Jalousie De La Princesse De Clèves

longueur. Il peut privilégier l'esprit de la litote lors de la rédaction et ainsi obtenir un roman plus accessible. Les mots plus simples peuvent aussi avoir une plus grande portée psychologique sur le lecteur. Ainsi Mme de La Fayette dans La princesse de Clèves a selon un critique de l'époque "un style cruel, triste et magnifique". Par des mots simples et des sous-entendus, elle nous fait deviner les impressions de ses personnages, ce qui allège le roman dont la construction est relativement complexes

c'est-à-dire les trois « femmes savantes », s'y opposent. Philaminte veut qu'Henriette épouse Trissotin, pour asseoir son alliance avec la science et la philosophie. Cette volonté est appuyée par Bélise et Armande. Cette dernière exprime une certaine jalousie que sa sœur convole avec son ancien soupirant. Chrysale ne veut pas s'opposer fermement aux volontés de son épouse, et il semble que le mariage d'Henriette et Clitandre soit compromis, à l'avantage de Trissotin. Les deux amants tentent alors de

quelques soirées avec elle, ce serait comme un « but dans la vie ». Il éloigne ainsi le « mot fatal d’amour », qui est pourtant déjà là, par la simple force du regard de Mme de Chasteller. Un autre élément vient se joindre aux rêveries de Lucien : la jalousie. Les ragots qu’il a entendus lui font penser qu’il a un rival. « Aurais-je la sottise d’être amoureux ? » : la deuxième étape est franchie, il se pose tout d’un coup la question, comme « frappé par la foudre »10. Il en est honteux, puisqu’il

public fê. Soucis de sobriété et de naturel Liberté : ouvert à ts les procédés, registres, domaines de l’exp humaine, de la réalité sociale à l’explorat° des âmes) Honoré d’Urfé L’astrée Baroque Madame de la Fayette La princesse de Clèves Classicisme : roman d’analyse Cervantès Don Quichotte Classicisme : roman comique Procède à un travestissemt grotesque du pur romanesque : dénonce les illusions & affirme ainsi sa propre ambit° à représenter le réel, àpd humanité médiocre

de situation : rencontres, événements inattendus, personnages cachés, masqués, mises en scène destinées à duper ; -comique de caractère : héros entêtés ou faibles, valets plus fins que leurs maîtres, défauts d’un personnage accentués (avarice, jalousie…). Exemple : Plaute et Molière ridiculisent un vieil avare. Le registre comique peut se présenter sous différentes formes : 8 -la parodie imite de façon moqueuse le style d’un écrivain ou d’un genre : la parodie d’épopée de Rabelais. -le burlesque

Maupassant, de Zola | |XVIIème:Les héros amoureux des romans précieux... | | |L'héroïne du roman d'analyse: La Princesse de Clèves de madame de | | |Lafayette | | |

(1665-1674) 2 *Molière, Tartuffe (1664) ou L’École   des   femmes   (1662) ou Dom Juan (1665) ou L’Avare (1668) *Pascal, Pensées (1669) ∆  Boileau,  L’Art  poétique (1674) *Racine, Phèdre (1677) ou Andromaque (1667) *Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves (1678) La Bruyère, Les Caractères (1688) XVIIIe siècle *Montesquieu, Lettres persanes (1721)  ou  ∆  De  l’esprit  des  lois (1748) *Marivaux, Le  Jeu  de  l’amour  et  du  hasard (1730) Abbé Prévost, Manon Lescaut (1731) *Voltaire, Lettres

de madame de Valentinois paraissaient par-tout, et elle paraissait elle-même avec tous les ajustements que pouvait avoir mademoiselle de la Marck, sa petite-fille, qui était alors à marier. La présence de la reine autorisait la sienne : cette princesse était belle, quoiqu’elle eût passé la première jeunesse ; elle aimait la grandeur, la magnificence et les plaisirs. Le roi l’avait épousée lorsqu’il était encore duc d’Orléans, et qu’il avait pour aîné le dauphin, qui mourut à Tournon ; prince que

que Silène Edgar l’entoure de la marquise bien évidemment mais aussi de Madame de Lafayette, de Bussy-Rabutin, de Jean de La Fontaine, de Mademoiselle de Scudéry… et que l’on assiste même à des joutes verbales dans le salon de l’auteure de La princesse de Clèves, ce qui m’a rappelé le roman de Béatrice Nicodème,  Eh bien dansez maintenant ! , que je trouve mieux écrit et plus passionnant à lire. Pour autant, Silène Edgar connaît cette période littéraire sur le bout des

tels que La P de C de Mme de Lafayette (1678). Ds ce dernier Mlle de Chartres se marie au prince de Clèves qu’elle n’aime pas mais respect, elle devient donc Mme de Clèves. Ce mariage a été fait suite aux conseils de la mère de la protagoniste, soit sous la doctrine janséniste. Néanmoins, le roman est un roman galant, ds lequel ns pouvons assister par exemple à une scene de bal où Mme de Clèves tombe sous le charme du Duc de Nemours. Cette rencontre semble parfaite, tte l’assemblée est fascinée