Jacques Rivette

Cannes de cette année-là. C'est une campagne publicitaire du CNC qui va définitivement effacer le sens sociologique du terme pour l'appliquer plus strictement au cinéma. Le coup d’envoi a été donné par Le Coup du Berger, court métrage de Jacques Rivette en 1956, mais le rejet du cinéma français officiel remonte en fait à la Libération et à la découverte enthousiaste, au lendemain de la guerre, du cinéma américan. En 1959, la nouvelle vague se distingue donc d'abord par une vitalité qui

passe plus par les dialogues car le montage et la mise en scène doivent suffir à l'exprimer. Il aime aussi adapter des faits divers au cinéma comme dans Un Condamné à mort s’est échappé (Bresson, 1956). Extrait: Pickpocket, Bresson, 1959. 3. Jacques Tati (1907-1982). Il débute une carrière de mime dans un music-hall avant de se tourner vers le cinéma. On retrouve donc un travail méticuleux sur les silences, les gestes dans ses films, souvent au détriment de la parole. Jour de fête, Tati

de la rencontre de plusieurs jeunes cinéastes. Ce mouvement se définit par des techniques cinématographiques révolutionnaires pour l'époque mais aussi par ceux qui la composent comme François Truffaut, Éric Rohmer, Agnès Varda, Jean Eustache, Jacques Rivette, Claude Chabrol et Jean-Luc Godard qui constituent le cœur de ce mouvement. Ce mouvement s'inscrit dans le contexte historique du début des Trente Glorieuses, des révoltes étudiantes, de la guerre d'Algérie et du mouvement de libération des femmes

LA NOUVELLE VAGUE EN AVANT JEUNESSE → Françoise Giraud a inventé ce mouvement le 3 octobre 1959 → un groupe de cinéastes des années 50-60 qui étaient critiques de cinéma : François Truffaut, Eric Rohmer, Jean Luc Godard, Claude Chabrol, Jacques Rivette. André Bazin – créateur de « Cahiers du Cinéma » 1951 → le « père adoptif » de Truffaut → son grand concept état le « réalisme ontologique » ceci interdisant le montage (contraire de l'effet Кулечов : cinéaste russe :

le Dernier Métro, la Nuit américaine, L’Homme qui aimait les femmes, la Femme d'à côté, Vivement dimanche! . Décédé d'une tumeur cérébrale à 52 ans, il a également écrit sur Hitchcock, et d'autres livres. Il était très proche d'André Bazin. Jacques Rivette, né en 1928 à Rouen. Brillant critique et rédacteur en chef (de 1963 à 1965) des Cahiers du cinéma, il est le réalisateur de la Nouvelle Vague demeuré le plus marginal jusqu'au succès de la Belle Noiseuse (Grand Prix du festival de Cannes 1991)

etnoloji okumak için Sorbone Üniversitesi’ne girdiği dönem aynı zamanda François Truffaut, Jacques Rivette ve Eric Rohmer ‘le de görüşmeye başladığı dönemdir. 1950 yılında Godard, Rivette ve Rohmer ile “Gazette du Cinéma” adlı, Mayıs ve Kasım ayları arasında yayımlanan ve beş sayıdan oluşan bir dergi çıkardı. Bu dergide genellikle ‘Hans Lucas’ takma ismini kullanarak yazılar yazdı. Godard’ın ailesi Rivette ve Rohmer’in iki filmine finansal destek verdikten sonra 1951’de yardımlarını kesince Godard

L’Histoire de la nouvelle vague. On peut dater l’acte de naissance de la nouvelle vague avec le court métrage de Jacques rivette, le coup du berger. Il tourne ce film dans des conditions semi professionnelles, dans l’appartement de Claude chabrol producteur délégué du film pour le prix de la pellicule. Le coup du berger donne le départ d’une série de courts métrages réalisés par les jeunes des cahiers, séduits par les conditions semi professionnels du tournage et le peu de moyens employés. Ainsi

Cannes de cette année-là. L'histoire de la Nouvelle Vague est aussi l'histoire d'une relation ambiguë entre réalisateurs et critiques. En effet, la majeure partie des figures tutélaires du groupe, à l'image de François Truffaut, Jean-Luc Godard et Jacques Rivette, sont issus des Cahiers du cinéma. Sous l'impulsion de François Truffaut, les « jeunes turcs » conçoivent la politique des auteurs. Un réalisateur ayant vu son premier film encensé dans les Cahiers sera assuré de recevoir de bonnes critiques pour

pouvoir presque mimétique. L’originalité du film requiert des compétences cinématographiques, celles-ci ne sont pas visibles que dans celui-ci, on a ainsi différent critères d’excellent pourtant tout d’abord sur la cohérence de l’ensemble du film. Jacques Omont, dans son livre « A quoi pensent les films? » met en relief certaines postures intellectuelles tout d’abord l’assignation et les références ponctuelles à d’autres domaines culturelle c’est l’approche à la critique puis s’ensuit l’interprétation

Claude Jade, qui joue Christine, successivement maîtresse, femme et ex-femme d'Antoine. Entre-temps, Marie-France Pisier est devenue une égérie du cinéma d'auteur, apparaissant dans les univers oniriques d'Alain Robbe-Grillet, Luis Buñuel, Jacques Rivette et, surtout, du jeune André Téchiné. Grâce à ce dernier, elle obtient deux fois le César du meilleur second rôle, en 1976 et en 1977. En 1976, année de la première consécration, les Césars récompensent aussi l'actrice pour sa prestation dans Cousin