Italien Aldo Moro

Massimo Mastrogregori de l'université de Rome évoque les aspects contradictoires que l'on peut soulever dans les "écrits de prison" de Aldo Moro sur les concepts de la République, de l'État et de la Nation. (Intervention en Italien) Aldo Moro est un des hommes politiques qui a le plus compté dans les années dramatiques de la “Première République” italienne. Ses analyses et son action politique étaient une nécessité historique pour le développement de l’expérience démocratique de l’Italie.

380 morts, 2000 blessés, soit le triste bilan des attentats durant les années italiennes de 70 à 80. Non, le but de l’exposé n’est pas de vous faire pleurer mais plutôt de vous faire comprendre le sens et les notions cachées derrière cette métaphore « Les années de plomb », si obscure en elle-même. Une période troublante pour ceux qui l’ont vécu mais aussi pour nous, apprentis historiens, concernant plusieurs points à commencer par la date. 1973-1979 pour certains. 1968-1982 pour d’autres. Ou encore

Grèce la Belgique (- – Cellules communistes combattantes) la France (avec mai 68, mais aussi des groupes terroristes tels qu'action directe) Le document que je vous ai lu, je pense que vous vous en êtes rendu compte traite exclusivement du cas Italien même s'il fait mention d'autres pays. Les attentas ne sont pas rare sur la péninsule à cette époque. Ils sont même assez meurtriers (Ex: attentat de la Piazza Fontana le 12 décembre 1969). Cet attentat va être l'un des faits fondateurs de la célèbre

Lucet, Existe-t-il une doctrine de la Démocratie chrétienne?, p. 313-381. La Démocratie chrétienne, organisée en parti sous ce nom en 1944, a derrière elle une préhistoire : la tentative de Don Murri à la fin du siècle dernier et le Parti Populaire italien de Don Sturzo en 1919. Elle est, sans aucune interruption depuis sa fondation, le parti de majorité relative de l'Italie. A-t-elle une doctrine dans la mesure où un parti politique peut en avoir une? Bien entendu, elle a derrière elle, du fait même

pays, quasiment ruiné, éprouvé dans son encore jeune unité, mais qui dispose d’atouts. IL n’a subit que peu de destructions, et dispose Mmmm I : Le MIRACLE ECONOMIQUE : Réalités et Causes I.1 Les chiffres : Naissance du consommateur Italien Automobiles : 1960 : 6 359 042 (400 000 immatriculations 20 000 importées 200 000 exportées) 1965 : 9 865 174 PM : Entre mars 1960 et le 1er février 1961 le prix de l’essence baisse de 25% ! Postes de radio et TV : 1946 : 1 850

La République italienne s’est fondée sur le référendum du 2 juin 1946 et sur un système de valeurs issu du combat antifasciste et contre l’Allemagne nazie. Lors du référendum, les Italiens étaient appelés à choisir entre le maintient de la monarchie et la République. La République l’emporte avec plus de 54% des voix. Les principaux partis sont alors la Démocratie chrétienne, parti catholique dirigé par Alcide De Gasperi, proche du Vatican ; le Parti libéral italien, enclin au conservatisme ;

politique, l'Italie est entrée, depuis la fin des années 1980, dans une ère de bouleversements sans équivalent en Europe. Sous la pression des événements internationaux et de ses propres déficiences, c'est en effet tout le modèle économique et politique italien qui s'écroule. Un modèle qu'on peut dire né à Yalta et mort à Berlin, dans la mesure où l'Italie, pays de frontière du bloc occidental, abritant le plus fort parti communiste d'Occident, a été plus que d'autres conditionnée par l'environnement international

une politique extérieure agressive à l’égard de ces régimes.Kadhafi a été accusé plusieurs fois d’avoir soutenu de nombreux groupe terroriste comme la brigade rouge (organisation d’extrême gauche italienne ayant commis de nombreux attentas comme l’enlèvement en 1978 de l’ancien chef du gouvernement Aldo Moro. B) La Libye et l'Occident A la prise du pouvoir de Kadhafi en 1969 et jusqu'à 1980 les relations internationales sont bien ficelées avec de nombreux pays notamment avec la France qui a

VI – À la découverte de l'Italie 1 – QUELQUES DONNÉES SUR L’ITALIE L’Italie est le plus développé des États méditerranéens, grâce à une renaissance rapide -le « miracle italien »- après la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui, plus des deux tiers des Italiens vivent dans des villes, dont trois (Rome, Milan et Naples) dépassent le million d’habitants. Mais cette population ne s’accroît plus, en raison de la chute de la natalité. Chef de l’État : M. Carlo Azeglio

l’évolution des techniques et des mœurs. La question qui se pose est celle de l’interprétation qui est faite des images et du sens qui leur est donné. L’exposition permettra de (re)découvrir des cas célèbres ou méconnus, tels le portrait d’Aldo Moro, otage des Brigades Rouges qui pose la question de l’instrumentalisation des médias, les premiers pas de Buzz Aldrin sur la Lune, Noire et Blanche de Man Ray qui s’est retrouvée au cœur de l’une des plus grandes affaires de vente de vintages controversés