Isabelle Huppert

Les fausses confidences à l’Odéon Cela commence par une leçon de tai-chi. Au fond du plateau jonché d'escarpins, tandis que s'installe le public, on reconnaît la silhouette gracile d'Isabelle Huppert. Araminte, dans la version de Luc Bondy, est une veuve sans abandon à la mélancolie, une veuve toujours de blanc vêtue, et même une veuve assez joyeuse. C'est la couleur dominante de ce spectacle heureux qui met en valeur, dans les -lumières subtiles de Dominique Bruguière, la ¬langue étincelante de

roman d’Alexandre Dumas fils publié en 1848, inspiré par son amour pour la courtisane Marie Duplessis. La Dame aux camélias a inspiré l'opéra de Verdi, La Traviata. De nombreuses actrices ont incarné Marguerite Gautier, de Sarah Bernhardt à Isabelle Huppert, en passant par Lillian Gish et Greta Garbo. Résumé et analyseModifier La Dame aux camélias raconte l’amour d'un jeune bourgeois, Armand Duval, pour une courtisane, Marguerite Gautier, atteinte de tuberculose. La narration constitue un

fétiches et on y retrouve Michel Bouquet, Jean Yanne et toujours et encore sa femme, Stephane Audran. Il poursuit son analyse décapante des mœurs de la petite bourgeoisie avec Docteur Popaul (1972) ou Violette Nozière (1978) où apparaît la jeune Isabelle Huppert qui deviendra l'égérie du cinéma de Claude Chabrol dans les années 80-90. En 1982, il adapte un roman de Simenon, Les fantômes du chapelier, véritable tableau des mœurs d'une petite ville de province. Le film est empreint d'une violence inquiètante

 Dupont Lajoie Titre original : Dupont Lajoie Réalisation : Yves Boisset Acteurs principaux Jean Carmet Jean Bouise Pierre Tornade Ginette Garcin Jean-Pierre Marielle Isabelle Huppert Sociétés de production Sofracima Pays d’origine  France Genre Drame Sortie 1975 Durée 100 minutes Dupont Lajoie est un film français réalisé par Yves Boisset en 1974 et sorti en salles en 1975.Ce film dénonce le meurtre lâche et le racisme.

de la voir nue… Adaptation cinématographique[modifier]En 1958 : Barrage contre le Pacifique réalisé[1],[2] par René Clément, avec Silvana Mangano, Anthony Perkins. En 2008[3] : Un barrage contre le Pacifique, réalisé par Rithy Panh, avec Isabelle Huppert dans le rôle de la mère et Gaspard Ulliel dans le rôle de Joseph, le fils (sortie en France le 7 janvier 2009

succès immédiat en France et aux États-Unis. C'est sans doute son humour et sa lucidité qui séduisent le public. En janvier 2008, elle met en scène sa nouvelle pièce, Le Dieu du carnage, au Théâtre Antoine ; la distribution comprend notamment Isabelle Huppert, André Marcon, Valérie Bonneton et Eric Elmosnino. En 2009, elle porte au grand écran sa propre pièce de théâtre Une pièce espagnole (qui devient Chicas au cinéma) avec Carmen Maura, André Dussollier et Emmanuelle Seigner.

spectateur avec tout ce sang sur les bras, les larmes aux yeux. Cet robe blanche permet de faire contraste et donc de mettre en valeur le sang. -Pasolini où Médée est jouée par Maria CALLAS en 1969. -Médée, où Médée est interprétée par Isabelle Huppert, mise en scène par Jacques Lassalle. Dans cette représentation, médée a le regard vide. Ce qui montre qu'elle est complétement désemparée et nous laisse imaginer ce qu'elle prépare pour se venger. III/ Choix d'une mise en scène J'ai choisi

Lelievre. Elle a un passé trouble est mystérieux, on l’accuse d’avoir tué son père malade... Sophie est froide et secrète. Elle est aussi analphabète et se comporte donc comme une petite fille, comme si elle n’avais jamais vraiment grandi.. Isabelle Huppert : Joue le rôle de Jeanne, jeune femme d’environ 30 ans, elle est postière dans son village. Elle aussi a un passé assez trouble, on l’accuse d’avoir tué sa fille. Jeanne est extraverti, curieuse et de nature jalouse, elle entraine Sophie dans

succès immédiat en France et aux États-Unis. C'est sans doute son humour et sa lucidité qui séduisent le public. En janvier 2008, elle met en scène sa nouvelle pièce, Le Dieu du carnage, au Théâtre Antoine ; la distribution comprend notamment Isabelle Huppert, André Marcon, Valérie Bonneton et Eric Elmosnino. En 2009, elle porte au grand écran sa propre pièce de théâtre Une pièce espagnole (qui devient Chicas au cinéma) avec Carmen Maura, André Dussolier et Emmanuelle Seigner. Résume du livre :

franc succès, notamment au Brésil (200 000 entrées), en Italie (165 000), en Belgique, en Suisse ou au Portugal. Mais d'autres films ont également attiré le public français cette année : la Cérémonie de Claude Chabrol, avec Sandrine Bonnaire et Isabelle Huppert, lesquelles ont reçu, pour leur tandem inquiétant et meurtrier, le prix d'interprétation au festival de Venise. Film noir, la Cérémonie décrit le processus par lequel la sourde lutte des classes bascule parfois dans la violence de sang-froid