J Ai Cent Mille Tourments Ronsard

CITATIONS Auteurs : Joachim DUBELLAY Louise LABE François RABELAIS Pierre de RONSARD Sommaire : I- JOACHIM DU BELLAY A- Biographie et dates B- Œuvres C- Citations II- LOUISE LABE A- Biographie et dates B- Œuvres C- Citations III- FRANCOIS RABELAIS A- Biographie et dates B- Œuvres C- Citations IV- PIERRE DE RONSARD A- Biographie et dates B- Œuvres C- Citations I- JOACHIM DU BELLAY A- Biographie et dates Né à Liré (France)

enfant maladif, qui perdit ses parents entre 1523 et 1531 sans qu'on sache exactement de quelle manière. Il fut alors placé sous la dure tutelle de son frère aîné, René Du Bellay, qui, ayant compromis la fortune de la famille, lui causa de grands tourments, et ne lui fit pas donner d'instruction, sauf peut-être celle, occasionnelle, de Jacques Michelet, procureur de l'université d'Angers et chapelain des Du Bellay. Il passa, si l’on en croit ses propres affirmations, une enfance triste, désolée

parut en 1911 où il dénonce les défauts de l'homme. Ensuite nous aurons un poème de Paul Valéry « L'abeille » tiré du recueil intitulé Charmes en 1919, l'auteur compare l'amour à une abeille et l'abeille à l'amour. Nous aurons un poème de Pierre de Ronsard « Comme un chevreuil » en 1552 où il évoque l'amour douloureuse d'un homme envers la femme. Nous aurons un poème de Alphonse Lamartine « Le papillon » extrait du recueil de poème intitulé Nouvelles Médiations Poétiques écrit en 1823, il appartient

|Sans y penser : quand j’ouïs une voix, | |Ô temps perdu, ô peines dépendues, |Pour me sauver après viendrais trop tard. |Et en plaisir maint grief tourment j’endure : |Je tiens le bien, où j’ai tant aspiré. |Qui m’appela, disant, Nymphe étonnée, | |Ô mille morts en mille rets tendues, |Las, ne mets point ton corps en ce hasard : |Mon bien s’en va, et à jamais il dure : |Et pour lequel j’ai si haut soupiré, |Que ne t’es-tu

et le ciel honoraient ta beauté, La Parque t’a tuée, et cendre tu reposes. Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs, Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs, Afin que vif, et mort, ton corps ne soit que roses.           Pierre de Ronsard, Sur la mort de Marie 1578 Mon rêve familier Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et

dans vos profondeurs, regardant et rêvant. Vous le savez, la pierre où court un scarabée, Une humble goutte d’eau de fleur en fleur tombée, Un nuage, un oiseau, m’occupent tout un jour. La contemplation m’emplit le coeur d’amour. Vous m’avez vu cent fois, dans la vallée obscure, Avec ces mots que dit l’esprit à la nature, Questionner tout bas vos rameaux palpitants, Et du même regard poursuivre en même temps, Pensif, le front baissé, l’oeil dans l’herbe profonde, L’étude d’un atome et l’étude

cœur de ta présence exempte En la terre, et non pas seulement aux forêts, De moi vivant l'objet continuel tu es, Etant Diane ; et puis si le ciel me rappelle, O Lune, ton bel œil mon heur malheurera ; Si je tombe aux Enfers, mon seul tourment sera De souffrir sans fin l'œil d'une Hécate tant belle. VIII Si quelqu'un veut savoir qui me lie et enflamme, Qui esclave a rendu ma franche liberté Et qui m'a asservi, c'est l'exquise beauté D'une que jour et nuit j'invoque et

front  Et tes lèvres que les premières lèvres  Et le premier front venu. J'ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé,  Couché avec ton fantôme  Qu'il ne me reste plus peut-être,  Et pourtant, qu'a être fantôme  Parmi les fantômes et plus ombre  Cent fois que l'ombre qui se promène Et se promènera allègrement  Sur le cadran solaire de ta vie. Théophile Gautier « Dernier vœu » 1872 Voilà longtemps que je vous aime :  — L'aveu remonte à dix-huit ans ! —  Vous êtes rose, je suis blême ;  J'ai

SOMMAIRE Préface Pg 3 La Renaissance « Mignonne, allons voir si la rose » Pierre de Ronsard Pg 5 Biographie Pg 6 Le Baroque « Mépris de la vie et consolation contre la mort » J-B Chassignet Pg 7 Biographie Pg 8 Le Classicisme « Le Chêne et le Roseau » Jean de La Fontaine Pg 9 Biographie Pg 10 Le Romantisme « Le Lac » Méditations poétiques, Alphonse de Lamartine Pg 11 Biographie Pg 13 « Aux arbres » Les Contemplations, Victor Hugo

lapsus , il apparaît comme une antiphrase . Terme hyperbolique qui met en évidence le ridicule de leurs préoccupations . L’amplification est également marquée par d’autres procédés ; l’emploi des nombreux pluriels et des chiffres : " cinq "...   " mille malédictions " et le recours aux superlatifs tout au long du passage (" les premiers des hommes...meilleur goût... leur plus grande félicité...les plus froids, les plus sots. " l’adverbe " plus " revient constamment ) auxquelles s’ajoutent des notions