Jacques Brel Les Vieux

au-dessus des terres,     N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,     Et les chênes d'en bas, contre les rocs penchés,     Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.     Rien ne bruissait donc, lorsque, baissant la tête,     Le plus vieux des chasseurs qui s'était mis en quête     A regardé le sable en s'y couchant ; bientôt,     Lui que jamais ici on ne vit en défaut     A déclaré tout bas que ces marques récentes     Annonçaient la démarche et les griffes puissantes     De deux

connu) ? A la musique (mais nous sortons du cadre littéraire) ? Et qu'en est-il de l'interprétation ? Si nous reprenons l'exemple des « feuilles mortes », Yves Montand s'est toujours déclaré son premier interprète. Or il est maintenant avéré que Jacques Douai en fut le premier interprète et que Cora Vaucaire et Marianne Oswald l'avaient enregistrée un an avant Montand. Depuis la fin du dix-neuvième siècle, on peut conserver l'enregistrement des voix. Cette composante technologique nouvelle doit-elle

et la gloire, voulant imiter Amadis de Gaule (héros d’un roman espagnol du XVe siècle), décidé à rompre la monotonie de la vie villageoise pour courir l’aventure, il empoigne les armes de ses aïeux, se fabrique une visière en carton, ennoblit son vieux cheval décharné aux jambes instables en l’appelant Rossinante, prend lui-même le nom de chevalier don Quichotte de la Manche, choisit une dame, en fait une paysanne qu’il transfigure sous le nom de Dulcinée du Toboso, qu’il peut adorer à loisir et

bois de mon coeur (1957) 81 4 *104 Grand-père (1957) 84 4 *110 Celui qui a mal tourné (1957) 86 4 112 Le vin (1957)n 88 4 *92 L'amandier (1957) 89 4 *94 Oncle Archibald (1957) 92 4 98 La marche nuptiale (1957)n 94 4 100 Les lilas (1957)n 96 5 118 Le vieux Léon (1958)n 100 5 *120 La ronde des jurons (1958) -4- page CD ici # 101 5 102 5 104 5 106 5 108 5 109 5 110 5 112 5 114 6 116 6 118 6 page GW *122 *124 *130 *138 132 *142 *134 128 *152 *154 *- 120 124 126 128 129 130 131 132 134 6 6 6 6 6 6 6

l’exposition «Les enrubannées», se développe autour des pièces de haute couture réalisées en rubans et lacets Gratuit 1er dim du mois et - 12ans. Ouvert tlj sf mar de 10h à 18h et fermé lors de jours fériés ; de 4,50€ à 6€ FONDS COMMUN JEAN-JACQUES LEBEL : PEINTURES, COLLAGES, ASSEMBLAGES - 1956-2012 L’exposition conçue avec l’artiste met en avant un ensemble diversifié de collages, frottages, assemblages et installations, de 1956 jusqu’à aujourd’hui. Le cœur de son processus de création

orateur : « … c’est un défi qu’il nous appartient de relever et de gagner ensemble. » © Groupe Eyrolles 1. Voir table www.aisne.pref.gouv.fr/2007/discours/ 2. Préfète de l’Aisne, 7 juillet 2007 (www.aisne.pref.gouv.fr/2007/discours/). 3. Jean-Jacques Debacq, préfet de l’Orne, à l’occasion de la présentation du nouveau service téléphonique de la CAF de l’Orne, 21 juin 2001. 19 Écrire un discours « Relever un défi », certes, mais « gagner un défi » ? L’orateur tenait certainement à glisser

Le projet a pris forme lors d’un séjour de 15 jours, en novembre 1986. Je n’y connais qu’une amie. Nous sommes convenues de nous voir rarement, juste ce qu’il fallait pour m’épargner une schizophrénie aiguë. J’avais le choix entre 2 quartiers. Le Vieux port: ces quelques pâtés de maisons vieillottes et sympathiques jouxtent le ghetto arabe de Belsunce, le Front y a dépassé en 1986 les 27%. Ou les quartiers Nord: ce 2ième fief[6] lepéniste se loge à la périphérie de Marseille, et regroupe les 13e

signé à Paris, à l’hôtel Majestic, un accord de cessez-le-feu au Vietnam. N’empêche. On a continué à crier “Vietnam vaincra” et à préparer la révolution. En chaussons, cloîtré chez moi, je ne la prépare pas bien, faut dire. Cha- que soir, sur un vieux poste, j’écoute Radio Tirana. Il faut appuyer sur “PO”, puis tourner doucement le bouton pour arriver, entre les chiing bbbrr chcrcr hirc, à entendre quelque chose. Je ne comprends rien, sauf «Henver Hoxda», répété toutes les trente secondes. A 22

ville et à la campagne, offrent de nombreuses fonctions de la socialisation qui seront attribuées plus tard à la phase d’adolescence. « Pour exemple, les rapports entre les jeunes et les notables, à Florence, au XVIème siècle, qui montrait que les vieux proposaient à la jeunesse une idéologie de la virilité, de la virtú, et de la violence, ce qui était une façon de se réserver la sagesse, c'est-à-dire le pouvoir »[3]. Ainsi s'est intercalée entre l'enfance et l'âge du mariage une période d'attente

blues, la soul, les hippies, les cheveux longs, était convoqué chez nous avec une avidité sans limite. Les garçons et les filles se regardaient comme deux tribus qui allaient bientôt sauter l'une sur l'autre. Ils restaient encore séparés par quelques vieux tabous: la virginité des femmes avant le mariage, la non-mixité dans les écoles, un certain ascendant des hommes sur les femmes, une forme de pudeur… La révolution sexuelle, c'était le droit au désir pour tous. Auparavant, on vivait des amours interrompues