James Fenimore Cooper

ténèbres (1899) D.H. Lawrence, Amants et fils (1913) James Joyce, Ulysse (1922) Virginia Woolf, Mrs Dalloway (1925) George Orwell, 1984 (1949) Harold Pinter, Le Gardien (1959) États-Unis James Fenimore Cooper, Le Dernier des Mohicans (1826) Edgar Allan Poe, Histoires extraordinaires (années 1830-1840) *Nathaniel Hawthorne, La Lettre écarlate (1850) Herman Melville, Moby Dick (1851) *Walt Whitman, Feuilles  d’herbe  (1855) Henry James, Portrait de femme (1881) Mark Twain, Les Aventures

Halles étant leur lieu de rendez-vous favori, même si rares sont les arrondissements à échapper à leurs méfaits, de jour comme de nuit. Pourquoi ce surnom ? Celui-ci viendrait de la vogue des indiens du Far West nourrie par les romans de James Fenimore Cooper et de Gustave Aimard et de la com- paraison spontanée qu’auraient faite les Parisiens entre ces rôdeurs des faubourgs et les bandits des prairies américaines. La paternité de l’expression reviendrait peut-être aussi à ce secrétaire du commissariat

studieuse n’a plus faim, Ayant oublié ses anciens appétits, De Kingston ou Ballantyne le valeureux, Ou de Cooper* des bois et des vagues : Ainsi soit-il aussi ! Et que mes pirates Et moi-même partagions la tombe Où ils reposent avec leurs créations ! William Kingston (1814-1880) et Robert Ballantyne (1825-1894) étaient des auteurs célèbres de romans d’aventure pour les garçons. Seul James Fenimore Cooper (1789-1851), qui a écrit Le dernier des Mohicans, est encore connu aujourd’hui. * 3 L’Île au

James Fenimore Cooper Le Dernier des Mohicans BeQ James Fenimore Cooper Le Dernier des Mohicans Histoire de mil sept cent cinquante-sept Traduction de A. J. B. Defauconpret La Bibliothèque électronique du Québec Collection À tous les vents Volume 277 : version 1.01 2 Titre original : The Last of the Mohicans. Le Dernier des Mohicans a été traduit dans sa version intégrale par A. J. B. Defauconpret en 1830. Édition de référence pour cette numérisation : Paris, France-Loisirs, 1992

une lecture critique comme un employeur le ferait du Curriculum vitæ d'un chômeur, on est fatalement déçu. Il faut donc accepter cette dose d'imaginaire chez Pagnol, sans laquelle rien d'authentique n'aurait vu le jour. Aux Bellons, il lisait Fenimore Cooper, le dernier des Mohicans, etc. Avec le petit Paul, ils transformaient les cigales et les lézards en serpents boas, en tigres ou en éléphants. L'imaginaire est partout à cet âge. De plus, les adultes sont bien connus pour leur souvenirs écran qui

.............................................................18 Épreuves à option - Littérature .......................................................... 18  Alice Munro. Dance of the Happy Shades .................................. 18  James Fenimore Cooper. The Last of the Mohicans .................. 18 Linguistique......................................................................................... 20  Leçon ..............................................................................

irlando-britannique né le 29 avril 1957 à Londres. Il est connu pour des interprétations marquantes et variées (aristocrate, petit voyou, marginal, homosexuel ou criminel) chez des réalisateurs tels que Martin Scorsese, Stephen Frears, Jim Sheridan ou encore James Ivory. Il est aussi réputé pour être l'un des acteurs les plus sélectifs de l'industrie, avec seulement cinq films depuis 1998. Son interprétation de Christy Brown dans My Left Foot (1989) lui a valu l'Oscar et le BAFTA du meilleur acteur, celle

recoins les plus secrets. Mon oncle m’avait aidé à bâtir au bout d’un ravin, au lieu-dit Vieille-Source, un wigwam de Peau-Rouge, une hutte faite de branches et recouvertes d’une toile cirée où je me réfugiais avec les livres de James Oliver Curwood et de Fenimore Cooper, pour rêver des Apaches et des 5 Sioux, ou pour me défendre jusqu’à la dernière cartouche, alors que j’étais assiégé par les forces ennemies, toujours « supérieures en nombre », comme la tradition l’exige

pan A propos de l’auteur : James Matthew Barrie est un romancier et dramaturge. Il est né le 9 mai 1860 en écosse, et est mort le 19 juin 1937 à Londres. Son père David Barrie était ouvrier tisserand. Quant à sa mère Margaret lui donna le goût de la fiction, puisqu’elle lui lisait des histoires de pirates lorsqu’il était petit. Il est le petit dernier d’une famille nombreuse, et vit dès l’enfance un drame qui conditionnera sa vie : la mort de son grand frère David. James essaiera de remplacer son

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