J'ai lu

Critique du livre : « Nos amis les humains » de Bernard Werber Ce week-end, j’ai lu le livre « Nos amis les humains » de Bernard Werber dans le cadre d’une critique pour le cours de français. Je vais vous faire un petit résumé suivi de mon avis personnel. Ce livre a été joué au théâtre et ensuite adapté au cinéma. L'histoire raconte

Londres (l’année dernière). Comparer de même : I have (already) read this book. J'ai(déjà) lu ce livre. je dis simplement que je me rappelle (maintenant) l'avoir lu, sans donner d'autres précisions; c'est un présent autant qu'un passé, il faut donc un present perfect. I read this book when I was twelve. J'ai lu ce livre quand j'avais douze ans. je raconte les circonstances de l'action,

Iftane manar ça va? 00:22Manar savaa et toi ,? 00:22Iftane pas trop :S je voulais te demander un service si tu peut je t'en prie 00:22Manar ? oui ? 00:23Iftane y'a wa7èd 4h j'ai appeler mehdi mais j'ai aussi appeler réda oussama moncef.. mouhim j'avais des problèmes c'était vraiment chiant bref je me co après et y'a ranya qui me demande après pk tu appèle mehdi je lui avais dit de me laisser trankil que je ne pouvai pas lui expliquer

objectifs ou le but de la société).J'ai lu l’annonce de votre poste vacant de..................... Ma motivation provient du faite que j’aimerais travailler avec une entreprise dynamique dans laquelle je pourrais contribuer à l’accomplissement des buts et objectifs et aussi dans la quelle je pourrais augmenter mes performances et contribuer à l’évolution de la structure. Ma motivation est profonde surtout vu le fait que le poste de…………………….. m’intéresse vraiment. J'ai observé avec plaisir le travail

Sujet Bac : Écriture d'invention. Chère Charlène, En réponse à la dernière lettre que j'ai reçue de ta part , là ou tu me dis qu'aucun livre ne pourra te faire autant aimer la lecture que moi. J'ai décider de te parler d'un livre que j'ai découvert il y a peu de temps. Cela me tient beaucoup à cœur,parce que j'aimerai te faire part de ce que j'ai ressenti lorsque je l'ai lu , et j'aimerai par la même occasion , je l'avoue que tu le lises aussi. Pour te convaincre que lire , c'est un plaisir

course sans avoir une culture littéraire particulière. D'un autre côté, les livres nous apportent tellement de pensées que si une personne n'a jamais lu de sa vie, ils ratent quelque chose de sensationnel. La littérature est un art inventé par l'homme, un art dont on peut être fier. "Donner une chance au livre, le livre n'attend que d'être lu... Il ne faut pas avoir des préjugés sur un livre" Il est extrêmement difficile de pouvoir continuer un livre lorsque le début n'est pas à la hauteur

comment certains ont-ils pu survivre et résister, consciemment ou non, à leur déshumanisation, pendant leur emprisonnement et après leur libération ? Après avoir survécu aux camps sont-ils vraiment parvenus à vivre ou à revivre ? Choix du sujet : J'ai eu envie de travailler ce sujet pour plusieurs raisons : Au collège je me souviens avoir vu une vidéo marquante où on nous montrait les tas de chaussures, les tas de cheveux récupérés des Juifs qui étaient envoyés dans les chambres à gaz, on y voyait

Thèbes qui a couronné un inceste et un parricide. Quand un berger dévoile la vérité, la machine infernale des dieux explose. Œdipe se crève les yeux et sa mère se pend. (présentation de l'éditeur) J'ai aimé : - la réécriture du mythe d'Œdipe : passionnée par le mythe, je n'avais pas encore lu adaptation par Jean Cocteau. Il reprend les mêmes personnages, Œdipe, Jocaste, le Sphinx, Antigone, Créon, mais à sa sauce : par exemple, Œdipe est un jeune homme arrogant à qui on a donné la réponse de

le jugement des autres pour mener une vie axée sur une quête, un désir, une rage d’un vouloir qui ne peut être arrêté : «Rien ne rassasie les Scorta1». Les exemples se succèdent, que ce soit du 1. Laurent GAUDÉ, Le soleil des Scorta, Paris, J’ai lu, 2004, p.248 fondement de la lignée jusqu’aux derniers représentants de celle-ci : le désir de Luciano Mascalzone pour une femme, la sueur versée pour le bureau de tabac, la passion de Domenico pour ses oliviers, celle de Donato pour sa barque, l’amour

race de metteurs en scène peu théoriciens. Je ne cherche pas à faire de la théorie. J’ai toujours un petit peu peur qu’une théorie formulée ne me bloque plus qu’elle ne m’aide. Tout bêtement, j’ai vu des représentations du Tartuffe, j’ai lu des commentaires et des théories, et j’ai vu des différences fondamentales entre la façon dont on parlait de la pièce et ce que je croyais lire dans le texte. Du coup, j’ai eu envie de monter Le Tartuffe, une envie de dire à la scène : « Non, ce n’est pas