Jackson Pollock Number

Ainsi issue de la peinture abstraite de l'après-guerre, son œuvre est fortement caractérisée par ses enjeux spirituels mais aussi par une tendance à l'immatérialité physique. Trois artistes l’influencèrent à ses débuts, Jackson Pollock, Clifford Still et Mark Rothko. Pollock parce qu’il fut le premier à expérimenter la technique du dripping, manifestation de l’acte créateur à l’état pur, la toile devenant le témoignage et l’enregistrement du mouvement de l’artiste excluant la réflexion du processus

émotions par l’art. Plus généralement l’expressionnisme abstrait désigne une série de mouvements révélant l’émergence d’un art original américain, influencé par les nombreux artistes européens ayant fuit le nazisme (Kline, Gottlieb, Motherwell, Pollock, Rosenberg, Diebenkorn, De Kooning...). L’abstraction lyrique est très proche, au point qu’on peut les confondre pour la plupart de ces artistes, d’autant que « l’abstract expressionism » est essentiellement américaine et l’abstraction lyrique française

années 1940 naquit aux États-Unis un nouvel avant-gardisme, moins optimiste que celui de 1930, ayant pour souci la non-composition et l’immédiateté de la relation entre l’œuvre et son spectateur. Ainsi en est-il de l’expressionnisme abstrait (Jackson Pollock, Barnett Newman), du pop-art (Jasper Johns, Robert Rauschenberg), de l’art conceptuel (Sol Lewitt), du process art (Robert Smithson). En Europe, la petite révolution culturelle de 1968 a bousculé la rhétorique traditionnelle du premier art abstrait

Paul Jenkins est souvent classé parmi les expressionnistes abstraits, il côtoie les plus grands de l’art d’après-guerre, comme Jackson Pollock, Mark Rothko ou Willem de Kooning – qui lui transmet en 1963 son atelier à New York. Alors que ses amis ne quittent jamais Manhattan, Paul Jenkins lui voyage, curieux des autres artistes et de leur culture. Il étudie à l’Art Students League de New York entre 1948 et 1952, sous la direction de Yashuo Kuniyashi, peintre d’origine japonaise considéré pour beaucoup

pour capter l'énergie et par conséquent, les routes et les autoroutes avec ce matériau se transformaient en un lieu de passage, en voie entropique qui permet un flux continu de personnes et d'engins. Il y a aussi un rapport direct au dripping de Jackson Pollock dans ses peintures car le dripping pictural de ce peintre le portait à son point extrême de monumentalité. Smithson cherche la désintégration, le glissement, la coulée, l'avalanche, le flot. Le paysage est toujours entropique pour lui parce que

Jackson POLLOCK 1912-1956, peintre américain. Objet d'étude : http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=CrVE-WQBcYQ http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=7bICqvmKL5s http://www.youtube.com/watch?v=lfwUxQrDGqw&feature=player_detailpage Mots-clés : abstraction lyrique, dripping, action painting, psychanalyse, expression, « artiste maudit », all over. Domaines : arts du visuel Thématique privilégiée : « Arts, ruptures, continuités » 17 contexte politique

| Enfance et formation Frank Stella fait des études d'art à la Phillips Academy d'Andover (Massachusetts), puis d'histoire à l'Université de Princeton. Il commence par être influencé par l'expressionnisme abstrait de Jackson Pollock et de Franz Kline, avant de réagir contre l'utilisation expressive de la peinture par la plupart des peintres de ce mouvement, et de s'intéresser à la peinture plus « plate » d'un Barnett Newman. En 1950, il rejette le lyrisme de l'expressionnisme

sombre). Elle devient un support sur lequel il faut intervenir, qu’il faut à la fois dévoiler et cacher dans un procédé de recouvrement par ajout de peinture (en allemand, on utilise le terme « Ubermalunge »), technique assez proche du dripping de Jackson Pollock dans l’expressionisme abstrait américain, par la force qui s’en dégage. Il rature donc les traits de son visage déjà grimaçant et convulsé, les écorche et les met à mal dans un but de se réapproprier son identité, de la modifier à l’aide d’un

l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris. Désormais à la retraite il continue ses recherches exploratoires. Des références multiples se trouvent revendiquées par l'artiste: Matisse et Picasso mais aussi Simon Hantaï et les américains Jackson Pollock, Sam Francis, Jules Olitski, Morris Louis et Kenneth Noland... ; elles servent à construire une œuvre polymorphe qui intègre également la pratique du dessin tauromachique. De nombreuses œuvres de Claude Viallat sont disponibles à la galerie Bernard

(1913-1980) • Elaine Hamilton (1920-) • Marie Kettani (1946-) • Franz Kline (1910-1962) • Willem de Kooning (1904-1997• Knox Martin (1923-) • Antoine Mortier ( 1908-1999) • Robert Motherwell (1915-1991) • Barnett Newman (1905-1970) • Jackson Pollock (1912-1956) • Robert Rauschenberg (1925-2008) • Jean-Paul Riopelle (1929-2002) • Mark Rothko (1903-1970) • Clyfford Still (1904-1980) • Yves Zurstrassen • Olivier Ledogar [pic]   "L'arbre  jaune" (89 x 116 cm)   L'Expressionnisme abstrait