Isotopes du carbone

radioactifs appelés scientifiquement radio isotopes ou radio nucléides. Ces noyaux se désintègrent de façon spontanée en d’autres noyaux (radioactifs ou non) afin de chercher la stabilité. Ce phénomène est la désintégration. Cette désintégration émet des particules appelées rayonnement. Les quelques noyaux instables restants sont les noyaux longs à se désintégrer (Uranium ou thorium en plusieurs milliards d’années) ou ceux qui sont remplacés (le carbone 14 grâce à l’effet du rayonnement cosmique

poussières ..............................................49 8.1.2. Réduction des oxydes de soufre ....................................49 8.1.3. Réduction des oxydes d'azote........................................50 8.1.4. Réduction du dioxyde de carbone ..................................51 9. Combustibles nucléaires ...........................................................................52 Annexe I : Conventions générales d'utilisation et d'écriture............................56 I.1. Conventions

respiratoire à l'urée marquée (Breath test) Cette méthode consiste à mettre en évidence l'activité uréasique de la bactérie en faisant ingérer au patient de l'urée marquée au 13C (isotope non radioactif), puis à détecter le CO2 marqué dans l'air expiré. Le 13C est un isotope stable non radioactif du carbone. Il est donc inoffensif et peut être utilisé sans autorisation spéciale. Cette méthode est simple mais nécessite une connexion avec un laboratoire capable de doser le 13CO2 par spectrographie

des fins pacifiques et depuis 1988 Iter y travaille. Au XXe siècle, la science de la fusion se développe et prend forme. La réaction entre deux isotopes de l'hydrogène (H), le deutérium (D) et le tritium (T) a été identifiée comme la réaction de fusion la plus efficace qui serait réalisable en laboratoire. Le deutérium et le tritium sont deux isotopes de l'hydrogène, c'est-à-dire des éléments dont les noyaux des atomes contiennent le même nombre de protons que l'hydrogène (un seul) mais pas le même

Charbon Les réserves sont encore très importantes, en particulier en Amérique du Nord, Inde, Chine. * Hydrates de méthane On estime à ce jour que les hydrates de méthane présents au fond des océans contiennent au total deux fois plus de carbone que la totalité des gisements connus de gaz naturel, de pétrole et de charbon. On en trouve également dans les sols gelés, les pergélisols d'Amérique du Nord et de Sibérie. * Uranium Quoique relativement abondant dans la croûte terrestre,

III.2 Nanotubes de carbone III.2.1 Synthèse des nanotubes de carbone III.2.1.1 Arc électrique III.2.1.2 Ablation laser pulsé ou continu III.2.1.3 Synthèse par décomposition catalytique ou thermique III.2.1.4 Autres méthodes de synthèse III.2.2 Structure et propriétés des nanotubes de carbone III.2.2.1 Structure des nanotubes III.2.2.2 Propriétés électroniques des nanotubes 78 78 79 79 79 80 80 81 82 82 85 9 III.3 Stockage de l’hydrogène dans les nanostructures de carbone III.3.1 Généralités

tonnes équivalent pétrole. Énergies fossiles I- Le carbone : élément de l’énergie Élément autour duquel sont bâties les molécules organiques (des énergies fossiles à l’ADN) Élément à partir duquel la vie se construit La concentration de carbone dans la matière vivante atteint 18% presque 100 fois celle de la terre (0,19%) La matière vivante tire le carbone de son environnement amorphe ce qui impose que le carbone soit continuellement recyclé Énergie fossile : énergie

créer un pont d'eau liquide de quelques centimètres entre deux béchers d'eau distillée soumis à une forte différence de potentiel11. Un nouvel « état quantique » de l’eau a été observé quand les molécules d’eau sont alignées dans un nanotube de carbone de 1,6 nanomètre de diamètre et exposée à une diffusion de neutrons. Les protons des atomes d’hydrogène et d’oxygène possèdent alors une énergie supérieure à celle de l’eau libre, en raison d’un état quantique singulier. Ceci pourrait expliquer le

by Stimulated Emission of Radiations », c’est à dire amplification de la lumière par émission stimulée de rayonnement. L’origine du laser démarre avec celle de l’atome il existe 90 variétés d’atomes, très répandus comme ceux de l’hydrogène ou de carbone. Les atomes se distinguent donc par le nombre d’électrons qui tourbillonnent autour de leur noyau. Et ainsi pour produire un rayon laser, il faut « exciter » des atomes à l’aide d’un rayon lumineux, de chaleur ou d’un courant électrique. Ce qui a

temps puis sa quantité de matière à l’aide de la masse molaire. Séquence 1 – Chapitre 2 – SP12 59 C h i mi e Séquence 1 Activité 9 a) Calculer la quantité de matière contenue dans : 1,6 g de méthane CH4 1,7 g d’ammoniac NH3 4,4 g de dioxyde de carbone CO2 b) Quelle masse est contenue dans : 0,2 mole d’éthane C2H6 2,5 moles d’acide sulfurique H2SO4 Données : Elément H C N O S Masse molaire M (g.mol-1) 1 12 14 16 32 2. Relation entre le volume et la quantité de matière d’un gaz – Notion