J'arrive

par les épaules, l’autre par les jambes, et se dirigent vers la porte de droite. Attention. Ne lui faites pas de mal. Ils sortent. Scène vide, pendant quelques instants. On entend sonner à la porte de gauche. Voix de LA BONNE: Tout de suite, j’arrive! Elle apparaît tout comme au début, va vers la porte. Deuxième coup de sonnette. LA BONNE (à part): Elle est bien pressée, celle-là! (Fort.) Patience! (Elle va vers la porte de gauche, l’ouvre.) Bonjour, Mademoiselle! Vous êtes la nouvelle

n'arrive, maintenant, nous ne sommes plus que quatre ou cinq, et je suis encore là... J'espère ne pas passer la dernière... Je continue à lire mon livre et à me répéter dans ma tête mes motivations, pourquoi j'ai choisi de devenir infirmière alors que j'arrive au bout de ma licence d'anglais, qu'est-ce qui prouve que je ferai une bonne infirmière, est-ce que j'appréhende quelque chose dans la formation ? qu'est-ce que j'en connaît, justement, de cette formation ? est-ce que je sais vraiment où je mets

qui a hérité le grand champ et tout le matériel de cultivation et le petit Bernard qui n’a hérité qu’un petit champ .Scène 1 : acte 1Pierre frappe à la porte Pierre : Bernard , Bernard c’est l’heur de commencer le travail réveilles toiBernard : j’arrive , j’arrivePierre : je suis très motivé pour travailler aujourd’hui car c’est le dernier jour de travailler chez toi Bernard : ah bon , bien Acte 2 Dans le champs de Bernard Pierre : j’ai terminé mon travail , maintenant il faut que je parte travailler

omis de mentionner au conseil de direction que l’idée venait de moi. Vous vous êtes accaparé de mon idée, vous voulez en retirer tout le bénéfice et vous n’êtes même pas capable de reconnaître mes ressources et ça c’est parce que vous avez peur que j’arrive à vous dépasser. Ce matin lorsque vous avez présenter le concept vous n’avez en aucun temps fait mention du fait que cette idée venait de moi, ni même fait mention que je travaille sur cette idée. 

un environnement privilégié. J’avais donc décidé de m’isoler de mes habitudes en reportant les rendez-vous de l’après-midi, en renvoyant mon téléphone et en partant faire du sport : on commence par le corps. La tête suivra en fin de journée. J’arrive en avance. Je suis accueilli avec beaucoup de gentillesse par un frère qui s’assure de la persistance de ma démarche. Après l’avoir assuré de ma volonté, il me bande les yeux et je suis introduit dans une petite pièce entièrement noire, seulement

| | |« Et puis hier, incroyable […] arrêter de frapper si fort, | | |j’arrive ». | | | |

temps de refermer ses paupières c'est la que commencent ma peine c'est la qu'apparait ma peine jessaye de mendormir mais tous ces souvenirs mon sang coule mes larmes montent son image apparaît ses moments continue a se diffuser mais j'arrive plus a les supporter seule jarriverais jamais je suis obliger à m'éfforcer que seule je suis foutu aujourdhui je me sens abandonnée je narrive plus a te parler je ne comprend plus je ne comprends pas ce qui m'est arrivé une partie de moi

ANALYSE DE LA PRATIQUE N°1 Lieu : Maison de retraite « FONDATION FAVIER » Ce jour là, je suis du matin, j'arrive à mon lieu de stage et comme tous les jours la 1ère chose que je fais en arrivant est de lire les transmissions du soir en insistant sur les deux résidentes que je prenais en charge. Durant ma lecture je fut surprise puisque j'apprenais que Mme C, une de mes résidentes que je prenais en charge, avait fait une chute cette nuit et s'était ouvert au niveau du front. Je décide donc

pierre, le voilà par terre. 7. Le soir, elle lit un peu avant de s'endormir. 8. Je ne retrouve plus mes clés! 9. Le chevalier passe le pont-levis et pénètre dans le château. 10. Nous allons rentrer. 11. La semaine à venir va être chargée. 12. J'arrive à l'instant du collège. 13. Marc aime cuisiner. Il prépare souvent de bons petits plats. 14. Il pleut. 15. J'étudie le chinois depuis cinq ans. 16. Je croise à l'instant ton ami Albert. 17. Mardi dernier, je pars à 9 heures en voiture, je fais 10

A : Oui, j’étais triste et déçu du fait que je doive quitter ma terre natale et mon entourage. Mais cela était nécessaire. Ici, la vie est mieux qu’elle ne le fût avant, mais le revenu que je perçois est beaucoup moins élevé que je ne l’espérais : j’arrive tout juste à tenir le mois, cependant cela est compensé par l’activité que j’exerce : j’adore le travail que je fais, je créé des programmes et configure des ordinateurs, et je fais moins d’heures de travail que certains employés, ce qui me donne