Irreprésentable

des phénomène du sens externe. Ces conditions sont nécessaires et universelles puisque tous les phénomènes du sens externe seront perçus temporairement et spatialement. Cette chose n’a pas de détermination spatiale et temporelle donc elle est irreprésentable. D’ou viennent ces représentations du temps et de l’espace ? Quelles sont leurs origines ? C’est par mes sens que j’ai ces sensations. L’espace, quant à lui, est impossible à percevoir et localiser. Le temps est une perception intérieure, percevoir

du « savoir dessiner », un travail de régression, si l’on peut dire, duquel surgit un langage inédit, non redevable d’une culture ou d’une rationalité. Ce langage informe des représentations issues d’un fond où rien ne saurait se dire, un fond irreprésentable. Son écriture semble gauche, elle, dérange la morale du corps et la moralité répressive, d’une certaine façon, TW libère la peinture de la vision .Dans ses œuvres règne « le ductus » : non sa règle, mais ses jeux ses fantaisies, ses explorations

point de vue adopté, écrit Daniel Arasse, permet de percevoir clairement le volume de l’architecture qui domine la Vierge. […] Par le jeu de son dispositif, la perspective permet de mettre en scène ce qui, dans l’Annonciation, est par essence irreprésentable, l’Incarnation »6. Outre qu’elle rationnalise la représentation de l’espace et produit l’illusion d’une vision naturelle, la perspective « réalise » l’Annonciation en représentant l’invisible dans le visible ; elle donne au miracle son « incarnation

rêvées et qui fait croire qu'il s'agit d'un homme en chair et en os. Mais d'un autre côté, le feu incendie le temple. Nous pouvons relier ce point d'étude à notre première partie. En effet, cette utopie possède un espace spatio-temporel propre, irreprésentable dans notre monde. On peut aussi souligner ici la présence de cet espace comme lieu originel. C'est en effet dans le rêve qu'il y a création (cfr: Adam // personnage originel de la création des hommes). On peut donc voir dans ce rêve une reproduction

tout d’abord le langage articulé, il pense que les mots ont perdu leur pouvoir évocatoire et le moyen qu’ils avaient de provoquer une émotion. Tous ces éléments de la mise en scène qui rendent le théâtre réellement vivant sont bien évidemment irreprésentables dans la version écrite d’une pièce. Mais toutes ces choses n’enlèvent-t-elles pas alors à la pièce sa vraie valeur et n’étouffent-elles pas alors la volonté de base de l’auteur qui était d’instruire le public ? Et, avec toutes ces modifications

Gueule-d’Or est perçu comme un démiurge lumineux qui soumet et transforme la matière ; illustrant sa fameuse théorie du grotesque, Hugo, par une accumulation d’antithèses et d’antilogies, insiste sur la dimension proprement irreprésentable de son personnage ; chez Proust enfin, les ravages que la vieillesse a imprimés sur le corps du duc sont prétextes à des excroissances métaphoriques qui tendent à effacer le personnage (le comparé) au profit d’un

et un faux Pétain, et entre un faux Himmler et un faux Hitler, le film commet un faux-pas impardonnable. Mal jouées, mal fichues, ces scènes sonnent terriblement faux – on en vient à se dire que ce n’est pas l’extermination elle-même qui est irreprésentable, mais plutôt les discussions et les tractations politiques qui la planifient et l’organisent ! Le film ne se relève pas des scènes avec Hitler, qui flirtent avec le grotesque – il faut voir cet acteur piteusement grimé s’apitoyer sur le sort

signification et la fonction du langage. « Les féministes qui se sont approprié la question de la différence sexuelle – (…) – ont cherché à théoriser le féminin, non pas comme une expression de la métaphysique de la substance, mais comme une absence irreprésentable venant du déni (masculin) qui fonde l’économie de la signification sur l’exclusion » (101). La sexualité subversive est une contestation de l’autorité de la loi hétérosexuelle. Des critiques féministes observent qu’une sexualité détachée des

← Le récit, c’est une tirade présenté comme relation d’un événement qui a eu lieu hors scène. Les événements que le récit représente sont toujours violents ou funestes (duels, combats etc.). Ces événements sont essentiels pour l’action mais irreprésentables pour des raisons de bienséance. 9. Composition de la pièce classique ← L’acte- la pièce classique doit se composer de 5 actes. Chaque acte dure une demi-heure a cause de l’éclairage, on doit changer les bougies. ← L’entracte-

(non-sens) Borgès va répondre par une multiplication de sens, qui n’est qu’à partir le travail d’interprétation du lecteur. Le nombre de livres potentiels : 25 puissance 1000000 x100, par William marks (mathématicien) => ordre de l’ « irreprésentable ». Quel est le statut du lecteur alors ? C’est une invitation à l’humilité, à l’inverse de Babel. => c’est tomber dans la tautologie Les lecteurs ont un rapport sacré w/ bibliothèque, qui les conduit à leurs pertes. Cela rappelle l’enfer