J Ai Cueilli Ce Brin De Bruyère

clairs encore Que les astres du firmament Que la lumière de l'aurore Que vos regards mon fiancé Auront meilleure odeur encore Hélas ! la bague était brisée Que le lilas qui vient d'éclore Que le thym la rose ou qu'un brin De lavande ou de romarin Les musiciens s'en étant allés Nous continuâmes la promenade Au bord d'un lac On s'amusa à faire des ricochets Avec des cailloux plats Sur l'eau qui dansait à peine Des barques

clairs encore Que les astres du firmament Que la lumière de l'aurore Que vos regards mon fiancé Auront meilleure odeur encore Hélas ! la bague était brisée Que le lilas qui vient d'éclore Que le thym la rose ou qu'un brin De lavande ou de romarin Les musiciens s'en étant allés Nous continuâmes la promenade Au bord d'un lac On s'amusa à faire des ricochets Avec des cailloux plats Sur l'eau qui dansait à peine Des barques

clairs encore Que les astres du firmament Que la lumière de l'aurore Que vos regards mon fiancé Auront meilleure odeur encore Hélas ! la bague était brisée Que le lilas qui vient d'éclore Que le thym la rose ou qu'un brin De lavande ou de romarin Les musiciens s'en étant allés Nous continuâmes la promenade Au bord d'un lac On s'amusa à faire des ricochets Avec des cailloux plats Sur l'eau qui dansait à peine Des barques

clairs encore Que les astres du firmament Que la lumière de l'aurore Que vos regards mon fiancé Auront meilleure odeur encore Hélas ! la bague était brisée Que le lilas qui vient d'éclore Que le thym la rose ou qu'un brin De lavande ou de romarin Les musiciens s'en étant allés Nous continuâmes la promenade Au bord d'un lac On s'amusa à faire des ricochets Avec des cailloux plats Sur l'eau qui dansait à peine Des barques

enveloppant à demi l'une des tours tranchait heureusement par son vert sombre sur le ton gris de la pierre déjà vieille à cette époque. Le voyageur qui eût aperçu de loin le castel dessinant ses faîtages pointus sur le ciel, au-dessus des genêts et des bruyères, l'eût jugé une demeure convenable pour un hobereau de province ; mais, en approchant, son avis se fût modifié. Le chemin qui menait de la route à l'habitation s'était réduit, par l'envahissement de la mousse et des végétations parasites, à un étroit

enveloppant à demi l'une des tours tranchait heureusement par son vert sombre sur le ton gris de la pierre déjà vieille à cette époque. Le voyageur qui eût aperçu de loin le castel dessinant ses faîtages pointus sur le ciel, au−dessus des genêts et des bruyères l'eût jugé une demeure convenable pour un hobereau de province ; mais, en approchant, son avis se fût modifié. Le chemin qui menait de la route à l'habitation s'était réduit, par l'envahissement de la mousse et des végétations parasites, à un étroit

enveloppant à demi l'une des tours tranchait heureusement par son vert sombre sur le ton gris de la pierre déjà vieille à cette époque. Le voyageur qui eût aperçu de loin le castel dessinant ses faîtages pointus sur le ciel, au-dessus des genêts et des bruyères, l'eût jugé une demeure convenable pour un hobereau de province ; mais, en approchant, son avis se fût modifié. Le chemin qui menait de la route à l'habitation s'était réduit, par l'envahissement de la mousse et des végétations parasites, à un étroit

compositions G Clientèle : Traiteurs, Fleuristes La Société CARDOSO MONIN est tenue par un couple, Salah et Valérie, une équipe dynamique, disponible et toujours de bonne humeur. Venez vérifier, nous vous attendons pour vous présenter nos produits cueillis la veille pour le lendemain… CAROLINE CRAYSSAC EURL - Grossiste C1 152 ALL DES IRIS - FLEURS 108 - 94631 RUNGIS CEDEX Standard : 0146869392 - fax : 0146871883 G Contact(s) : Mlle Caroline CRAYSSAC, Gérante G G k c t Offre commerciale

qu’on croit muets, Content les peines secrètes Des liserons aux bleuets.   Les petites ailes blanches Sur les eaux et les sillons S’abattent en avalanches ; Il neige des papillons.   Et sur la mer, qui reflète L’aube au sourire d’émail, La bruyère violette Met au vieux mont un camail ; Afin qu’il puisse, à l’abîme Qu’il contient et qu’il bénit, Dire sa messe sublime Sous sa mitre de granit.   Granville, juin 1836. XV. La coccinelle   Elle me dit : « Quelque chose Me tourmente

Les parfums, qu’on croit muets, Content les peines secrètes Des liserons aux bleuets. Les petites ailes blanches Sur les eaux et les sillons S’abattent en avalanches ; Il neige des papillons. Et sur la mer, qui reflète L’aube au sourire d’émail, La bruyère violette Met au vieux mont un camail ; Afin qu’il puisse, à l’abîme – 51 – Qu’il contient et qu’il bénit, Dire sa messe sublime Sous sa mitre de granit. Granville, juin 1836. – 52 – XV. La coccinelle Elle me dit : « Quelque chose Me