Italo Balbo

le 23 mars 1919, dans une salle de la piazza San Sepolcro à Milan prêtée par le Cercle des intérêts industriels et commerciaux[3]. Les 119 personnes présentes (dont Mario Carli, Marinetti, Bottai, et le futur quadrumvirat de la marche sur Rome, Italo Balbo, Cesare Maria De Vecchi, Emilio De Bono et Michele Bianchi) s'accordent, tant bien que mal, sur un programme qui mêle revendications nationalistes et sociales. Les Faisceaux italiens de combat sont créés à l'issue de cette réunion et adoptent les

centrale. Le gouvernement ottoman doit cependant affronter l'opposition de divers mouvements tribaux et religieux, dont celui de la confrérie de la famille al-Sanussi. En 1911, la régence est conquise par les troupes italiennes au cours de la guerre italo-turque. La Tripolitaine et la Cyrénaïque sont décrétées parties intégrantes du Royaume d'Italie. Dans les années suivantes, les Italiens hésitent quant au statut de la Libye italienne : deux protectorats autonomes, la République de Tripolitaine et

ralliement il y a : au départ les premiers encourageant les seconds (cf. la femme en voiture jetant des papiers dans la rue et acclamant les fascistes), puis les finançant officieusement (« j’ai versé beaucoup d’argent à votre cause » dit le marquis à Italo Balbo lorsque Rochetti et Gavazza arrivent à la villa) pour enfin les soutenir officiellement. Cette élite économique et sociale italienne est aussi favorable au changement. De Vecchi par exemple, un grand propriétaire foncier, soutient Mussolini. La

Espagne, les 2 belligérants cherchent des aides techniques et financières et se tournent vers la France pour les républicains et L’Italie pour les nationalistes. La rapidité de l’intervention italo-allemande en faveur des nationalistes s’explique par le caractère prémédité. Dès mars 1934, MUSSOLINO et BALBO ont rencontré les chefs carlistes et leur ont promis des armes et des subsides financiers. En France, malgré la sympathie du Front populaire pour les républicains, Blum soucieux de maintenir

totalement dépassée par les événements. La figure dominante de cette période est le chef militaire local, appelé ras à l’instar des anciens dignitaires d’Abyssinie. C’est ainsi qu’émergent de futurs hiérarchiques du fascisme tels que Roberto Farinacci, Italo Balbo, Renato Ricci. Durant la seule année 1921, le nombre des militants fascistes a plus que décuplé pour atteindre et dépasser les 200 000 membres. Le mouvement armé a réussi à se rendre maître des villes et de provinces entières. Mussolini fait ainsi

de voiture dans lequel sa maîtresse, la comtesse Hélène de Portes, trouve la mort. o - 28 : Libye : mort d'Italo Balbo (°1896), chef de l'aviation italienne et gouverneur de Libye. L'avion qui transportait le maréchal Italo Balbo a été abattu accidentellement par la DCA italienne au-dessus du port de Tobrouk. Dignitaire du parti fasciste, vétéran de la marche sur Rome, Italo Balbo s'était rendu célèbre par ses raids aériens au-dessus de l'Atlantique. Homme de caractère, il n'avait pas caché à Mussolini

combat qui se tient au théâtre lyrique de Milan. En juin, il se range aux côtés de Giolitti, qu'il rencontre en octobre, pour la résolution de la question de Fiume. Le 12 novembre, avec l'article Rapallo, il commente assez favorablement le traité italo-yougoslave signé par Giolitti qui permet à Fiume de devenir une ville libre. Le 28 mars 1921, il défile avec les squadristi en chemise noire à l'occasion des funérailles des victimes de l'attentat anarchiste du théâtre Diana qui visait le commissaire

Espagne, les 2 belligérants cherchent des aides techniques et financières et se tournent vers la France pour les républicains et L’Italie pour les nationalistes. La rapidité de l’intervention italo-allemande en faveur des nationalistes s’explique par le caractère prémédité. Dès mars 1934, Mussolini et Balbo ont rencontré les chefs carlistes et leur ont promis des armes et des subsides financiers. En France, malgré la sympathie du Front populaire pour les républicains, Blum soucieux de maintenir la

lancée par la gauche en attaquant les ouvriers grévistes. Document 13 La marche sur Rome (28 octobre 1922) © akg images. akg-images On peut distinguer au premier rang les principaux chefs fascistes : de gauche à droite Michele Bianchi, Italo Balbo, Benito Mussolini (au centre, en costume civil), Cesare Maria de Vecchi, Emilio de Bono. À l’arrière-plan, on voit les chemise noires formant la troupe fasciste. Le 28 octobre 1922, Mussolini organise la marche sur Rome. Les fascistes se mettent

Marche sur Rome le 27 Octobre 1922. 30000 Chemises noires défilent alors que Mussolini est resté à Milan pour s’enfuir en cas d’échec. L’Objectif est d’obliger VEIII à le nommer président du Conseil. Le 30 Octobre, il est légalement désigné avec Italo Balbo pour rétablir l’ordre. Une grande partie de la population voit en lui le « sauveur », capable de rétablir l’ordre et d’écarter le danger d’une révolution. Ce n’est qu’après la prise du pouvoir que le fascisme devient un modèle politique original