Jardinerie

être évalué! Les liquidités qui dorment. Chaque produit en magasin doit être consi- déré comme une pile de billets en attente. Des billets qui aideraient à payer le chauffage et les intérêts bancaires, par exemple. La gestion des liquidités en jardinerie est tout un défi en raison dela saisonnalité desventes. Notre aide la plus précieuse réside alors dans la bonne gestion des inventaires et l'utilisation réfléchie des rabais. Ainsi, quand le besoin de liquidités devient déterminant, il vaut mieux

acheter dans un cabinet plutôt qu'en animalerie malgré le prix onéreux,il s'agit bel et biens d'un achat psychologique(=prescription). Avec un C.A de 469 millions d'euros ils occupent la 2e place du marché avec 14% de part. Les Jardineries Sur le marché les jardineries arrivent au 3e rang après les vétérinaires. Leur manque « manque d'expertise » (contrairement aux vétérinaires et pharmaciens) est très largement compensé par leur pluridisciplinarité (ce qui amène une clientèle varié)et le nombre

dépenser beaucoup d'argent pour eux. Leurs marges sont donc élevées, un produit qui leur coûte aux alentours de 3€, sera revendu à 16 € le kilo. Les marques élargissent leur réseau de distribution, en se faisant une place dans les animaleries et jardineries, mais surtout chez les éleveurs, vétérinaires et toiletteurs, en plus des hypermarchés. Les dépenses publicitaires pour les produits animaliers ont connues une hausse de 83%, soit plus de 47 millions d'euros en 2010. Les marques développent

en France soit un total de 22 000 employés, et 23 hypermarchés à l’étranger. Elle est partie intégrante du groupe Louis Delhaize qui exploite d’autres groupes de distribution tel que les Supermarchés Match ou la plateforme internet Houra.fr, les jardineries Truffaut, …etc. Mon stage avait pour buts principaux : * De réaliser les différentes actions inhérentes à la vie de l’entreprise, telle que la mise en rayon des produits, le facing, le contrôle des prix, l’affichage des prix, la vigilance sur

qui a développé des LISA (libre services agricoles) d’abord dédiés à l’approvisionnement des agriculteurs (semences produits phytosanitaires...) mais qui a élargi sa clientèle aux ménages. Ces LISA se poitionnent donc en concurrents directs des jardineries mais aussi des rayons jardinage des GSB et des GSA. J’ai été recruté (e) comme stagiaire par Mr Bruchet, directeur du service magasins de Maïsadour, pour réaliser l’étude du projet d’implantation d’un nouveau magasin à Arès(33) 3 points pour intro

ombragé, fleuri et gratuit de 227 places.  La zone de chalandise : Contexte commercial :  Jardiland en quelques dates : - Le premier magasin Jardiland, en France, à été ouvert en 1982. - Jardiland devient le leader sur le marché des jardineries en 1997, avec 87 magasins. - En Janvier 2007, Jardiland se fusionne avec Vive le Jardin ; ils ont le projet de développer des points de vente à l’international : ouverture de 5 magasins en Espagne et 1 au Portugal. - Depuis 2007 Jardiland commercialise

|17,9 |17,5 |02,7 | |Hyper/Super/ Grands |06,0 |37,9 |09,1 | |magasins / jardineries | | | | |d’hyper | | | | |Autres

multispécialistes (43% de PdM) Circuits de distribution 25% 20% 15% 10% 5% 0% Hyper/supermarchés GS de bricolage Grainiers & Fleuristes Jardineries LISA & autres multispécialistes Spécialistes motoculture Ventes directes VPC Source PROMOJARDIN – Chiffres 2004 Les grandes surfaces de bricolage détiennent près d'1/4 du marché (23%) et progressent de 9% vs n-1. Les jardineries suivent de près les GS en possédant 1/5 du marché (progression de 2% vs n-1). Les multispécialistes enregistrent la plus forte

bois, est mis au point et appliqué à l’ensemble des magasins du réseau. En dix ans, Jardiland est devenu l’enseigne phare des jardineries françaises et a multiplié son chiffre d’affaires par six. Parallèlement, en 1984, Sémaphor crée l’enseigne Vive Le Jardin. 1990-2000, la filiale espagnole de Jardiland voit le jour. En 1997, Jardiland est consacré leader de la jardinerie en France, avec 87 points de vente dans l’Hexagone. C’est aussi l’année où une nouvelle alliance est scellée avec Sémaphor Vive

multiplié par deux) que l'ancien magasin. Ils décidèrent aussi de mettre un point fort sur la pépinière, et investir lourdement sur la serre froide, environ 180 000 €, tout ceci dans le but d'avoir un positionnement de spécialistes en végétaux et en jardinerie, mais également parce que leur chiffre d'affaires est constituée à hauteur de 45% par la gamme végétale alors que celle -ci devrait constituer 85 % de leur chiffre d'affaires, un potentiel qui n'est pas exploité. C'est pourquoi, l'une des philosophies