vocabulaire péjoratif). - constructions expressives - ironie, antithèse, hyperbole - interpellation directe de l’interlocuteur ou du lecteur fantastique Suscite l’inquiétude devant un phénomène étrange et inexplicable. - vocabulaire de l’étrangeté – cadre spatiotemporel inquiétant (nuit,cimetières

Metreuil file la métaphore , elle applique l’ironie puis elle s’amuse du fantasme de la supériorité de l’homme , puis elle reprend la métaphore en renversant les rôles , c’est elle qui devient le maitre . 2) L’humiliation de Valmont – Ironie et mépris – La comparaison avec Danceny – Un refus cinglant. Elle dicte des questions et des réponses sur un ton d’indignation offusquée , Elle emploi le mépris , elle s’exprime sur un ton de menace , mais c’est l’ironie qui domine

souffre b) Une expérience révélatrice Il change de vêtement , texte structuré en 2 parties → en plein milieu du texte Changer de vêtements permet un renversement de situation donc élément important → registre satirique, moquerie, hyperbole → Ironie : antiphrase (dire qque chose alors que l'on pense le contraire) c) Une leçon ironique Autodérision, se moque de lui-même, orgueil Trouver la thèse → reproche au parisien d'être trop curieux, curiosité exagérée C'est un apologue, se fonde sur

II- L'ironie est omniprésente 1. 1er paragraphe Les 2 premières phrases sont redondantes (elles veulent dire la même chose) : phénomène d'insistance qui met en éveil sur le contenu de ces 2 phrases. · Antiphrase : l.3 : "un bel autodafé" => ironie · Périphrase par rapport à l'autodafé : l.4-5 : "Le spectacle de quelques personnes brûlées à petit feu", "spectacle" = voyeurisme et "petit feu" : antithèse = horreur · "cérémonie" et "spectacle" sont mis sur le même plan : mélange le côté solennel