James Ensor

la maison de ses parents. Dés lors, il fréquente les Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique et expose un an après à Bruxelles avec son ami Robert Giron à la galerie Breckpot. Il poursuit sont voyage de l'art à Paris et y subit l'influence de James Ensor[9] et de Chirico[10] qui, a travers une exposition chez Paul Guillaume, la boulverser. Quelques années plus tard, il subit l'influence des expressionnistes, Permeke et Gustave De Smet. Il peint "Une grande Maternité", détruite a son changement de

une carrière juridique et de devenir écrivain. Il publiait des poèmes et des articles critiques dans les revues belges et étrangères, entre autres L'Art moderne et La Jeune Belgique. Comme critique d'art, il soutint de jeunes artistes tels que James Ensor. En 1883, il publia son premier recueil de poèmes réalistes-naturalistes, Les Flamandes, consacré à son pays natal. Accueilli avec enthousiasme par l'avant-garde, l'ouvrage fit scandale au pays natal. Ses parents essayèrent même avec l'aide du

(peintures) Jake et Dinos Chapman, Giampaolo Bertozzi et Stefano Casoni, Marc Quinn (sculptures) Robert Capa, Cindy Sherman (Photographie) Thomas Olbricht Antoine de Galbert James Ensor – Les cuisiniers dangereux Dans Les cuisiniers dangereux, la moquerie et l’impertinence sont présentes. Ensor se place lui-même comme cible des critiques d’art. La tête sur un plateau, prêt à être dégusté par ses « ennemis » parfaitement identifiables (Fétis, Demolder, Lemonnier, Sulzberger et Verhaeren)

de l'expressionnisme apparaissent à la fin du XIXe siècle, en particulier dans la toile d'Edvard Munch, Le Cri (1893) [pic] ainsi que dans l'évolution des oeuvres de Van Gogh. [pic] Van Gogh : La Nuit étoilée, Saint-Rémy (1889 et James Ensor [pic] James Ensor :Squelettes se disputant un hareng saur (1891) Pendant et après la guerre, l'Allemagne connaîtra une deuxième vague expressionniste (peintres Conrad Felixmüller, Max Beckmann). Mais c'est surtout aux Pays-Bas, autour de Jan Sluyters

Gustave Courbet • Le Désespéré • 1841 • James Ensor • Autoportrait au chapeau fleuri • 1883 • Vincent Van Gogh • Autoportrait • 1889 • Marc Chagall • Autoportrait au sept doigts • 1913-1914 • Francis Bacon • Etude pour un autoportrait • 1980 • Andy Warhol • Autoportrait • 1986 Eléments Communs : - Seul le visage et parfois le buste sont représentés. – des couleurs variées. – (les autoportraits de Durer, Ingres, Courbet, Ensor et Van Gogh) sont réalistes. – regard

artistique se développe à partir de 1905, juste avant la première guerre mondiale, en Europe du Nord particulièrement en Allemagne. Ce mouvement prend fin quand les nazis le condamne. Les artistes qui ont développé ce mouvement sont Van Gogh, James Ensor, Edward Munch, Oskar Kokoschka, Wassily Kandinsky,... Analyse d'un tableau expressionniste : Edvard MUNCH, «Le cri», 1893, huile et pastel, 83,5cm X 66cm, musée Munch, Oslo 2) J'ai choisis cette oeuvre parce qu'elle représente

l’expressionnisme. Cette œuvre est innovante car elle peut être considérée comme une avant-garde au courant expressionniste. Van Gogh va beaucoup influencer les artistes qui suivront comme par exemple Picasso ou encore Matisse. Lien possible avec : James Ensor qui lui aussi pas ses différentes œuvre fut l’un des précurseur a l’impressionnisme.

Magritte Museum. Sur 5 étages thématiques, ses peintures, œuvres, textes, interviews, photographies et correspondances seront dévoilées au grand public. Précurseur... S'il avait gardé sa ville natale, Ostende, au centre de son inspiration, James-Sydney Ensor se trouvait à Bruxelles comme en seconde résidence. Voyez son " Entrée du Christ à Bruxelles " où il se révèle en observateur impitoyable, à l'ironie amère. Je suis troublé par son imagination originale, car elle est tournée vers des expressions

lignes de forces, les caractéristiques qui le rattachent au courant symboliste ainsi que ses spécificités. Liste de peintres symbolistes -Jean Delville -Félicien Rops -Antoine Wiertz -Gustav Klimt Gustave Moreau Fernand Khnopff Odilon Redon James Ensor

laisse prendre par le charme de l'architecture de la Renaissance, de Michel-Ange et des premiers maîtres du Quattrocento. Quelques voyages occasionnels le conduisent à Munich, où il découvre en 1904, Aubrey Beardsley, William Blake, Francisco Goya, James Ensor, puis à Paris en 1905. À l'exposition de Munich, il fait la connaissance des oeuvres de Vincent van Gogh et de Paul Cézanne et expose ses premières eaux-fortes. Pendant l'hiver 1911, il se rapproche du groupe des peintres du Der Blaue Reiter (Le