Irving

l'inflation : Friedman va relancer la théorie quantitative de la monnaie, elle explique les mouvements de prix en modifiant la quantité de monnaie en circulation. Si Milton Friedman va la faire entrer dans l'ère moderne, Jean Bodin, William Petty et même Irving Fisher ont utilisé cette théorie avant lui. C'est à cause de cette théorie que la politique, mise en œuvre pendant la Grande Dépression des années 1930, est critiquée. Dans les années 1970, l’économie est en stagflation, phénomène combinant hausse

alimentent un antisémitisme latent27. Aux États-Unis la préoccupation est plus forte encore et aboutira à une limitation sévère de l’immigration. Les eugénistes sont à la pointe du combat pour une législation anti-immigration. Pour le célèbre économiste Irving Fisher la focalisation de la société sur les questions migratoires « était une occasion rêvée pour amener les gens à s’intéresser à l’eugénisme »28. Situé dans une perspective plus vaste que la simple défense de la pureté de la « race », le projet

accourent à la bourse plutôt que vers l'économie « réelle ». Entre mars 1926 et octobre 1929, le cours des actions augmente de 120 %. Le 3 septembre, l'indice Dow Jones atteint 381,17, son plus haut niveau avant 1954. Le 16 octobre, l'économiste Irving Fisher déclare : « Stock prices have reached what looks like a permanently high plateau » (« Les cours ont atteint ce qui semble être un plateau perpétuellement élevé »). Le krach [modifier] [pic] [pic] Indice Dow Jones pendant le krach de

atmosphères étranges Lecture d’image lire une affiche de film fantastique Tim Burton, Sleepy Hollow, 1999. 20 Séquence 1 010-037-MEP Séquence1 26/03/07 14:54 Page 21 Sleepy Hollow Le film de Tim Burton est adapté d’une nouvelle de Washington Irving (1783-1859). L’histoire se déroule près d’une gorge retirée nommée Sleepy Hollow, le « Vallon endormi ». Le romancier décrit ainsi l’atmosphère qui se dégage de ce lieu : « Une chose est certaine, l’endroit continue d’être sous l’emprise d’un mystérieux

teorias anteriores. Não obstante, por não apresentar rigorosa exatidão tem exigido dos economistas aplicação das demais teorias para explicar fenômenos de variação do valor da moeda. EQUAÇÃO DAS TROCAS DE FISHER E AS TEORIAS QUALITATIVAS DA MOEDA Irving Fisher (1867/1947) desenvolveu a fórmula conhecida como equação das trocas dando grande colaboração à teoria quantitativa, por ela se calcula a velocidade de circulação da moeda e ao mesmo tempo a quantidade de vezes que a moeda trocou de mãos, criando

revenu, mais aussi par leurs comportements face aux risques, et par d’autres variables comme la qualité des moyens de paiements à leurs dispositions. A)La relation entre richesse et masse monnaie : La théorie quantitative de la monnaie (TQM) : Irving Fisher 1928, elle a été réhabilitée dans les années 50 et 60 par les économistes monétaristes : Milton Friedman, école de Chicago. Au niveau d’un pays, la quantité de monnaie utilisée sur une année dépend de l’intensité de son activité économique

spéculation, d’imprudence. 80 % des transactions sont soit à terme soit à crédit (vente à découvert…) : risqué ! Système spéculatif car les transactions ne sont pas faites au comptant : risque systémique. Une moindre rumeur peut faire un krach boursier. Irving Fisher (économiste américain) : « rien ne peut survenir qui ressemble à un krach » - 1928 Symbole fort de l’aveuglement…krach boursier en Octobre 1929, grande phase de vente, les prix s’effondrent personne ne veut acheter. Krach car gros volume échangé :

reste une zone d'ombre. Cette liste, composée au départ d’Alvah Bessie, Les­ter Cole, Richard Collins, Gordon Kahn, Howard, Ring Lardner Jr, John Howard Lawson, Albert Maltz, Samuel Or­nitz, Waldo Salt, Dalton Trumbo, Ed­ward Dmytryk, Lewis Milestone, Irving Pichel, Herbert Biberman, Robert Ros­sen, Robert Adrian Scott, Bertolt Bretch et Larry Parksont a été réduite à une liste finale de 10 témoins. Pourquoi ? Les témoins auraient-ils promis de coopérer avec la HUAC ? Auraient-ils corrompu la commission

la question de la quantité de monnaie. Au 19ème, le théoricien néo-classique Walras, s’interroge sur les prix relatifs mais pas sur le niveau général des prix. Il reconnaît à la monnaie une utilité indirecte d’acquisition de biens. Vers 1900, Irving Fisher pose l’équation quantitative de la monnaie sous le terme d’équation des échanges : « ’ » : bancaire MV + M’V’ = PT T : quantité de transaction La monnaie bancaire est proportionnelle à la monnaie réelle mais la quantité de transaction

essentiel Selon une théorie quantitative, l'inflation est le résultat de la politique monétaire, puisque les banques maîtrisent l'offre de monnaie. La quantité de monnaie en circulation est donc le principal facteur de l’élévation du prix des produits. Irving Fisher dans Le pouvoir d'achat de la monnaie (1911) énonce la théorie suivante : Masse monétaire mise en circulation * vitesse de circulation = Prix * Masse des échanges La vitesse de circulation et la masse des échanges ne varient pas à court